Des journalistes de France 2 se font tirer dessus par Daech en Syrie

Franck Genauzeau et le cameraman Giona Messina travaillent pour France 2. Ils étaient en train de réaliser un reportage dans la province d’Alep, en Syrie, quand leur groupe a été pris pour cible par les combattants de Daech. Il n’y a eu aucun blessé.

L’action se passe à partir de 1:50.

Ils ont du courage de se rendre si près du front

J'espère qu'ils sont quand même sûr de leur coup quand ils vont dans ces zones. Qu'un journaliste se prenne un obus, c'est triste mais on saluera leur courage pour diffuser de l'information.

Mais si ils se font prendre en otage là ils ont vraiment aucune excuses, et si la France doit encore payer des millions aux terroristes à cause de journalistes mal informés ça va commencer à bien faire.

@Blackjackdavey

Ils sont dans une zone de guerre, tout peut arriver, au final, ils peuvent même se faire kidnapper, dans la ville où il y a eut l'attentat

Après, ils veulent tellement être au coeur de l'information, qu'ils sont capable de prendre de sacré risques pour être en première ligne

justement je trouve ça très con, pas pour leur vie mais pour le fric qu'ils représentent pour les organisations terroristes. La France est un des rare pays qui paie les rançons donc les journalistes devraient faire beaucoup plus attention que ça à mon avis.

Citation :J'avais jamais fait ce lien mais en effet... Par contre, pour ce qu'ils sont payés pour diffuser de telles informations, tu penses pas que c'est quand même un risque à prendre? (et je ne dis pas ça par rapport à l'argent qu'on donne à Daesh mais pour le fait qu'on tente de les libérer)

Ca reste de l'information importante..

@Siddh

Je ne suis pas d'accord avec toi sur l'importance de cette information, de mon point de vue.

La géopolitique syrienne on peut la connaitre assez objectivement en démultipliant les canaux d'informations. Et ce alors que nous étions toujours à nous focaliser sur la Libye.
La France est trop partie prenante pour que son service publique fasse un montage du reportage et une présentation du reportage qui ne reflète pas la réalité du terrain. Pourtant là où ça a été tourné.

Quand à l'importance médiatique on a bien vu la couverture de la grève des taxis par rapport à la couverture de la grève des enseignants.