0 #21 |
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Fantôme
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La plupart des personnes dangereuse sur la route que j'ai vue était des automobiliste,quand ils se suivent ou qu'il colle au cul mais parent tous sa parce que ce connard a une jaguar je suis désolé certes certain motards passe a fond entre les bagnoles mais je vois moin de comportement dangereux chez les motard que chez les automobilistes,les motards on conscience qu'il n'ont pas de protection et par conséquence sont pour la plupart prudent alors que les automobiliste ce crois surprotégé dans leurs bagnoles et ce permettent plus de chose.
Serieusement je trouve le mecs assez con car a cette vitesse 1 mec deboite d'un cout en bagnole ba le motard coupe en deux la caisse et aucun survivant,plus les autres qui suivait qui iront s'enfoncé dans l'amas de tole froisé. la nuit encore je dis pas car ya moin de monde et avec la lumiere des phares arriere il et plus facile de repéré une voiture ce qui n'empeche pas une fausse maneuvre mais le motard a moin de chance de percuté quelqu'un. si on pouvait m'expliqué pourquoi bride ton les moteurs? vous savez vous? moi nan
Contribution le : 17/07/2006 10:46
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Waltidus | 0 #22 |
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Je suis accro
Inscrit: 13/05/2005 18:04
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Citation :
La nuit... PAS beaucoup de MONDE??? tu rigoles j'espère? Visibiliter réduite, limite de vitesse reduite, Automobiliste Fatiguer (reduit les reflex) qui a tout moment peu t'encastrer dans le pont qui passe. Les depart en vacance se font aussi souvent la nuit, pour justement, "eviter" le trafique mais si tout le monde pense comme toi et bien tout le monde ira se planter .... "la nuit" Citation :
C'est pour éviter que les personnes comme toi tuent une ou plusieur famille entière qui sont tranquillement en train de partir en "Vacance"... Si tu es assez riche pour t'acheter un moto afin de la detruire a plus de 200Km/h dans un arbre, tu es assez riche pour louer un circuit 1H ou 2 pour te donner dans ton "trip" et te planter dans les pneux soigneusement placer au bord pour sauver ta vie et eviter dans supprimer d'autre, et aussi t'acheter un moto de course faite specialement pour sa!
Contribution le : 17/07/2006 11:37
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0 #23 |
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Fantôme
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Citation :
1 Ya des endroits moin frequenté que d'autres moi je parle surtout d'une route pas oin de chez moi un bon 2000 m sans trop de monde 2 bagnole c tout o pire 2 commensa comme moi? Et tu fait a mon avis plus de degat a plein bourre avec une porsche qu'avec 1 gsx-r
Contribution le : 17/07/2006 12:14
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0 #24 |
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Fantôme
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Citation :
en même temp, on ne vit pas dans une monde tout rose
Contribution le : 17/07/2006 14:25
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-Muse- | 0 #25 |
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nan mais je pense que c'est mieux ainsi. Tu imagines un monde où l'anarchie regnerait ? Je crois pas qu'il s'agirait d'un monde merveilleux ! On tuerait pour un oui ou pour un non ( c'est déjà parfois le cas ), il n'y aurait plus aucun règlement...le bordel quoi.
enfin c'est pas le sujet.
Contribution le : 17/07/2006 14:28
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0 #26 |
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Fantôme
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Citation :
quand tu te prends en pleine cage thoracique un motard qui a traversé ton pare brise car il roulait beaucoup trop vite, tu dis pas la même chose, si tu peux encore dire quelque chose.. sinon zero pointé pour l'inconscience du type dans la vidéo
Contribution le : 17/07/2006 14:42
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Crazy-13 | 0 #27 |
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Son dangereux aussi les personnes roulant en voiture(tte) sans permis, ne dépassant pas les 60km/h la plus part du temps, et qui prenne de la place sur la route, tu arrive à 90Km/h dans un virage et au milieu de celui-ci , ho surprise une voiture(tte) sans permis au ralentis en pleins milieu de ma voie.
Pourquoi on interdis tous simplement pas ces véhicules ? Maintenant même pour un scooter il faut passer une forme de permis. Le bridage des motos en France à été fait pour notre propre "sécurité". je pense aussi que tout les motards qui passe leur permis moto devrait être bridé à 34ch durant 2 ans même si ils ont plus de 21 ans au moment où ils l'obtiennent. Les 125cc ne devrais pas être accessible au personne qui ont 2ans de permis voitures sans qu'il ne passe une formation aux 2 roues au préalable. Il y a pleins de chose comme ça qui sont dangereux mais qu'on laisse tel quel, préférant privilégié les réprimande rapportant de l'argent. Si les voitures ne sont pas bridé en France comme les motos, c'est simplement par ce que ce marché ce serais fermé à nous, et comme il est beaucoup plus important que le marché du 2 roues ... puis pour la moto il avait l'excuse de la sécurité, en voiture les airbag sont là pour l'apporter aujourd'hui donc on peu les laisser rouler vite les gens, il risque de moins en moins de ce faire mal lors d'un accident. Pour le mec qu'on voit dans la vidéo c'est mal ce qu'il fait, mais ce n'est pas pour autant qu'on ne doit diffuser cette vidéo sur ce site.
Contribution le : 17/07/2006 14:51
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cedd_dd | 0 #28 |
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A l'eternel sujet de l'exces de vitesse....
Je suis contre ce genre de videos mais les gens qui crient tueurs, assasins... me font gerber. Lisez un peu ce qui suit, ça peut etre interressant de voir que la vitesse n'est pas la 1ere cause de mortalité et d'accident sur les routes en France. Faut arreter de cautionner l'etat français à nous pomper du fric avec leur radar... Et pire encore si c'est vrai en 1991, ça l'est encore plus de nos jours avec l'amelioration des voitures, leur aptitude à rouler à de grande vitesse.... Voici un extrait du sciences et vie numero 888 de 1991 (15 ans deja) : Les limitations de vitesse n'ont pas du tout les vertus que leur prêtent les pouvoirs publics : l'étude des statistiques indique, bien au contraire, qu'elles sont plus dangereuses que les excès de vitesse. Si l'on s'obstine à les maintenir, on ne descendra pas au-dessous du seuil tragique de 10000 morts et de dizaines de milliers de blessés par an. Les spécialistes le savent. Science et Vie explique ici ce qu'on nous cache. L'hécatombe régulière sur les routes de France reste inacceptable. En 1990, 10300 morts et 50000 blessés graves, dont une bonne partie handicapés à vie. Dégâts inchiffrables. Parmi les chiffrables, les purement matériels, une centaine de milliards de francs de dégâts. A l'égard de la sécurité, la France se place dans le peloton de queue européen, avec un taux de 205 tués par million de kilomètres parcourus et de 400 tués par million de véhicules, soit le double de la Suède. On n'en est certes plus à la croissance régulière qui prévalait jusqu'en 1972, mais le bilan stagne depuis quelques années. La vitesse est désignée comme le fléau principal. En fait, la vitesse par elle-même n'est pas une cause d'accident, mais elle constitue une cible idéale. En effet, c'est l'argument le plus parlant, elle est facile à mesurer, et elle frappe plus les imaginations que l'alcool au volant, la vétusté des véhicules, l'inexpérience des conducteurs ou leur irresponsabilité. En cas d'accident, elle est sans aucun doute un facteur aggravant et, quelle que soit la cause première de l'accident, c'est toujours en fonction de la vitesse que sont mesurées la force de l'impact et les conséquences sur le véhicule et ses passagers. Enfin, la pénalisation de la vitesse permet de remplir les caisses de l'État avec une efficacité remarquable tout en lui donnant bonne conscience. La répression a donc été mise en place, il y a 18 ans. Pour la justifier, on cite des statistiques péremptoires (on serait tenté de dire plutôt : préemptives) et l'on désigne à la vindicte populaire le moindre excès de vitesse, même s'il ne dure que quelques secondes, et même si le passé de son auteur, à travers le dossier détenu par son assureur, prouve qu'il ne s'agit pas d'un conducteur dangereux. Il est donc trop facile d'interpréter les statistiques dans le sens voulu, alors que les pouvoirs publics, au lieu de généraliser, pourraient établir la véritable responsabilité de la vitesse. Pour cela, ils ont les moyens - et sont seuls à les avoir - d'établir une corrélation entre les causes des accidents et les catégories d'usagers impliqués. Ils ont à la fois les éléments d'analyse et accès aux fichiers des assureurs. S'ils s'en donnaient la peine, on s'apercevrait que la loi est faite surtout pour protéger le conducteur du dimanche des risques d'accident qu'il est susceptible de provoquer lui-même. Démarche démagogique s'il en est envers l'usage familial de la voiture, instrument de liberté au service d'un électeur incidemment pourvoyeur du fisc. Heureusement, il existe quelques bilans qui permettent d'infirmer les thèses officielles. Cette contradiction et ce flou incitent déjà à recueillir avec réserve les assertions officielles. Celles-ci attribuent à la vitesse, comme à l'alcool, la responsabilité de 30% des accidents graves, selon la Sécurité routière, et de presque 50% pour le ministère des Transports. Qui croire ? D'ailleurs l'analyse du mode d'élaboration de ces statistiques laisse vite un sentiment de gène, même si on n'est pas un spécialiste de la question. Tout se passe comme si la responsabilité de la vitesse était considérablement et artificiellement majorée. Le premier argument en faveur de la limitation de vitesse est que, chaque fois que la limite maximale a été abaissée, la sécurité aurait progressé. Ce lien de cause à effet perd de son évidence quand on sait que la décrue de l'hécatombe routière s'était amorcée un an avant les toutes premières limitations générales, appliquées en juillet 1973 sur l'ensemble du territoire. Cette inversion spontanée de tendance, qui s'est accentuée à la mi-1973, est due essentiellement au port de la ceinture de sécurité, alors devenu obligatoire hors agglomération, et de toute façon adopté à grande échelle avant cette date grâce à une campagne de sensibilisation. Si, statistiquement, le nombre d'accidents semble avoir baissé parallèlement, c'est tout simplement parce que seuls sont comptabilisés les accidents corporels. Grâce à la ceinture, nombre d'entre eux ont été limités à des dégâts matériels et ont ainsi échappé au recensement. Cette amélioration provient aussi, mais à un moindre degré, de l'impact positif qu'ont eu les limitations sur les conducteurs à risque (1), dans la mesure ou le respect des 90 km/h sur route et des 130 km/h sur autoroute atténue les conséquences des déficiences, de la maladresse ou de l'inexpérience. Car, cela est vrai, le risque pris par cette catégorie de conducteurs peut avoir des conséquences beaucoup plus graves à grande qu'à faible vitesse (en cas de freinage d'urgence, par exemple, le temps de réaction sera trop long chez un malvoyant). Ce qui implique logiquement que la régression de l'insécurité routière aurait pu être identique, voire supérieure, si la limitation avait touché uniquement ces conducteurs à risque, ou si l'on avait instauré des mesures vraiment indispensables, comme le contrôle régulier de la vue, la neutralisation des chauffards avérés et l'interdiction des épaves roulantes - ces conducteurs ne sont pas difficiles à repérer puisqu'il suffit d'examiner le dossier assurances, pour autant qu'il soit suivi. Ou encore si l'on avait organisé une véritable répression de l'alcoolisme au volant, y compris à partir de 0,5 g/l, et de la conduite sans permis. Ou enfin, si l'on avait engagé une réelle chasse aux excès de lenteur, notamment sur la ou les files de gauche, alors que la formation dispensée tend à installer dans son bon droit celui qui, en réalité, manque de civisme et de respect d'autrui, comme si la route était à monopoliser et non à partager. Quant aux voitures vétustes ou mal entretenues qui, aujourd'hui, sont encore très nombreuses sur les routes, il suffirait, pour s'en débarrasser, d'instaurer un contrôle technique périodique et sérieux, avec obligation de réparer pour que le véhicule soit autorisé à circuler. Bref, si l'on s'était livré à une traque plus efficace - mais plus difficile à décider et à mettre en œuvre ! - de l'irresponsabilité et de la délinquance. Au lieu de cela, on a nivelé par le bas, pénalisant ainsi les conducteurs confirmés, car on oublie trop souvent qu'il y en a, et beaucoup. Pour eux, la vitesse n'augmentait certes pas les risques. Un vieux principe juridique est qu'une loi qui n'est pas respectée doit être supprimée. Or, malgré la pénalisation actuelle de l'excès de vitesse, l'augmentation considérable du trafic et le développement des autoroutes font que pratiquement toutes les voitures dépassent largement les limitations. Les sanctions ne s'exercent donc qu'au hasard. On sait même pertinemment que le nombre de voitures à plus de 90 km/h sur route et 130 km/h sur autoroute est aujourd'hui très supérieur à ce qu'il était en 1972, du temps de la vitesse libre. Alors que des contrôles systématiques effectués par la gendarmerie juste avant l'entrée en vigueur de la limitation avaient indiqué un taux d'à peine 15% de dépassement de vitesse (aujourd'hui, ces mêmes contrôles donnent entre 17 et 58% selon les voies). Selon un sondage récemment effectué par l'Auto Journal, 45% des Français avouent dépasser parfois 130 km/h sur autoroute et 71%, 90 km/h sur route. Le nombre d'accidents aurait donc du augmenter. Non. Le bilan s'améliore depuis vingt ans, bien qu'il reste en France encore très sombre. Et deux exemples statistiques prouvent que ce progrès a d'autres causes que les limitations. En Allemagne, en 1985, une petite portion (6%) du réseau autoroutier a été limitée à 100 km/h pendant un an, pour des études sur la pollution. Les accidents graves ont alors chuté de 17% sur les tronçons limités, certes. Toute déduction du rapport sécurité vitesse est annulée par le fait que c'est exactement le taux d'amélioration qui a été enregistré sur le réseau à vitesse libre. Conjoncture peut-être exceptionnelle ; les Allemands, cette année-là, avaient peut-être moins roulé... ou bien étaient-ils particulièrement inspirés par la prudence. Toujours est-il que les chiffres sont là. Cet exemple est d'autant plus frappant qu'il semble contradictoire avec le suivant. En Suède, au début de l'été 1989, la vitesse plafond a été ramenée de 110 à 90 km/h sur les autoroutes. Résultat : le nombre de morts a plus que doublé par rapport à la même période de 1988. Explication la plus vraisemblable : la proportion de bons conducteurs dans ce pays doit être très importante, ce qui est d'ailleurs confirmé par les statistiques générales européennes, et, en conséquence, la gêne occasionnée à ces conducteurs par la limitation a été plus forte que l'impact positif sur les conducteurs à risque. Car il faut avoir présent à l'esprit le fait que le réseau routier suédois est proportionnellement plus restreint que celui de son homologue allemand, et d'une qualité largement inférieure. Résultat : pour couvrir une même distance, le conducteur suédois est soumis à plus rude épreuve que son collègue allemand. Les tenants de la limitation invoqueront alors, sans doute, une étude de l'AGSAA (2), effectuée en 1986 sur 5 millions de véhicules en France, et visant à déterminer le taux d'accidents des différentes versions d'un modèle. Le résultat était prévisible : les voitures puissantes ou à tendance sportive (GTI ou Turbo en particulier) ont jusqu'à deux fois et demie plus d'accidents que la version de base. Mais cette statistique n'est pas probante : d'une part, elle ne permet pas de comparer les taux d'accidents d'un type d'automobile à un autre ; d'autre part, et surtout, ces indices de fréquence d'accidents ne tiennent compte ni du kilométrage annuel, ni de l'âge, ni de l'expérience des conducteurs, qui sont pourtant des éléments essentiels dans l'évaluation du risque. En effet, les GTI et les Turbo, qui ont un très bon rapport puissance/prix, attirent une importante clientèle de jeunes, aussi épris de vitesse que dépourvus d'expérience et de maîtrise de leurs excès. Tant qu'à invoquer l'AGSAA, on devrait citer l'enquête que cette association avait faite en 1984 sur la dangerosité des gros rouleurs, ceux qui parcourent plus de 30000 km par an, quelquefois jusqu'à 100000, alors que la moyenne est de 13700 km. Elle révélait que si le taux annuel d'accidents augmente avec le kilométrage, il ne lui est toutefois pas proportionnel. Ainsi, lorsque l'on passe de 15700 à 31600 km, c'est-à-dire le double, le taux n'augmente que de 40% et non de 100% comme on aurait pu penser. Et c'est pourquoi, en fin de compte, la fréquence d'accidents au kilomètre est inférieure chez les gros rouleurs (30% dans ce cas). Entre les tout petits rouleurs (700 km/an) et les très gros rouleurs (plus de 60000), les écarts sont énormes (4 fois plus d'accidents par an mais 17 fois moins d'accidents au kilomètre !). Cette enquête comptabilise tous les sinistres déclarés, cumulant donc accidents matériels et corporels. Elle ne fait pas état de la responsabilité des uns ou des autres dans la gravité des accidents, et ne peut donc refléter la part de dangerosité attribuable aux dévoreurs de bitume. Mais elle établit en toute logique que ces gros rouleurs, qui s'avouent hostiles aux limitations et qui sont le gibier tout désigné des radars, conduisent mieux que les autres puisque, pour un parcours équivalent, ils ont moins de risque de causer un accident, ce qui est d'ailleurs logique compte tenu du poids de l'expérience. Cela ne signifie sans doute pas que les gros rouleurs soient infaillibles : si une part de leurs sinistres dits responsables peut être imputée à l'infrastructure routière ou à des conditions météorologiques très difficiles, car ils sont contraints de rouler par tous les temps, ils sont aussi victimes de l'exaspération causée par les limitations, qui les obligent à passer plus de temps dans leur voiture, et qui les exposent donc à la fatigue et à la baisse de vigilance. De plus, nul n'est affranchi du droit à l'erreur, d'autant plus que ces conducteurs sont souvent contraints de terminer leur trajet à la nuit, période ou le risque d'accident s'élève notablement. Ce point est d'ailleurs confirmé par les statistiques des causes d'accidents mortels sur les autoroutes de liaison (grandes distances de ville à ville), élaborées par l'Association des sociétés françaises d'autoroutes, organisme indépendant dont les méthodes d'analyse sont beaucoup plus rationnelles et objectives que celles des pouvoirs publics, dans la mesure ou elles livrent des faits, sans les interpréter pour faire passer un message. Bien que la vitesse moyenne pratiquée sur ces autoroutes soit beaucoup plus élevée que sur route, on constate que la vitesse excessive isolée ne provoque que de 6 à 11% des tués (elle figurait par exemple en 1987 à la 6ème et dernière place des causes établies), bien moins que la fatigue et l'assoupissement, qui font 20 à 30% des victimes. Le Livre blanc de la sécurité routière n'en fait pas moins le procès de la vitesse, affirmant que les autoroutes de liaison (limitées à 130 km/h) ont un taux de tués nettement supérieur (1 tué pour 100 millions de km parcourus) aux autoroutes de dégagement limitées à 110 km/h (0,7 tué). Cette belle évidence est malheureusement affaiblie par une omission importante : l'écart provient des embouteillages ! A preuve, le taux d'accidents corporels est presque deux fois plus élevé sur les autoroutes de dégagement (dessertes rapides autour des villes), pourtant censées être moins dangereuses, que sur les autres : respectivement 11,8 et 6,2 en 1990. Une autre statistique confirme ces résultats : c'est celle qui permet de comparer l'évolution annuelle, depuis 1983, du pourcentage de voitures de tourisme en excès de vitesse de jour, et l'évolution du nombre annuel d'accidents corporels survenus également de jour. Si la thèse de la responsabilité de la vitesse était la bonne, on devrait s'attendre logiquement à une relation de cause à effet entre la vitesse et la gravité du bilan ; c'est-à-dire que ces deux indicateurs devraient évoluer non seulement dans le meme sens, mais aussi à peu près parallèlement. Or, d'une manière générale, les chiffres varient en sens inverse, c'est-à-dire que lorsque le nombre de gros excès de vitesse s'accroît, le bilan annuel s'améliore et vice versa ! Et dans les cas ou ces chiffres ne varient pas en sens opposé, on constate qu'ils n'évoluent pas de façon proportionnelle. En conclusion, si la vitesse est bien, pour certains dans certaines conditions, un facteur aggravant, et si les très gros excès de vitesse (ainsi que beaucoup d'excès moins importants chez les conducteurs à risque) sont condamnables, la recrudescence des excès de vitesse a une influence globalement favorable sur le nombre d'accidents corporels, (mais aussi d'ailleurs sur celui des morts), et n'a donc pas de conséquences négatives sur la sécurité routière, bien au contraire. Il faut bien reconnaître que c'est le respect des limitations qui est un facteur d'accident. Par la congestion du trafic, l'énervement de ceux qui les subissent et l'entêtement de ceux qui s'instaurent en justiciers : Je roule au maximum autorisé, donc nul n'a le droit de me dépasser et je peux coller à celui qui me précède. Même conclusion quand on compare l'évolution, depuis 1973, du nombre d'heures passées par la gendarmerie à contrôler la vitesse à celle du nombre des accidents sur le réseau contrôlé par cette même gendarmerie . Si la vitesse était vraiment la cause essentielle d'accidents, les deux chiffres, chaque année, devraient varier en sens inverse puisque la surveillance de la vitesse est en principe destinée à limiter ou faire régresser l'hécatombe routière. Or, cette évolution a lieu seulement 7 fois sur 17 (années 1974, 77, 82, 83, 84, 87 et 89). Et de toute façon, là encore, on constate qu'en 1983 et 1987 il existe un écart important entre les deux chiffres. Autrement dit, la diminution du nombre d'accidents ne peut pas être imputée à l'augmentation du volume de surveillance de la vitesse, qui est très faible. Et l'amélioration du bilan en 1974 est due essentiellement, on l'a vu, au port de la ceinture et, dans une moindre mesure, à l'impact positif des limitations sur les conducteurs à risque (peut-être aussi à la baisse importante du trafic consécutive au premier choc pétrolier). Force est donc de constater que la répression de la vitesse n'a pas l'effet que prétendent les pouvoirs publics. Comment en serait-il autrement quand cette répression s'exerce la plupart du temps en des lieux ou la vitesse n'est pas dangereuse : descentes, zones droites et dégagées (mais cinémomètre masqué par une pile de pont !) ? Voire en des circonstances ou, paradoxalement, elle concourt à la sécurité : dépassement le plus rapide possible pour dégager la voie ? La découverte d'un radar peut aussi entraîner une perturbation du trafic par des freinages intempestifs ; et ces radars, bizarrement, ne sont plus là quand les conditions de circulation peuvent devenir véritablement dangereuses, sous la pluie, par exemple. Ils perdent donc de leur crédibilité et de leur efficacité. En revanche, la prévention contre l'alcool aurait une tout autre portée en matière de sécurité routière. Malheureusement, la carence est flagrante dans ce domaine. Or tout le monde sait que l'alcool, même à faible dose, rend euphorique. Sauf s'il s'agit de quelqu'un d'exceptionnel, chez lequel les automatismes sont très puissants, un conducteur qui a bu va, non seulement enfreindre les règles élémentaires du Code de la route (conduite à gauche, non-respect des priorités et de la signalisation en particulier), mais il aura aussi tendance à rouler vite, voire très vite, sans s'en rendre compte, comportement aggravé par la diminution de ses facultés visuelles, de la rapidité de ses réflexes et de sa faculté à réagir convenablement face à l'imprévu. Dans ces conditions, quand un chauffard ivre provoque un accident à vitesse élevée, il est malhonnête de considérer la vitesse comme l'une des causes de l'accident ; elle n'est que la conséquence de l'état d'ébriété. Même si l'alcoolémie est légèrement inférieure à la limite légale de 0,8 g (en France), on ne peut absolument pas dire qu'elle ne soit pas la cause de l'excès de vitesse, puisqu'il a été établi formellement que le danger commence sérieusement à 0,5 g/l (limite déjà adoptée dans bon nombre de pays et qui deviendra probablement la limite européenne). Et pourtant, dans ce cas, c'est seulement cet excès de vitesse qui sera pris en compte, en l'absence d'autres causes manifestes, bien sur, pour établir les statistiques. Rappel opportun : outre l'alcool, de nombreux médicaments (anti-dépresseurs et psychotropes), sans parler des drogues illicites, induisent l'euphorie. D'autres (hypotenseurs, par exemple) induisent de la fatigue et une baisse de vigilance (3). Mais leur présence dans le sang n'est jamais recherchée, ce qui conduit, là encore, à ne retenir que la vitesse comme cause de l'accident. Et pourtant, une enquête menée en 1988 par le SAMU de Lille a montré que 15,5% des conducteurs impliqués dans des accidents corporels présentaient dans leur sang des traces de tranquillisants. De plus, 6,5% de ces mêmes conducteurs avaient en plus des traces d'alcool. Même si l'on veut les croire honnêtes, les statistiques officielles ne sont donc pas valables. Même dans les enquêtes REAGIR (4), il est arrivé qu'on mélange les facteurs favorisants, déclenchant et aggravants, alors que leur différenciation a un intérêt fondamental en accidentologie. Si l'on n'ouvre pas le vrai dossier, on ne conciliera jamais liberté de circulation et droit à la sécurité. En désignant obstinément la vitesse comme seule coupable, on butera à jamais sur le seuil inadmissible de 10000 morts par an. Or, peut-on à la fois admettre cette fatalité et se donner bonne conscience ? (1) Il s'agit, essentiellement, des débutants ou des conducteurs peu expérimentés, des personnes ayant une mauvaise vue, des conducteurs âgés, des possesseurs de véhicules mal entretenus, voire d'épaves roulantes, des détenteurs de malus importants (c'est-à-dire les habitués des sinistres, même sans gravité), etc. (2) Association générale des sociétés d'assurances contre les accidents (3) A propos de fatigue, un sondage effectué en janvier 1986 par la SOFRES révèle que 25% des usagers de l'autoroute affirment ne pas faire de pause repos sur des parcours compris entre 250 et 400 km ! On se demande dans ces conditions comment les accidents ne sont pas plus nombreux. (4) REAGIR : initiales de Réagir par des enquêtes sur les accidents graves et les initiatives pour y remédier, programme lancé à partir de 1983 afin de cerner avec un maximum de précision les causes des accidents.
Contribution le : 18/07/2006 03:18
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Pacha | 0 #29 |
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Je masterise !
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cedd_dd, j'ai pas lu ton pavé en entier.
Ce pavé que tu utilises comme une source sure et certaine date de plus de 15 ans, ce meme pavé explique qu'on ne passera jamais sous les 10000 morts/an si on continue la meme politique répressive de limitation de vitesse. Or on a meme accentué cette politique et on parle de passer sous la barre des 5000 décès/an. Pour toi, les statistiques d'accident du début d'année au cas ou tu ne me croirais pas. C'est sur que conduire a 130 avec une 4L est plus dangereux qu'à 150 sur une BMW dernier cri, mais il est important d'imposer des règles pour le bien de tous. Le plus grand danger, c'est une trop forte diufférence de vitesse entre l'ensemble des véhicules. Alors certes on pourrait par exemple augmenter à 150km/h la vitesse maxi sur autoroute si tous les véhicules étaient capables d'atteindre cette vitesse dans des conditions sures mais tel n'est pas le cas. De plus, il existe aussi une composante écologique, la consommation d'un véhicule motorisée varie plutot exponentiellement avec la vitesse, si tout le monde carburait a plein gaz, pas la peine de te faire un dessin... Sinon pour ce qui est de la vidéo, oui ce motard est un assassin, rouler a une telle vitesse dans de telles conditions relève du mépris de la vie d'autrui et de sa propre vie. edit: en fait on est apparemment déja passé sous les 5000 morts/an
Contribution le : 18/07/2006 03:37
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Crazy-13 | 0 #30 |
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j'ai lu tout ce qu'il y avait d'écrit dans le post de cedd_dd , et il est vrai que tout mes accident ( qui quand ils comprenaient une tierce personne n'étais pas de ma faute ) ont eut principalement lieu quand je ne roulais pas vite ( sauf mon premier qui lui était dû à mon inexpérience de la conduite à grande vitesse de nuit et sur route humide )
Car quand je roule vite je suis plus vigilant que lorsque je roule vraiment de façons posé ( et ça principalement sur les routes que je connais par coeur ) bon tout ça pour dire que ce qui est dis au dessus est bien vrai ( même si ça fais un moment que cela a été écrit )
Contribution le : 18/07/2006 03:56
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cedd_dd | 0 #31 |
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Dejà quand tu vois le sp95 à 1,40€, tu utilises + de transports en commun (j'aimerais connaitre l'augmentation d'utilisateur de transport en commum), + de covoiturages. Aujourd'hui, le nomdre de voitures neuves en vente équipées d'ABS, ESP, ASR, BAS..... est de 70% contre 50% en 2001, on ne peut pas le nier cela reduit aussi le nombre d'accident. Le capitaine de soirée se developpe de plus en plus dans les boites, qui se voit meme offert l'entrée ainsi qu'une conso (non alcoolisé biensur). Reduire la vitesse sur les nationales, agglo et departemental, je suis 100% d'accord, mais depenser des millions d'euros pour pomper notre fric sur l'autoroute, je le suis beaucoup moins. Je prend quotidiennement l'autoroute pour aller à mon travail, et effectivement j'y des accidents toutes les semaines mais pourquoi ? Ceux ci se deroulent lors des apres midi, surtout vers 16/17h, lorsque que l'autoroute est bouché, il y a souvent des accrochages.... mais nullement du à la vitesse, plutot au manque de concentration, un freinage trop brutale pour le gars qui colle son parchoc à la voitur equi le precede. Par ailleurs, dans ma famille ainsi que dans mon entourage, je ne connais aucune mais alors aucune personne qui s'est deja planté à grande vitesse (là vous me dites normal, s'il s'est planté il est mort donc normal que tu connais pas). Mais meme autour de moi, aucun ne connait qq'un qui s'est tué à cause d'une vitesse trop excessive. Allez peut-etre une personne tout au +. Par contre, tout le monde connait qq'un qui s'est planté parce qu'il etait bourré (pêut etre à grande vitesse, mais vous conviendrez que celle-ci n'est que la consequence de l'alcool). Plusieurs personnes connaisssent des proches qui se sont endormis au volant. Qui ne connait pas quelqu'un qui a pu se servir de son portable au volant ne serait ce qu'une fois ???? Je pense qu'il faut arreter l'hypocrisie générale, et admettre qu'il y a autre chose de génant dans le comportement des français !!!!!!! Pour finir tu parles de mepris, pour la video je suis d'accord bien qu'il fait bien attention, quelques moments de folie mais bon.. Mais comment juges tu les gens qui telephone en roulant ? Les gens qui roulent sur la voie de gauche ou milieu alors qu'ils sont seuls ? Les gens qui brulent des stop et feu rouge ? Perso, un gars qui me double à 200, ça se compte sur les doigts d'une main en une année, mais pour le telephone, les gauchiste et centriste d'autoroute et les stop feu roufe, j'ai pas assez de mes mains pour la journée
Contribution le : 18/07/2006 04:03
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cedd_dd | 0 #32 |
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Perso, tout le temps verifier son compteur pour savoir si on depasse ou pas, etre à l'affut à chaque instant pour ne pas depasser la vitesse, c'est une perte de vigilence considerable sur ce qui nous entourre. Je trouve ça d'autant plus dangereux qu'une personne s'adapte en roulant suivant les conditions et ne stressant pas à verifier de longue son compteur en oubliant de regarder devant soi
Contribution le : 18/07/2006 04:06
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Crazy-13 | 0 #33 |
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je vais devenir Francophobe à force
Quand je roule en moto ce qui me fais le plus flipper c'est le comportement des autres usagé de la route, je suis constamment obligé de surveiller tout ce qu'il ce passe autour de moi, de me mètre à la place de chacun des conducteurs que je croise sur ma route ( histoire de savoir si ils m'ont vu ou non ), pour anticiper ce qu'il pourrait être amené à faire comme manoeuvre qui serait potentiellement dangereuse pour moi ( dans le cas ou ils n'auraient pas remarqués ma présence auprès d'eux ). Faut toujours faire sont maximum pour ne pas surprendre ni être surpris quand ont conduis.
Contribution le : 18/07/2006 04:12
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Crazy-13 | 0 #34 |
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ça c'est vrai, j'ai d'ailleurs vu l'été dernier des accidents qui ont eut lieux par ce que les gens regardaient leur compteurs pour voir si ils ne roulaient pas trop vite, et ça par ce qu'un radar fix avait été indiqué, alors sur ces route fréquenté au moment des vacances, et entre les usagé qui y passe régulièrement et ceux qui ni passe que rarement ( voir pour la première fois ) il y a une différence de comportement face à cette annonce, et donc ceux qui y passe tout les jours sont parfois surpris par quelqu'un qui à ralentis brutalement pour ne plus être au dessus de la limitation de vitesse, et ça parfois dès qu'ils ont vu le panneau signalant le radar. L'autre usagé moins attentif ( car il connaît cette route par coeur )et sachant quand il doit ralentir peut être surpris et percuter par l'arrière ce "touriste" ( chose que je regarde aussi les plaques d'immatriculation des voitures )
Contribution le : 18/07/2006 04:20
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0 #35 |
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faut jamais sniffé la ligne blanche de l'autoroute du vice
Contribution le : 18/07/2006 07:30
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0 #36 |
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Fantôme
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Désormais ya l'airabag sur les motos du moin j'en connais qu'une seul c'est une Honda goldwin,les gros truc pas beau. et puis je vois trop souvent des mecs en bagnole qui bourre comme des cons et des qu'il y a 1 radars pile direct. enfin bref les lois ont étaient faitent par des cons qui eux meme ne respecte pas les limitation de vitesse car ils sont de l'état pfff en bref des connards qui impose des lois et qui sont pas foutu de les respécté
Contribution le : 18/07/2006 08:14
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damienlann | 0 #37 |
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grenoble lyon en 16 min : ben ouais
ici conseiller par michelin 34 min en forcant un peu 16. (ca fait 127.5 km/h de moyenne) bon d'accord c'est pas le grenoble que l'on pensait mais bon c'est grenoble quand meme. parce que grenoble lyon(ici present) : 115km - 16min = 431.25 km/h. (vitesse moyenne) bon admettons... mais j'espere qu'il a un bon casque et un permis à 92 points.. @+
Contribution le : 18/07/2006 08:50
Edité par damienlann sur 20/7/2006 22:04:31
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0 #38 |
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Fantôme
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il a du faire la moitié
Contribution le : 18/07/2006 09:05
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damienlann | 0 #39 |
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surtout que la vitesse la moins importante que l'on voit sur la video c'est 103 km/h... il a donc dut faire des sacré pointes (genre 759.25 km/h) pour ratraper ses "faible" vitesse.
Contribution le : 18/07/2006 09:12
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0 #40 |
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Fantôme
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le pavé à cedd_dd est relativement reel, a part les statistiques.
avec environ 100000 kms par an, bah pas beaucoup de cartons. le dernier, le plus grave, à environ 90 km/h en 1998, la bagnole est partie en tonneau en ligne droite sans raison... Depuis, que je suis obligé de "respecter" les limitations, bah, j'ai pas specialement d'accidents, mais je fais plus de conneries qu'a vitesse plus elevee, non pas a cause du fait de regarder le compteur, mais n'avancant pas, on est moins attentif, on a le temps de regarder le paysage.... par contre, pour le mec en moto de la video, ce n'est pas la vitesse qui est genante, simplement, sa façon de doubler entre les autres vehicules ou se mettre sur la roue arriere pendant trop longtemps sans voir ce qui se passe devant.
Contribution le : 18/07/2006 09:53
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