La Faim (court-métrage 2013)

Edit Skwatek : titre en minuscule + double compte interdit

Après "Petits papiers colorés" et "POST-MORTEM", voici le troisième court-métrage, entièrement improvisé, d'Axel Janvier, "LA FAIM".

"LA FAIM" est un court-métrage expérimental tourné en une journée (deux après-midi) et monté en coup de vent.
Malgré tout, j’espère qu'il vous plaira ...



Edit Skwatek : Tentative de Up, topic verrouillé.

Heureusement que c'est un court-métrage, déjà, il est beaucoup trop long

Comme quoi c'est du boulot de faire un court métrage !

Oulala, expérimental ça veut dire qu'on teste des trucs pour voir ce qui cloche ?!
Je pense en avoir trouver pas mal.
-Prise de son saturé,
-le filtre couleur vert pour un monde "désolé" ça le fait pas.
-Pareil avec le champ de céréales qui vient juste d'être abattu
-les routes entretenues.
-Fautes d'orthographe.
-L'acteur est un peu trop grassouillet.
-Les moutons si c'est un souvenir du personnage 2065-2087-> 22 ans incohérence parce qu'on s'imagine qu'il a pas connu les moutons..
-Accent surfait de la grand-mère.
-Une "absorption intégrale" ?
-Mauvais contre-champ dans la petite discussion , essaie de mettre une symétrie d'axe Y sur le bout de vidéo avec le personnage dans l'ombre tu verras l'effet est saisissant.


Bon après si l'exercice était d'apprendre à se servir d'une caméra , à utiliser quelques filtres, faire un peu de montage basique, c'est réussi
Mais bon t'es au niveau de l'arbre qui cache la forêt.

Sinon oui , j'aime taper sur mon clavier quand je perd mon temps.

Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'à l'origine, cette mise en scène, délibérément minimaliste, visait à enclencher "le processus méditatif" du spectateur (en somme, on endort pour mieux éveiller ;-)) .

Ainsi, on peut trouver cette technique au service de plusieurs monuments, tel que «Journal d'un curé de campagne», «L'évangile selon St Mathieu», «Jeanne Dielmann ...», «Stalker», «Solaris», «Le tango de Satan», et j'en passe ...

Il faut se trouver dans un certain état d'esprit pour entrevoir l'invisible, ressentir l'impalpable ...

La plupart des films d'aujourd'hui tentent de pallier au manque de fond avec une mise en scène inconsidérément surexcitée (violence, sexe, voitures, punchlines débiles ... Tout est lourd de gratuité !). Le spectateur n'a plus le temps de se poser les bonnes questions, de s'interroger sur ce qu'il regarde, sur ce qu'il a vu ... Il est pris dans la boucle ! Le "film" distrait pour mieux attacher. La visite d'une gallerie d'images racoleuses, tantôt jouissives, tantôt abêtissantes, peut se faire, le spectateur se laisse guider ...
Trop souvent, on fait usage de la "belle forme" en espérant combler à ce cruel manque de fond (c'est comme en politique :-D).

Pour moi, ça revient à planquer la poussière sous le tapis. C'est une société de la feinte, on exhibe la surface pour mieux nous cacher la vérité.

Mais moi je suis "old school"!
Je suis resté à l'âge d'or du cinéma Français, quand on savait encore des films francs.

Quand la forme servait à dévoiler le fond ...

Pour moi, t'es juste pas allé à la school .

Citation :

Si pourtant ...

Enfin, tu parles de quelle "school" ? LOL

Insupportable à regarder. Et pourtant j'ai essayé après avoir lu tes informations, ton optique, ta démarche...

Mais sérieusement, le mot "expérimental", c'est pas fait pour s'autoriser n'importe quoi non plus.