Le psy qui soigne les addictions à Fortnite avec The Legend of Zelda

Citation :


DOCTEUR GAMER Source

Intéressant comme point de vue, et effectivement au cas par cas, comme il le dit et l'explique ça peut marcher

Après perso je dois être accro au contemplatif parce que je peux pas blairer Fortnite, mais par contre BOTW, l'été où j'ai acheté la Switch, bah... Je peux pas vous dire si ça a été un bel été ou non niveau météo

Perso, tu me mets devant un BOTW je passe encore plus de temps à jouer

Mais en effet, comme c'est un jeu offline, à part l'expansion en DLC, y'a pas de risque que ton gosse se paye des skins et autres lootboxes.

Donc il soigne une addiction par une autre addiction qu'il trouve "plus saine"...

Je ne le répéterai jamais assez: depuis que les mines ont fermé, les ados sont livrés à eux même... Avant, 12h au fond et quand tu remontais (si tu remontais) t'avais pas l'envie d'aller te payer des "skins"... Tout fout l'camp

j'aurais conseillé un bon vieux GTA.

@Crazy-13 Même problème que Fortnite si on reprend l'idée du psy.

@Wiliwilliam pourtant comme dans le jeu Zelda dont il parle, on peut se promener librement et observer le monde qui nous entour dans GTA.

@Wiliwilliam Pourquoi ? parce que moi perso, je joue à GTA que en offline

Citation :

C'est une des rare façon de "soigner" une addiction.

Perso je les aurai mis sur PUBG.
Ils auraient appris à gérer la frustration, la notion de travail, d'équipe et de concentration pour arriver à un meilleur niveau.

@Fleur-du-Desert Je peux concevoir que ça produise à court terme l'illusion d'un processus de désengagement mais remplacer le contenue d'une seringue sans proposer autre chose que la seringue me paraît voué à l'échec.
J'ai fais travailler avec moi un ami d'enfance qui était accro à la codéine (prescrit par un médecin bien "compatissant"), il avait arrêté de lui même quelques mois plus tôt mais rester enfermé chez lui à tourner en rond avec la sensation de pouvoir replonger à tout moment. Au bout de 3jours de taf, sa mère m'a appelé pour me remercier en me disant que ça l'avait changé du tout au tout. Bien sur c'est lui qui avait fait la plus grosse part du travail, mais sans changer radicalement de mode de vie, il aurait fini par replonger.

Le problème c'est proposer à des gamins qui se "drogue à Fortnite" vautrés dans leur salon de changer de drogue en restant toujours vautrés dans leur salon ça ne vas pas changer grand chose à leur vie... Je crois que leur principal problème est la dé-sociabilisation (ou plutôt  "l'alter-sociabilisation" des jeux en réseau). Il faut qu'ils redécouvrent le "vrai" monde, les "vrais" gens. Là j'ai l'impression que ce psy change juste leur buvard de LSD.

D'où ma petite blaguounette sur les mines

@Scruffy Depuis quand c'est un problème de rester chez soi et de ne pas "rencontrer de vrai gens" x)

@Bouroski Je ne réponds pas aux "faux gens"
^^

Citation :

Tu confonds passion et addiction.

Il combat une addiction en utilisant la passion de l'enfant, c'est quelque chose de tout à fait sain comme méthode.
Tout comme jouer aux jeux vidéo n'est pas quelque chose de négatif, ce qui est négatif c'est lorsque l'enfant tombe dans l'addiction, avec des troubles comportementaux (insultes, agressivités, vol de l'argent des parents, etc..).
Zelda Botw est un jeu orienté sur la contemplation, où il faut prendre du temps pour faire les choses, où tu n'as pas limitation temporel (tu peux arrêter à tout moment contrairement aux jeux en ligne), tu peux faire toutes sortes d'activités souvent pas ou peu violentes, etc.. Les valeurs que le jeu apporte sont très positives. Donc utiliser ce jeu pour traiter l'addiction est une excellente idée.

Il y a une fin aux Zelda.
Pas de skin ou lootbox.
Et ça ce joue à un joueur.


Ça aurait été soigner une addiction par une addiction si le "psygamer" proposait à la place un meuporg.

C'est mal de passer sa vie sur son fauteuil à jouer ...
... et merde, j'ai perdu plus de 20 de ma vie alors ?

Si le gamin joue à fortnite le problème n'est pas l'addiction, mais c'est qu'il à un goût de chiotte !

Plus sérieusement, la solution que propose ce monsieur me fait penser à l'utilisation de la vaporette pour arrêter le tabac.
C'est pas le mieux, mais c'est pas si mal.


Après on ne m’enlèvera pas de la tête que c'est à l'origine, un problème parental.