Une chanson pour comprendre le programme de Macron

Citation :

MARINE LE PEN

Voilà, c'est cadeau, tu ne risque rien.

@vivi130 Citation :
Je ne sais pas non plus pour vous, Madame ou Monsieur, mais
pour moi, le retour sur terre, c'est tout les jours à commencer
par le premier du mois et croyez-moi, je n'ai pas envie d'en rire.
Alors soyez gentil(le): laissez-moi rêver un peu à un monde meilleur
où les uns pensent un peu plus aux autres,
et pas à un monde où c'est chacun pour ma gueule comme d'hab'.
ses soutiens vedettes sont ridicules et hauts perchés.
Ensemble, si on les laisse faire, ils nous maqueront au plus offrant.
Bah, se sera sans ma voix!

@MonsieurGoule
Emmanuel Macron est le candidat qui a été le plus transparent sur ce sujet. Déjà cible de rumeurs malveillantes, il avait publié en juin 2016, la mise au point suivante :

« Emmanuel Macron n’a évidemment jamais rien dissimulé à l’administration fiscale. Il n’a pas sous-évalué son patrimoine en vue d’échapper à l’ISF, ni organisé de dispositif fiscal pour échapper à cet impôt.

Des échanges ont eu lieu avec l’administration fiscale au sujet de l’évaluation de la maison de famille de son épouse au Touquet. Conscient de la nécessité, dans la fonction qui est la sienne, de faire les choses de manière irréprochable, il a fait appel à l’un des cinq experts nationaux indépendants auprès la Cour de Cassation. Cet expert a conduit un travail approfondi pendant plusieurs semaines, a étudié les valorisations des biens comparables situés à proximité, a visité la maison qui avait fait l’objet de travaux en 2011, et l’a au final évaluée à 1,2 million d’euros. Compte tenu des emprunts qu’il avait contractés pour des travaux et pour acheter son appartement à Paris, cette valeur le plaçait en-dessous du seuil de l’ISF. De son côté, l’administration fiscale a reconsidéré la valeur de la maison du Touquet. Après discussion, l’administration a arrêté sa valeur à 1.453.255 euros.

Compte tenu de ses fonctions, il a accepté cette évaluation administrative et a renoncé à engager plus avant les discussions. Alors qu’il estime être parfaitement dans son droit, il n’était pas envisageable pour lui, comme ministre, d’entamer un dialogue plus long voire une action contentieuse contre l’administration. Le 18 septembre 2015, il a donc procédé au règlement d’un ISF, pour les années 2013 et 2014, respectivement de 4.174 euros et 2.264 euros. Il est donc faux de dire qu’il aurait fait l’objet d’une procédure de redressement fiscal, car c’est une régularisation qu’il a lui-même effectuée. »

@SpirAngel
Faux ! Emmanuel Macron ne doit rien à personne, et cela vaut pour Mr. Patrick Drahi.

Il n’a, notamment, pas aidé ce dernier sur la vente de SFR. Au moment où il est arrivé comme ministre de l’Economie, le rachat était déjà en cours. Il avait été accepté par le groupe Vivendi, dont SFR est une filiale à 100% (l’Etat n’a pas un euro au capital de l’entreprise). Un avis favorable a ensuite été émis par l’autorité de la concurrence, qui a donc approuvé la transaction.

Au contraire, Emmanuel Macron s’est, plus tard, pendant son mandat de ministre, opposé à Patrick Drahi lors de sa tentative de rachat de Bouygues Telecom par SFR.

Les sollicitations de BFM TV ou les choix de Une de l’Express, propriété du groupe Altice, sont enfin du seul ressort de ces médias. Et pas toujours suivies de couvertures favorables.