Histoires folles

Que chacuns raconte son histoire la plus loufoque qu'il ne vous aient jamais arrivée.
perso : j'en des centaines

je comence: quand j'avais 7 ans, j'était allé vers le cap d'Ague et j'avais pris des cours de bateau a voile.
Un jours, alors qu'il y avait un vent térible et que nous repartions (toujours en bateau a voile)vers la terre ferme,
mon bateau s'est retourné d'un coup de vent énorme et je me suis retrouvé en dessous du bateau. Je n'arrivais pas a sortir du dessous du bateau a cause de mon gilet de sovetage. 15 min plus tard (qui mon paru une heure) le mono s'était enfain rendu compte que je n'était pas revenu .
Quand il ma retrouvé j'était complaitement gelé et j'aretais pas d'éternué et je me suis fait pamal grondé par le mono alors ke je n'y était pour rien!


voila c'est un peu long mais c'est dit!
maintenant, tous sur votre clavier et raconter la votre!!!

et si tu éditais ton post pour qu'il soit en français et non en sms ? ce serait super chouette et vachement fou comme histoire

C'est où le Cap d'Ague?
Moi je connais le Cap d'Agde....

:bizarre:

c'est vers la mer méditéranée

c'est vers chez moi!

Citation :
Citation :
Citation :

ça avance énormement ceux qui ne connaissent pas !!!!

Si mes souvenirs sont bont c'est vers l'étang de thau, vers sete, vers montpellier .... enfin je crois


C'est pas un endroit naturiste là bas ??? :bizarre: :gratte:

J’aime bien le Cap d'Agde hors saisons touristiques !

Par contre en été depuis quelques années c’est le repère des vautours !

Je préfère La ciotat et Cassis !

Vi Xteuff, il y a un grand centre narutiste au Cap d'Agde, cité touristique à mort.....

D'autre part il y a de + en + de délinquance là-bas depuis 5-6 ans, touristes gare à vous!

Le Cap d'Agde, j'aimais beaucoup il y a 15 ans, maintenat je n'y retournerais pas!

Flood!

Citation :

BAN ! !

Sinon Coolkid, c'est pas cool de t'être fait gronder....en plus tu éternuais :-?

Allez les amis.. on se concentre un petit peu..
Coolkid, ça serait cool de faire un petit effort. Pour que les gens apprecient de te lire, il faudrait que tu fasses un peu plus attention à ton français et que tu bannisses le style sms .
Quant aux gens, jouez le jeu. Y'a t'il des histoires palpitantes comme celle de coollittlekid qui vous sont arrivées? Si oui, racontez nous les. Sinon, abstenez vous de faire des commentaires. Si le sujet n'est pas populaire, il coulera de lui même.

Merci, les gens.

Ca ne m'est pas arrivé mais je l'ai vu : C'était à Sarrebruck, un escalator qui descend dans une galerie commerciale depuis la rue ... et j'ai vu une pauvre mamie perdre l'équilibre en haut, tomber, et dévaller les marches, tête la première.
Snif, c'était pas très beau.

ce topic me fait penser à une chanson de vincent baguian dont voici un extrait de sparoles :

"J'ai un physique dont chui content
Et un psychique satisfaisant.
J'ai un corps sain, un bon médecin
Tous mes rappels tous mes vaccins.
J'mange à ma faim depuis qu'suis né
J'me lave les mains avant d'manger.



J'suis réformé militairement
Car j'n'étais pas assez résistant
Mais j'ai un beau-père passionnant
Qui a fait la guerre contre les Allemands
J'ai plein d'histoires à raconter
Quand j'étais p'tit j'me suis cogné.



J'suis moins bon
J'suis à la bourre
J'suis sous Souchon
Sous Gainsbourg
J'suis moins bon qu'eux c'est cruel
A côté de Jacques, j'suis qu'une brelle
J'suis moins bon
J'suis à la bourre
J'suis sous Souchon
Sous Gainsbourg
J'suis moins bon qu'eux, j'ai tout raté
Quand j'serai grand, j'sais pas c'que j'ferret."

C'est l'occasion pour moi de sortir une histoire ou deux


Histoire d’une épingle à linge !

En 1936, un jeune et vaillant ouvrier, éperdument amoureux de la plus belle fille du canton, prit son courage à deux mains pour se présenter devant ses futurs beaux-parents. Une demande en mariage dans les règles était alors nécessaire pour pouvoir seulement espérer un simple tête-à-tête avec l’élue de son cœur.
Reçu après le repas dominical, au moment du café, l’affaire se présentait bien. Malgré sa condition modeste, son savoir-vivre et sa culture générale peu commune ravissaient ses hôtes quelque peu snobs. La tasse à la main, le petit doigt bien tendu, il attendait poliment que l’objet unique de sa visite soit enfin abordé, après moult banalités. C’est alors que la catastrophe arriva : pour s’essuyer discrètement les lèvres, il sortit son grand mouchoir à carreaux. Les rires moqueurs éclatèrent alors et secouèrent l’ensemble des convives. Vite il rangea l’objet incongru, mais les rires redoublèrent. Il ne s’était pas aperçu qu’avec ce tire-jus bien innocent était tombé de sa poche une petite liasse de billets de banque, sa carte d’identité et quelques autres paperasses, le tout retenu par une simple épingle à linge toute bête, en bois comme tout le monde en voit régulièrement.
Il ramassa vivement ce qui lui servait depuis longtemps de portefeuille improvisé, et prenant lui-même le parti d’en rire, il pensât l’incident clos. Que nenni… la belle elle-même ne pouvait plus regarder notre malheureux héros sans pouffer d’un rire bruyant et cruel ! Si bien que tête basse, il prit congé, renonçant, au moins pour un temps, à sa si chère requête. Cette petite chose en bois était bien responsable de sa déconvenue : furieux, il triturait cet objet dans sa poche, y enfonçant de rage les ongles. Rentré chez lui, il jeta l’épingle au hasard se promettant d’acheter dès que possible un portefeuille plus adéquat.
Le temps passa, la belle épousa un ami de son premier soupirant déchu, qui lui-même trouva une autre chaussure à son pied.
L’histoire aurait pu être oubliée, mais, bien des années plus tard, au cours d’un déménagement, sur le dessus d’une armoire notre brave homme retrouva cette fameuse épingle à linge qui portait encore les traces de sa colère. Il éclata alors d’un grand rire car il connaissait le véritable enfer que son ami avait vécu avec l’ex plus belle fille du canton. Ses parents ruinés avaient fuit le village, elle était devenue stérile après une première grossesse qui s’était hélas très mal terminée.
Son caractère s’en trouva aigri à jamais et ce visage si beau autrefois devint très vite le reflet de son acariâtreté : laide, dans sa tête et dans son corps. Son mari fut son souffre-douleur et sombra dans la dépression, l’alcool, la maladie et l’année dernière, c’est avec soulagement qu’il mourût.
Cette épingle à linge lui avait, bel et bien, évité cet invivable mariage ; il la conserve encore aujourd’hui comme son unique porte-bonheur. Je le sais pour l’avoir vu s’en servir pour retenir ensemble les tickets à gratter que je venais de lui vendre.
POMMIERS, le 31 juillet 2003

une derniere, j'en ai d'autres mais je veux pas vous ennuyer...

Un petit caillou !


J’habite à environ 200 mètres d’un petit affluent de la Loire : l’Aix. Où je vais très souvent, pour me promener, pour pêcher ou ramasser des végétaux sauvages, comme des iris ou des petits plans de buis. Non loin du lit de cette rivière, j’ai découvert un arbre énorme, couché par une tempête de vent après que ses racines aient été minées par les crues. Comme cet arbre est mort depuis plusieurs années, il m’est difficile de lui donner un nom, mais d’après sa taille, je suis certain que son age est nettement supérieur à deux cents ans.

Au milieu de ses racines, j’ai découvert un caillou dont la forme m’a séduit et je l’ai ramené à la maison. Je m’en suis servi pour améliorer la présentation de l’un de mes bonsaïs. Ce n’est que plus tard que je me suis rendu compte que ce caillou avait quelque chose d’extraordinaire : je suis le seul être vivant sur cette terre à l’avoir vu. Je m’explique : cet arbre a, depuis qu’il existe, caché cette pierre sous son tronc et donc depuis deux siècles au moins personne n’a pu la voir.

Je suis donc retourné auprès de mon arbre, mais cette fois équipé d’un petit sac en toile. J’ai dégagé un peu de terre de ses racines qui font, j’ai oublié de le préciser, une paroi verticale, puisque l’arbre est couché d’environ deux mètres sur deux. Puis, en fermant les yeux, j’ai continué à gratter, jusqu'à ce que je trouve un caillou d’une taille convenable, c’est à dire celle d’une pomme, et sans le regarder, je l’ai glissé dans mon sac en toile. Grâce à ces précautions, il s’agit bien d’un caillou magique qu’aucun être humain vivant n’a jamais vu, même pas moi.

Je possède maintenant un objet unique, d’une valeur inestimable. Peut-être est-ce un diamant énorme, ou une pépite d’or, ou une quelconque pierre précieuse, ou une pierre ordinaire mais qui eut une histoire pas banale ! Elle gardera ce pouvoir de me faire rêver tant que ma curiosité ne l’emportera pas, et ce n’est pas demain la veille.



Pommiers, le 7 juin 2004.

Excellente l'histoire de la pince à linge Doc !
Tu l'as péchée où ? !!!

Au passage, bienvenue sur Koreus ^^ !

Magnifiques ces deux histoires doc...

au passage, bienvenue aussi !!!

Je me suis amusé à les écrire moi-même !
merci pour votre accueil et...
puisque ça vous plait :


Lézard !


Dans la cour de ma maison, j’observe souvent de petits lézards. Bien que je n’aie jamais manifesté à leur encontre un quelconque geste d’hostilité, ils restent sur leur garde. Un jour, en soulevant un pot de fleurs, je découvre un ver de terre de bonne taille : dix centimètres de long et de la grosseur d’un crayon à papier. Comme quelques minutes auparavant j’avais vu un de mes amis des murailles, je jette ce ver à proximité du saurien. Il se précipite dessus et à mon premier grand étonnement, il réussit à en couper un morceau à la force des mâchoires. Lorsque j’étais enfant, il m’est arrivé d’aller à la chasse aux lermuzes, et bien entendu de me faire mordre ou du moins pincer juste assez fort pour être surpris et lâcher prise, mais de là à être capable de couper en deux un gros lombric ! …

Deuxième surprise, le petit reptile, sa proie à la gueule fait plus d’un mètre dans ma direction, se campe sur un rebord de jardinière, et me faisant face termine son providentiel repas, se lèche les babines en me regardant avant de disparaître dans la végétation. En me racontant cette petite histoire, j’avais déjà du mal à me croire, à tel point que je pensais ne pas la raconter à quiconque, étant persuadé qu’alors je passerais pour un menteur.

Le lendemain, troisième stupéfaction encore plus incroyable : exactement à l’endroit où j’étais la veille pour assister aux agapes, il y avait l’autre moitié du vermisseau ! Coïncidence bien sûr, troublante tout de même, il serait idiot de penser que le lézard reconnaissant ait agit ainsi pour me faire partager sa bonne fortune en me donnant ma part du butin. Mais, et si ces petites bêtes l’étaient moins qu’on ne le pense ?

En ce qui me concerne, depuis cette aventure, je ne regarde pas les lermuzes comme avant…



Pommiers le 25 mai 2004

Pas mal mais unpeut extraordinaire tout ca