Glor.io, un survival multijoueurs addictif mais qui ne pardonne pas

@NeekyZback Je le referais plus, c'est trop long

Encore un bon jeu de merde pour gros.

@goreghost

Ok

Le mec qui a ramené la moitié des mobs du niveau sur mon fort est un bon gros enfoiré ... Mais j'avoue que c'est bien joué

Citation :

Faut pas se sentir visé.

Citation :

Oops

Je me souviens très bien, j'ai hésité et tu as montré les Crocs donc j'ai attaqué.

@Hebus25

Ah ba voila! Du coup ça me revient le pseudo!

Ba j'ai pas montré les crocs, j'ai fais que dalle et tu m'as flingué mes accompagnateurs! Du coup je me suis dis "qu'est ce qu'il me fait lui?" Je m'en vais te butter les tiens pour te rendre la pareil et t'as fini de me flinguer...

jeu sympa, on fait vite le tour quand on est pas bcp, mais a développer

je me suis amusé avec la team Koreus cependant, mais se fini vite vu l'heure, pas bcp de monde, oblige de se taper dessus avec les mecs du forum ^^

et j'ai perdu ^^

Los Brutos In game ^^ (pour celui qui m'a eu ^^ )

@justeungif Désolé de t'avoir emmerdé, mais vous manquiez d'ennemis dans votre partie.
Le fou rire que j'ai eu quand Giorgio m'a exécuté (moi le prisonnier Baboulinet) et a commencé à détruire TA base en pensant que c'était la mienne

@MonsieurGoule

ah c'était toi! mais oui, mettons un peu de fun

bon jeu, a+

C'est ma foi sympathique!

marrant, j'ai eu des débuts difficiles, et j'ai passé la plupart de mon temps de jeu à me faire attaquer par des gens. Impossible de progresser.

sans le sou, et sans perspective d'avenir, j'ai été frapper à la porte d'une gigantesque forteresse. Un type immense, juché sur un loup en est sorti pour me chasser avec toute la véhémence dont sont capables les hommes qui chevauchent une telle créature. A deux doigts de me faire occire, j'ai usé de la seule carte que je possédais: à défaut d'être un noble ou un fier combattant, j'ai usé de mon esprit malicieux et me suis aventuré à l’interpeller en espagnol, juste avant qu'il m'assène le coup de grâce. Il retint son bras, me scruta un instant et me lança un "que quieres?"
Je lui lançai alors un desespéré "comida por favor".
Après quelques interminables secondes de reflexion, il me lança quelques épluchures de carottes, me dit de partir et de ne jamais approcher sa forteresse à nouveau.

fort de ma nouvelle fortune, je décidai d'aller installer mon camp dans le grand nord, là où les tyrans n'iront pas me persécuter. Je m'inventai ainsi une vie d'agriculteur, et investissais toutes mes ressources dans les plantations de carottes. Je ne serai pas le héros qu'on attendait, mais je me contenterais bien volontiers de la vie confortable d'un grand propriétaire terrien. Le projet prenait forme et j'étais plutôt fier de mon come-back.

Mais le sort est parfois cruel avec les honnêtes gens. A peine avais-je dépensé mes dernières rations pour finaliser mes plantations (administrées par Diego, le jardinier que j'avais fait venir à prix d'or) que je vis se dessiner dans la brûme matinale une armée. 2 solides guerriers, et leurs 6 mercenaires sanguinaires faisaient route vers moi. Je constatais alors avec effroi qu'ils avaient rasé ma source d'or, mon point de sauvegarde, et qu'il s'apprêtaient à détruire mon domicile, puis en fertiliser la terre avec mon sang. Je n'eu le temps que de ramasser à la hâte quelques rations de carottes que j'avais mises de coté, et je pris la fuite, les yeux humides en voyant les sauvages prendre possession de mes biens.

J'eu du mal à trouver le sommeil les jours suivants, mais pas pour les raisons que l'on croit. Malgré toutes mes mésaventures, je ne pouvais m'empêcher de penser à ce mexicain à qui je devais la vie. Je me sentais redevable et j'en conclus que mon malheur ne pouvait venir que du fait que j'ai lâchement abusé de la générosité d'un homme solitaire pour bâtir mon empire. Je décidais donc de rassembler mes quelques carottes et d'aller trouver cet étrange personnage.
Arrivé devant sa forteresse, il me fût difficile de l'interpeller sans risquer de me faire décapiter une énième fois. A croire qu'on ne s'y habitue jamais vraiment. Je parvins cependant à lui tendre une botte de carottes, en lui disant que c'était ma dette envers lui.
Une nouvelle fois, il retint son bras au moment fatidique, et hésita longuement à reprendre son bien. Il semblerait que j'ai pris le bonhomme par surprise.

contre toute attente il accepta mon offrande, et dans un étrange élan de sociabilité, me proposa de créer un clan à nous deux. En un rien de temps, lui et moi étions devenus amis et alliés malgré la barrière de la langue. Il m'enseigna l'art du combat sur des mannequins qu'il fabriquait pour moi, m'emmena chasser l'ours et m'aida même à construire une maison adossé à sa muraille. Quelques semaines plus tard, il me montra comment dresser un loup comme monture, et m'accompagna pour reprendre possession de mes terres face aux deux malandrins qui avaient eu la cruauté d'exploiter MES champs sans même les détruire (m'empêchant au passage de reconstruire ailleurs).
Dés lors, tout nous souriait. Nous avions la fortune, il avait la force, et nous partîmes à l'aventure bras dessus bras dessous comme des amis d'enfance.

et on a rasé le continent.

sans pitié.

comme des gros enculés.