Le jeu de l'imaginaire dirigé

Citation :

Relance

Ok.

- 33 kilos de boudin noir.
- Un moustachu.
- Un colis égaré par la poste.
- En Alsace.
- A l'heure du gouter.


Ouais ! Ça va bien être stupide comme truc ça !

Bon je me lance ce soir, sauf si quelqu'un a de temps cette aprem.

[EDIT]

Je poste le truc dans quelques minutes. Je le tape et je le corrige aux mieu.


[Reédit]

L’incroyable transformation d’un moustachu.


L’histoire incroyable de cette homme dit « Le Moustachu » du a une belle Moustache qu’il grisonnante entretient pour cacher un bec de lièvre qui le complexe.
L’événement se passe durant la journée du 11 décembre 2011 approximativement sur les coups de 16h00 durant l’heure du goûter.

A cette heure, La Moustache était attablé à une table Ikea mal monter, surélevé sur une estrade. Face a lui un public prés à le voir engloutir 33 kilos de boudin noir a peine cuit pour le lancement de la 5éme édition de la fête du ventre d’Alsace.
Les spectateurs attendaient déjà depuis pas mal de temps dans le froid quand un organisateur arriva.pour annoncer a la foule qu’il n’y aura pas de show a cause d’une perte du colis contenant le fameux boudin dans les locaux d’un relais postale.
Les gens se mirent a hué. Là,La Moustache se leva, poussa la table qui se démembra.. Il se mis a hurler tel King kong durant un coite tout en se transforment en un long et grand boudin noir sous les yeux ébahis des Alsaciens présent ce jours.

Je relance :


- Un lapin bleu
- Un plat : poulet paprika
- Des nénuphars
- Belgique
- la nuit

Je prend! Je le ferais demain, c'est férié demain.

Voila:

L'histoire ennuyante du schtroumf Belge.

Schtroumf Belge s'ennuyait ferme. Dans le village entre deux aventures, il n'y avait rien à faire. Et puis il était la risée de tous. Belge, quelle idée. Il rêvait, il se disait qu'il partirait faire le tour du monde!
Assis sur un banc du parc, il regardait devant lui le lac, une vulgaire flaque d'eau, mais qui paraissait immense. Les nénuphars voguait sur ce lit d'eau calmement et gracieusement lui faisait penser à sa douce Belgique.
_"Salut Schtroumf Belge!!" gueula la schtroumfette .
Belge plongé dans ses pensées mis du temps à se rendre compte, un peu comme les paliers de rêve dans inception. Il se sortit les doigts du cul et dit:
_"Salut.
_Tu fais quoi tout seul sur un banc?
_J'attend.
_Ah d'accord. Palpitant. Ca te dit de venir manger au resto avec moi, ça te changera peut être les idées.
Belge acquiesça, ils partirent pour le restaurant. Il faisait déjà nuit, et après 6 heures sur un banc, Belge se rendit compte qu'il avait mal et qu'il était con.
Enfin assis devant la carte, devant tous les plats, un seul attira son regard, le moule-frite.
"_Alors Belge tu prends quoi? Je te conseille le Poulet au Paprika, c'est Schtroumf Farceur lui même qui la farci!"
Il ne répondit pas, il avait une autre idée en tête. Il regarda La schtroumfette droit dans les seins et lui dit:
_"ça te dit de voir mon petit lapin bleu?"





Qu'il est con.



Nouvelles contraintes :

-Un godemichet
-Obama
-Belle mère
-Pixel
-Fourmi

Personne ne souhaite prendre la suite avec les mots :

-Un godemichet
-Obama
-Belle mère
-Pixel
-Fourmi

???

Obama se baladait dans l’une des 500 pièces de la Maison-Blanche.
Il s’arrêta pour contempler la vue par la belle fenêtre ornée d’un amas de Pixels représente la prise de la bastille. Son regard se fixa sur un tas de terre.
Obama se mit en marche dans la direction de ce tas pour en savoir davantage. Il put observer, une fourmilière qui regorgeait de belles fourmis rouges.
En voulant se pencher sur cette fameuse fourmilière, Obama entendu des cris en boucle qui semblaient surgir d’une des chambres a couché prés du son plus grand bureau qu’il affectionne particulièrement.
Le président se releva et d’un pas pressé se dirigea au sont des cris vers la chambre. Devant cette chambre il lança son pied en avant à la manière de Chuck Norris pour ouvrir la porte.
Là, il eux la surprise de voir sa belle-mère agenouiller sur le beau parqué en bois de chêne la tête entre ses mains.

« Tu va bien ? » dit-il pleins d’étonnement.

La femme releva la tête le regarda le maquillage dégoulinant le long de ces joues et dit en hurlant :

« Non, il n’y a plus de piles dans mon godemichet. ».

VDM.

Je relance :

- Un paquet de chips
- Julien Lepers
- Un savon
- Plateau TV
- Un buzz sur internet

BIG UP ! Si quelqu'un a une envie d'écrire qu'il se lâche.

j'ai loupé ce topic et je suis terriblement déçu de ne pas avoir suivi ça en direct !! C'est une superbe idée A2C, et à la lecture de l'énoncé je pressentais du WTH, ça n'a pas loupé xD

J'ai rien commis du tout lors de la première affaire, je suis juste le vendeur de peinture noire. Ca ne fait pas de moi un complique tout de même !

Très fun, je vais suivre et éventuellement participer

Citation :

Allez, je prends !

Il était là. Guettant le moindre bruit, il était prêt à bondir. Où plutôt à glisser. Le regard vide et non vif, les cheveux inexistants, le reflet de la lumière blafarde sur le crâne, toutes les conditions étaient réunies.

La porte était toujours fermée. Au loin, on pouvait entendre comme un bruit sourd, étouffé. Nul ne pouvait se douter que derrière cette porte, par delà l'immense couloir à la tapisserie immonde, habitait un roi. Un immense roi sur son trône de cuir à l'armature en fer. Arborant sa plus belle couronne (un bonnet de nuit) et sa longue robe brodée, il possédait les plus magnifiques souliers de tout le royaume : les pantoufles. Si l'on remontait un peu plus haut, on pouvait distinguer de magnifiques chaussettes aux motifs incompréhensibles, caressant les poils secs, gris et vieillis des mollets du roi. Un peu plus haut tombant sur les genoux, le haut de la robe. Ou plutôt du peignoir. Un peignoir plutôt dégueulasse, il fallait le dire, d'un bleu-gris totalement délavé et troué par endroits, parfois recousu, mais globalement plutôt sale. Sur les cuisses du roi - ou plutôt sur le peignoir reposant lui même sur les cuisses du roi - diverses particules. Parfois microscopiques, parfois beaucoup plus grosses. Salées, rondes ou cassées, jaunes et pimentées. Des restes de chips provenant d'un paquet de chips lui même posé sur les jambes du roi.

On pouvait l'entendre essayer de mâcher ces même chips entre ses gencives édentées. Posées sur son gros nez, une paire de lunette aux verres tellement épais qu'ils donnaient l'impression que les yeux du roi sortaient de leur orbite. Dans ces même verres, on pouvait entrevoir le reflet déformé d'un écran de télévision derrière lequel se tramait une sombre émission aux couleurs bleues et aux candidats assoiffés de livres de classification des équidés.

Tandis que la musique du générique résonnait dans toute la pièce, une voix-off annonçait l'arrivée du présentateur Julien Lepers sous un tonnerre d'applaudissements orchestrés par un chauffeur de salle spécialisé dans le troisième-âge.

Le roi plongea sa main dans le paquet de chips, prêt à en découdre. Première question : premier indice pour les téléspectateur. Le roi passa sa langue sur sa lèvre inférieure, appliquant une salive toute pleine de bulle sur les quelques grains de sel qui s'étaient engouffrés dans les méandres des plis de chair de cette lèvre.

"Un buzz sur internet".

Le présentateur lance un regard charmeur à la caméra, puis tend un papier jaune devant son visage. Il lève les yeux vers les candidats, puis de nouveau vers le papier jaune. Sa respiration s'accélère légèrement, il entre-ouvre légèrement la bouche pour laisser échapper un petit fil d'air, avant de prendre une dernière inspiration pour déclamer sa longue tirade.

"Top ! Je suis une chanson sortie en Juillet 2012 d'une durée de quatre minutes douze, écrite par Park Jai-Sang et Yoo Gun-Hyung. Je raconte l'histoire de << la petite copine parfaite qui sait quand être précieuse et quand être sauvage >>. Célèbre pour mon expression idiomatique "Oppa" désignant une personne âgée de sexe masculin, mon clip vidéo a été un véritable succès sur la plateforme Youtube dans laquelle nous pouvons voir la danse du cheval ou danse du cavalier. Je reste longtemps en tête des classements mondiaux. Single extrait d'un album produit par Psy, je suis, je suis ?!"

BOUM. Un bruit sec. De plastique. Puis du verre qui s'entrechoque. Le plateau TV qui était en équilibre sur l'accoudoir du trône du roi venait de tomber. Le vieillard grogna, n'ayant pas entendu la réponse à la question de son émission.

Après de longues minutes d'attente et de réflexion, il se décida enfin à se lever pour aller dans la cuisine chercher de quoi essuyer le désastre.

Pof... Frrrr, frrrr, frrr, frrr... Les pantoufles glissaient sur la moquette du long couloir qui menait vers la cuisine. Il pouvait l'entendre.

Prêt à bondir. Lorsque la poignée de la porte de la cuisine s'abaissa, il se mit en position.

Le vieil homme pénétra dans la pièce sans se douter de ce qui se tramait. Il se dirigea vers l'évier pour attraper une éponge ou un torchon. Ce qu'il n'avait pas vu, en revanche, c'était lui. Lui, où plutôt cette chose qui traînait sur le sol, guettant sa proie.

Lorsqu'il posa son pied dessus, la créature glissa sur le sol et fila dans les airs, envoyant la jambe droite du vieil homme en avant par dessus son épaule.
Tentant tant bien que mal de tenir un équilibre, le vieux roi essaya de s'agripper à quelque chose. N'importe quoi. Mais ses mains ne purent trouver aucune prise digne de ce nom, et c'est dans une magnifique pirouette que la tête du vieillard s'écroula sur le carrelage blanc de la cuisine.

Stupide savon.

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Pour le suivant :

- Un mouton
- Deux pots de nutella
- Un chauffeur de bus
- Une écolière de CM2 ayant redoublé
- Une plume de perroquet verte

Citation :

Je prends !

Ouais, et puis selon les indications j'aurais bien envie d'essayer après moi aussi

« Le chauffeur de bus était un tout petit vieux, tout chenu et ratabougris, et tout désagréable pour ne rien lui reprocher de plus. Mais le plus étrange chez lui, c’est qu’il avait un mouton pour animal de compagnie, mouton qui siégeait juste à côté de lui : chose peu commune s’il en est. Le matin, quand les enfants rentraient dans le bus, Eustache –le mouton - les observait. Il n’était pas très loquace et se contentait de quelques « Bêêh »secs, quand il lui prenait de dire quelque chose. Mais bien souvent, il ne disait rien sur rien, car les enfants ne lui faisaient pas du tout confiance et se tenaient bien tranquilles. Il faudrait même dire que les enfants ne se sentaient absolument pas en sécurité en sa présence ; tous se concentraient d’ailleurs le plus au fond possible du bus. Eustache, lui, reposait toujours par terre, et regardait son vieux maître. Il tournait occasionnellement le chef et miraient ces petits êtres agglutinés. C’était comme un terrible surveillant, craint, capable de fixer sans cligner de l’œil ses ouailles pendant plus d’une demi-heure. Alors, sentant la pression à son apogée pendant les premières minutes, il leur disait, très froidement « Bêêêh. », et il feignait alors de se lever vers eux. Un silence de mort régnait ainsi, chaque matin.
On disait qu’un jour, une petite fille ayant redoublé son CM2 avait conclut un plan diabolique avec quelques petits camarades. Pour se venger d’Eustache, ils avaient pris deux pots de Nutella et avait prévu d’en tartiner sa toison. Juste après le cérémoniel habituel et non moins craint des enfants, Eustache, alléché par l’odeur de ces demi-kilos de pâte à tartiner, se leva véritablement. L’effroi des enfants était palpable. La mine basse et le profil biaiseux, Eustache parvenait nonchalamment vers eux, promenant son œil torve sur qui ne le voulait pas. Les poils se hérissèrent, les yeux s’écarquillèrent, tous se resserraient les uns les autres, les faces blêmissaient. Berthe, la petite fille du bi-CM2 se leva finalement, et lança l’assaut. « Sus au quadrupède !! » vociféra-t-elle.
-Bêêh, dit simplement Eustache. Il eut un petit rictus désagréable et se campa, prêt au carnage. La bataille fut sans pitié. Des coups de chique d’Eustache au coup de sabot, au tartinage de Nutella, aux coups de ciseaux fourbes dans la mêlée… Tout y passa. Quand tous ses ennemis commencèrent à s’avouer vaincu, il redressa fièrement son corps malitorne et rechercha, d’à-coups rapides de la tête, la responsable de cette sanglante escarmouche. « Bêêêh », lâcha-t-il enfin. Il la tenait à sa merci, seule et isolée, désarmée. La gueule alors écumante et les yeux plissés d’aveuglement, il chargea. Tout le monde s’accorde pour dire combien le résultat fut apocalyptique, au moins. Aujourd’hui, tout ce dont il reste de la jeune Berthe, c’est une plume de perroquet verte. C’était un trophée qu’elle avait un jour remporté de son adversaire, un terrible volatile d’une taille monstrueuse qu’elle avait provoqué, et battu. Le pauvre s’était enfuit à vaudéroute et n’avait laissé de trace qu’une de ses plumes. Cette plume, aujourd’hui, orne la toison d’Eustache dans un magnifique collier ouvragé. Il la faisait trembler quand les enfants rentraient. Il ajoutait d’une voix sinistre « Sus au quadrubêêêde », avant de fixer ses nouvelles ouailles. »
-« N’importe quoi », dit le petit enfant à qui cette histoire venait d’être contée ; et « N’importe quoi », dit le grand à qui cette histoire venait aussi d’être contée. Ça n’était pourtant la première fois qu’ils entendaient des balivernes, mais alors là, ça frisait le pompon, ou, comme dirait l’autre, la plume de perroquet verte…


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-un tournevis
-une poussette occupée
-un rhododendron
-un poil
-une lettre

Alpablaise ?

Yep, je prends et faites gaffe ça va venir vite!

Edit: voilà, j'ai essayé de me plier au jeu et de faire une vraie nouvelle, avec une petite chute à la fin comme dans les nouvelles fantastiques espagnoles, mais je sais pas si elle est assez facile à saisir. En tout cas, je peux répondre aux questions ^^

Citation :

Indications pour la prochaine:
- Une flotte d'alien
- Un volcan
- Un chou fleur
- De l'aspirine
- Une chèvre qui parle!

Salut, je vous rassure je ne me drogue mais il faut que je vous raconte mon aventure durant la journée du réveillon 2013.
J’étais en pleine campagne. Il était encore tôt dans l’après-midi je roulais à fond les cheveux au vent quand une envie de pisser se fit ressentir. Je fis donc une pause. Après avoir rangé ma voiture sur le bas côté de la route face à un chant de gros choux-fleurs mes jambes se mirent à courir entre l’une des grandes allées ensoleillées formées par les choux plantés en rang. En remontant ma braguette le ciel se mit à s’assombrir avec un bruit assourdissant. (Le genre de bruit qui te fait prendre une boîte d’aspirine en une seule fois.) …

Bon je laisse finalement la main car le volcan m'inspire vraiment pas dans mon début d'histoire. :roll:

relance qui veut avec les indications d' Alpablaise :

- Une flotte d'alien
- Un volcan
- Un chou fleur
- De l'aspirine
- Une chèvre qui parle!

Je prend la main, la nouvelle sera publiée dans l'heure

EDIT:

Je prends la main parce qu’il faut absolument que je vous raconte l’histoire de mon grand-père.

Mon grand-père, appelons-le Michel, était un grand scientifique malheureusement trop peu reconnu dans son milieu. Sa spécialité, c’était les éruptions volcaniques. Il a grandi aux côtés du Vésuve, à l’Est de Naples et il entretient depuis qu’il est tout petit une relation assez particulière avec les volcans. Toute l’histoire remonte à plus de 60 ans, lorsque mon grand-père n’avait alors que 22 ans. Paul, son père, l’avait amené faire quelques recherches sur les bords du Vésuve. Après une bonne journée de travail, ils sont allés se réfugier dans un logis non-loin du volcan, mais assez éloigné pour ne rien craindre. Le lendemain, mon grand-père avait disparu !

Toute la ville a tenté de le trouver durant toute la semaine qui a suivi sa disparition, sans aucun succès. Ce n’est qu’une semaine et demi après son supposé enlèvement que Michel, mon grand-père a été retrouvé sur le sol, totalement nu, avec un chou-fleur pour cacher son sexe.

Ce n’est que plusieurs années plus tard que Michel parvint à se souvenir de sa semaine et demi d’absence de la surface terrestre. Selon ses dires, il aurait été kidnappé par une flotte d’aliens. Durant la nuit qu’il a passé dans le logis, il aurait entendu un bruit très aigu devant la porte d’entrée. Selon lui, ça ressemblait un peu au bruit que fait une aspirine quand elle est plongée dans un verre d’eau. Lorsqu’il est sorti jeter un coup d’œil, il n’a fallu que trois secondes aux aliens pour kidnapper mon grand-père et l’amener dans leur vaisseau spatial.

D’après ses souvenirs, les aliens ressemblaient un peu à des animaux. L’un d’entre eux l’a particulièrement marqué, il se souvient même de son nom : Bèèèèèèèèèèèèèh ! Il ressemblait étrangement à une chèvre, mais une chèvre douée de paroles. Certes, mon pauvre grand-père n’a pas réussi à déchiffrer son langage, mais il s’est plus étonné de voir une chèvre sortir ce que semblait être des phrases que d’assister à ce qui semblai être une orgie d’extra-terrestres. A côté du vaisseau spatial, il a pu apercevoir des centaines de milliers d’autres vaisseaux semblables, en orbite autour de la Terre.

Lorsqu’il est revenu sur Terre, il s’est vite remit sur pieds. Il ne se souvient pas d’une quelconque opération. Rien n’a changé dans sa vie, mis à part son soudain amour pour les animaux et les choux fleurs.

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5. Juin