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phebus
Une histoire, par les Koreusiens...
 0  #1
Je m'installe
Inscrit: 21/02/2005 12:17
Post(s): 165
Moi, j'ai trouvé le topic du poeme en alexandrins sympa mais un peu difficile. Et si on écrivait une histoire ???
Lachez vous !! plus ça partira dans tous les sens, plus ce sera rigolo ...
Je propose un phrase par personne ...

Je commence...
En me levant ce matin, je ne m'attendais vraiment pas à ce qui allait m'arriver aujourd'hui .

A vous !!

Contribution le : 24/02/2005 17:49
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Kinos
 0  #2
Je viens d'arriver
Inscrit: 16/10/2004 16:54
Post(s): 90
J'aime bien l'idée, mais pas forcément un délire total, faut que ça reste cohérent. Enfin bon, chacun fait comme il sent...

--- Suite ---
C'était pourtant un matin qui commençait comme tous les autres. Réveil qui beugle. Sursaut mou. Oeil collé qui s'ouvre péniblement. Encore une nuit trop courte avant d'attaquer une journée trop longue.
-------------

Edit: Oups, je me suis un peu oublié sur ce coup là... je crois que j'ai fait un ch'ti peu plus qu'une phrase. Un ch'ti paragraphe chacun, ça ira qd même ?

Contribution le : 24/02/2005 18:14
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phebus
 0  #3
Je m'installe
Inscrit: 21/02/2005 12:17
Post(s): 165
Oui... Pas de prob si vous voulez vous étendre un peu...


----Suite----
Mon chien Bert, me regardais déja avec sa tête d'affamé, le temps de le sortir, de lui filer sa boite de Ganicou, de me doucher de grignoter 2 biscottes, c'est sur, je serai en retard !!
-------------

Contribution le : 24/02/2005 18:22
_________________
Ne fait jamais le jour même ce que quelqu'un d'autre peut faire à ta place le lendemain...
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Wiince
 0  #4
Je suis accro
Inscrit: 11/04/2004 23:19
Post(s): 1822
---Suite---

Arrivé au boulot , mon patron me fait encore les gros yeux .
J'essaie de l'esquiver mais il m'attrape à l'épaule et me sors un " Dehors " .

Contribution le : 24/02/2005 19:06
_________________
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Invité
 0  #5
FantômeInvité
- Euh "Cahors" oui j y vais demain patron comme prévu !

Contribution le : 25/02/2005 13:59
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Luneale
 0  #6
Koreus' Fan
Inscrit: 27/11/2004 16:16
Post(s): 3121
Karma: 162
Ce matin c'est trop dur.. même mes feintes sont nazes...
Et le patron qui ne me lâche pas. Ses grosses lunettes, son haleine, son odeur âcre, sa transpiration dont il me noie ce matin... C'est trop...

Contribution le : 25/02/2005 15:46
_________________
Tu ne sais pas, tu doutes ???? Je te le rappelle : clique ici
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GrosBill
 0  #7
Je poste trop
Inscrit: 02/05/2004 21:49
Post(s): 12717
Karma: 77
Je commence alors ma prière


Contribution le : 25/02/2005 15:53
_________________
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Invité
 0  #8
FantômeInvité
et malheureusement Dieu me donna la force

Contribution le : 25/02/2005 16:05
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Luneale
 0  #9
Koreus' Fan
Inscrit: 27/11/2004 16:16
Post(s): 3121
Karma: 162
( lol ... ) (pardon pour l'aparté)

Dans mon élan ,je lui cassais ses lunettes, et lui déchaussais quelques unes de ses dents (pourries, soit dit en passant, je lui rendais service..)
Qu'allais je faire ? M'enfuir, le laissant, là, étalé de tout son long ?

Contribution le : 25/02/2005 16:08
_________________
Tu ne sais pas, tu doutes ???? Je te le rappelle : clique ici
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Invité
 0  #10
FantômeInvité
Ou rester là stoïque ? Déjà j'entends les pas de mes collègues dans le couloir...

Contribution le : 25/02/2005 17:15
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tunczik
 0  #11
Je m'installe
Inscrit: 05/09/2004 10:46
Post(s): 360
mon patron quant a lui, ensanglanté, sortait dans le couloir a la recherche d'aide.A mon avis il s'était trompé de boite pour en trouver

Contribution le : 25/02/2005 20:35
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Luneale
 0  #12
Koreus' Fan
Inscrit: 27/11/2004 16:16
Post(s): 3121
Karma: 162
Ses cris étouffés n'avaient alarmé personne.Et ses rugissements non plus. Pas un seul de mes collègues n'avait cherché à savoir ce qu'il se passait dans le couloir.

Contribution le : 25/02/2005 21:26
_________________
Tu ne sais pas, tu doutes ???? Je te le rappelle : clique ici
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tornado
 0  #13
Je masterise !
Inscrit: 02/01/2005 04:13
Post(s): 4099
Ah, il était beau l'esprit de camaraderie. Moment de solitude...Il ne restait que moi et mes dents pourries étalées dans mon bureau

Contribution le : 25/02/2005 22:00
_________________
Je ne parle pas aux cons, ça les instruit

Audiard
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Invité
 0  #14
FantômeInvité
euh, Tornado le narrateur c pas le patron mais l'employe qui lui a foutu sur la tronche ... je me permets donc de reprendre a partir de Luneale
Ps : et puis faut se mettre d accord sur le temps, present imparfait...(oui je sais casse burnes)



Alors que mon patron cherche a obtenir, sans succes, des temoignages de son agression aupres de mes collegues, encore une veine pour moi, je m approche de la machine a cafe...

Contribution le : 26/02/2005 17:55
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karelou
 0  #15
Je suis accro
Inscrit: 15/12/2004 18:13
Post(s): 1823
Je me sers un expresso très serré,esperant que le gout âcre me ferait passer celui de la semi-activité cerebrale,très prononcé à cette heure-ci de la matinée.

Contribution le : 26/02/2005 18:16
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Belhubert
 0  #16
Je suis accro
Inscrit: 08/02/2005 16:40
Post(s): 1690
Au deuxième café Dieu m'apparut et exauça encore ma prière et me m'accordât la "Sagesse" afin que je trouve la force de l'achever (ce patron de m,,,,) pour lui épargner ses atroces souffrances.


(ben oui, il est minuit, l'heure du crime!)

Contribution le : 26/02/2005 23:56
_________________
L'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu (Rochefoucauld (1613-1680) 😉

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Djizeus
 0  #17
J'aime glander ici
Inscrit: 04/02/2005 21:48
Post(s): 5707
Karma: 263
j'entre alors dans son bureau où je le trouve,seul, la tête en sang, et m'implorant de ne plus l'approcher.

ps: moi ossi j ve fer parti du comiT anti-sms...

Contribution le : 27/02/2005 01:58
_________________
[ˈdʒi:zəs], distributeur de bon Karma.
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Kazam
 0  #18
J'aime glander ici
Inscrit: 30/01/2005 13:01
Post(s): 5089
Héhé mé si on peut changer de narrateur,sa vous dit rien Stendhal ?

---Suite---

Je ne savais que faire,a cette heure ou la ville s'éveille.Mon premier réflexe fut de cacher un peu se corps que la peur avait rendu aphone.

L'angoisse me tordait l'estomac; je connaissait ma propre fermeté,mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude fasciné par ce tas de mousseline blanche [...]La seule lumière venait du building voisin : un grand d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre.[...]


Pour ceux qui auront reconnus,escusez d'avoir changé le point de vue.

Contribution le : 27/02/2005 18:17
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bombec
 0  #19
Je m'installe
Inscrit: 31/01/2005 17:27
Post(s): 164
celui-ci bien caché derière la photocopieuse en panne, dans la reserve, je me décidai à ne pas rester sur ma fin et traversai la rue pour liberer les employés du batiment d'en face de l'oppression de la dictature patronnale pratiqué dans tout le quartier. donc...je traversai...

Contribution le : 28/02/2005 10:20
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phebus
 0  #20
Je m'installe
Inscrit: 21/02/2005 12:17
Post(s): 165
Un petit résumé avant de continuer :

Citation :

En me levant ce matin, je ne m'attendais vraiment pas à ce qui allait m'arriver aujourd'hui .
C'était pourtant un matin qui commençait comme tous les autres. Réveil qui beugle. Sursaut mou.
Oeil collé qui s'ouvre péniblement. Encore une nuit trop courte avant d'attaquer une journée trop longue.
Mon chien Bert, me regardais déja avec sa tête d'affamé, le temps de le sortir, de lui filer sa boite de Ganicou,
de me doucher de grignoter 2 biscottes, c'est sur, je serai en retard !!
Arrivé au boulot , mon patron me fait encore les gros yeux .
J'essaie de l'esquiver mais il m'attrape à l'épaule et me sors un " Dehors " .
- Euh "Cahors" oui j y vais demain patron comme prévu !
Ce matin c'est trop dur.. même mes feintes sont nazes...
Et le patron qui ne me lâche pas. Ses grosses lunettes, son haleine, son odeur âcre, sa transpiration dont il me noie ce matin... C'est trop...

Je commence alors ma prière



et malheureusement Dieu me donna la force
Dans mon élan ,je lui cassais ses lunettes, et lui déchaussais quelques unes de ses dents
(pourries, soit dit en passant, je lui rendais service..)
Qu'allais je faire ? M'enfuir, le laissant, là, étalé de tout son long ?
Ou rester là stoïque ? Déjà j'entends les pas de mes collègues dans le couloir...
mon patron quant a lui, ensanglanté, sortait dans le couloir a la recherche d'aide.A mon avis il s'était trompé de boite pour en trouver
Ses cris étouffés n'avaient alarmé personne.Et ses rugissements non plus. Pas un seul de mes collègues n'avait cherché à savoir ce qu'il se passait dans le couloir.
Ah, il était beau l'esprit de camaraderie. Moment de solitude...Il ne restait que moi et mes dents pourries étalées dans mon bureau
Alors que mon patron cherche a obtenir, sans succes, des temoignages de son agression aupres de mes collegues, encore une veine pour moi, je m approche de la machine a cafe...
Je me sers un expresso très serré,esperant que le gout âcre me ferait passer celui de la semi-activité cerebrale,très prononcé à cette heure-ci de la matinée.

Au deuxième café Dieu m'apparut et exauça encore ma prière et me m'accordât la "Sagesse" afin que je trouve la force de l'achever (ce patron de m,,,,) pour lui épargner ses atroces souffrances.
j'entre alors dans son bureau où je le trouve,seul, la tête en sang, et m'implorant de ne plus l'approcher.

Je ne savais que faire,a cette heure ou la ville s'éveille.Mon premier réflexe fut de cacher un peu se corps que la peur avait rendu aphone.

L'angoisse me tordait l'estomac; je connaissait ma propre fermeté,mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude fasciné par ce tas de mousseline blanche [...]La seule lumière venait du building voisin : un grand d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la fenêtre.[...]

celui-ci bien caché derière la photocopieuse en panne, dans la reserve, je me décidai à ne pas rester sur ma fin et traversai la rue pour liberer les employés du batiment d'en face de l'oppression de la dictature patronnale pratiqué dans tout le quartier. donc...je traversai...


C'est alors qu'une limousine noire s'arreta a quelques pas de moi dans un crissement de pneus. Deux hommes en noir en descendèrent me matraquèrent et me trainèrent inconscient dans leur voiture.

Contribution le : 28/02/2005 12:06
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Ne fait jamais le jour même ce que quelqu'un d'autre peut faire à ta place le lendemain...
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