Forum de Korn...NEWS: Nouvel Album qu'en pensez-vous ???

Korn joue au Luxembourg !

Pour tous ceux qui aime Korn, voici une bonne nouvelle !!
Korn joue au Luxembourg le 24 septembre, c’est le seul concert dans la région, et ce n’est pas marqué sur le site officiel de Korn, mais le concert est confirmé quand même. Apparemment les derniers tickets sont en vente sur http://ticket.plaza.lu.

Bon concert et A+

merci pour cette news et je confirme cette date aura bien lieu...

-Presse-

L'actualité de KoRn n'a jamais été aussi tourmentée que depuis quelques mois.
Dans une interview exclusive pour la couverture de septembre de Rock Sound réalisée en étroite collaboration avec le fan-club officiel français, Jonathan brise son silence & revient longuement sur le départ de Head, le recrutement de Rob Paterson, le nouvel album de KoRn & d'autres sujets plus personnels...
Un entretien illustré de photos des deux derniers shows de KoRn à Colmar & Toulon à découvrir en kiosques...

Citation :

J'ai acheté ce livre on y apprend qq trucs sur head comme de quoi il etait un gros junkie et n'arrivais même plus a voir sa fille... soit

Venons-en au nouvel album : le titre sera "See You On The Other Side"

Celui-ci devrait être dans les bacs le 6 décembre.


autre News:

Jon a posté un message hier sur son blog ButtSexCrips. Il nous apprend que le groupe a passé un peu de temps en familles et qu'ils sont en train d'enregistrer la video du prochain single. D'après Jon, ce clip serait le plus dingue qu'ils ont fait.

Jon nous fait part de son enthousiasme à travailler avec un label qui est un partenaire car ça leur laisse plus de liberté et cela se ressent dans la nouvelle video.

source : www.buttsexcrips.com
source: www.childrenofkorn.net

Voici un petit aperçu de l'album:

Dès les premières secondes, le ton est donné. L’intro prélude à Twisted Transistor désarçonne et surprend : invitation en eaux profondes, mix de sons électros, gutturaux et de guitares lourdes, les murs tremblent (le directeur marketing baisse le son), et les premières notes de la version album de Twisted Transistor se font entendre. Nous sommes encore en terrain connu. Les conditions d’écoute sont à la hauteur des lieux, et le premier single déjà entendu s’écoule tranquillement, rien ne nous étonne encore, si ce n’est un je ne sais quoi de plus sauvage… les conditions d’écoute, peut-être ?

Politics (3’11) s’ouvre alors sur des sons de guitares lourdes, mixés dans un tout electro, la basse se fait peut entendre au premier abord, et la voix de Jon se digitalise, se robotise. Korn innove dans le registre du métal lourd aux accents new-wave… Le morceau contresigne et rappelle à tous que Korn fait partie de ces groupes qui marient avec excellence les genres.

Hypocrites (3’45), entre aperçue en live, détonne et se martèle. Perspective et confirmation d’un futur morceau incontournable sur scène, c’est un véritable pamphlet de rage et de colère qui s’extériorise tant musicalement qu’au niveau du chant. Un registre déjà connu et déjà « vu », de l’ordre des revendications sur certains morceaux de TALIM. La présence des guitares est très affirmée, juxtaposée à un duo basse-batterie que l’on connaît que trop bien.

Souvenir (3’49), laisse craindre d’emblée et avec certitude que le chant peut-être trop « digitalisé» et « formaté » par le mixage TROP (parfait) du son studio, que la performance scénique ne sera pas au rendez-vous ou risque de décevoir. Les variations du chant sont terrifiantes sur ce tire, passant sur différents registres, du métal très lourd à la techno, electro.
Il est évident que Souvenir se constitue comme l’une des parfaites illustrations du caractère très « experimental » artistiquement de SYOTOS… un titre difficile à défendre sur scène, hélas. Et C’est aussi là que Korn est attendu. On se souvient de la déception de différents titres d’Untouchables en live. Souvenir, dans son registre techno métal et son surformatage, sa surenchère d’altérations vocales, est un titre qui ne convainc pas.

Mais nous n’étions pas au bout de nos surprises. Mitigés sur ce titre, la suite ne pouvait se laisser miner par ces prédictions et ces pronostics de la concrétisation live à un tiers de l’écoute complète de l’album… déroutés par cette rencontre de genres.

2 Ways (4’41)
une marche certainement dans la rythmique qui met la batterie en avant… un je ne sais quoi qui rappelle « Low rider » dans la rythmique, sauce kornéenne… une belle plage pour David qui emmenera les troupes en concert.

Throw me Away (4’41)
Essayez de vous mettre dans l’ambiance : un prélude où la cornemuse vient s’inviter à la danse, une voix d’outre-tombe : Dark Vador s’approche, voici le premier guest de l’album !
Plus sérieusement, voici l’un des premiers morceaux qui enfin apparaît « jouable », où les arrangements, toujours de qualité, sont moins poussées, moins extrêmes, moins envahissants, mieux « dosés » ou moins marqués, moins agressifs.
Le titre, très posé, aura su séduire votre serviteur, un je ne sais quoi qui vous rappelle l’univers de Depeche Mode, un zeste d’ambiance toolesque en prime (notamment sur la partie finale du morceau avec le mariage gothique dans la présence de la batterie et de la guitare), la puissance émotionnelle et musicale propre et unique à Korn atteint des sommets : une montée crescendo qui marie électro/metal/new wave, qui rappelle l’expérience « Ultra » de Depeche Mode zesté d’univers toolien. Ce morceau s’impose comme l’un des plus beaux chefs d’œuvre de Korn, tant l’emotion et l’immersion dans l’univers est intense.

Love Song (4’1
Cette fois se confirme l’impression d’un opera, d’une symphonie metal-électro-gothique sauce Korn, dans ce que laisser présager ce que pouvait faire JD dans le genre avec la BO de Queen of the Damned. Clairement se conforte l’expression de la conjugaison des affects et des influences kornéennes sur le registre elctro-new wave, où de bons passages instrumentaux mixent la basse, la batterie et la guitare lourde et melodique dans un univers gothique-atmospherique, bien plus travaillé et affirmé que ce que l’on décelait sur Issues ou sur Untouchables.

Open up (6’19)
énorme’ coup de cœur que ce titre, très rythmé,, très dansant. La structure et la rythmique sont pourtant « simples » et « minimalistes », a contrario de ce qu’on avait pu entendre jusqu’alors, mais pourtant ! L’absence d’effets et de fioritures côté vocal, vous fait vous trémousser à l’envi.
Arrive alors un final avec batterie et harmonica de verre, un break où l’œuvre orchestrale et magistrale, avant de s’achever sur un mix où le côté malsain que l’on connaît si bien chez Korn apporte cette touche unique, énormissime…

Coming undone (3’19)
L’album connaît un nouveau virage avec ce titre. Cette fois, on revient au lourd, une rythmique à la Queen (la batterie promet de beaux échange live et une belle fièvre du public, tel « we will rock you »). Peu d’effets surajoutés, de « sur arrangements » qui dérangeaient dans l première partie de l’album. La structure simplifiée fonctionne bien et mieux, des refrains introduits par je ne sais quoi qui vous rappellera du Led Zep… bref, de l’efficace, du rassurant pour la perspective de live. Les afficonados du rare « Sean Olson » ne seront pas dépaysés, puisque sur la fin du titre, JD hurle « I’m coming on you » tout comme dans le titre pré-cité.

Getting Off (3’25)
Le titre s’ouvre sur une accroche 100% kornienne pour finalement retrouver la fusion rap-metal-hihop au niveau du chant (confirmé sur le refrain)
Ce titre est très répétitif, sommaire, pour ne pas dire trop frustrant et convaincant très moyennement. Trop redondant…


Liar (4’14)
Une ouverture résolument « power metal » (Pantera et Metallica, vous connaissez ?), les guitares lourdes justement dosées dans un registre qui reste malgré tout mélodique. Le titre est particulièrement « rapide », interpellant son auditoire, Korn réveille l’auditoire, l’invite, l’anime.
A 3’49, le titre se brise et se perd dans un mix qui coupe le côté convenu avec l’intervention de la cornemuse, distorsionnée par des guitares désordonnées…

Et là s’enchaîne…
For No one (3’37)
Encore du très lourd, du rapide, de l’énervé à la Children of Boddom, avant de retrouver des rythmiques rap/hip hop sauce Korn. Bref, encore du lourd, tout en restant accessible, « easy listening » pour caractériser la structure d’ensemble de ce morceau… un je ne sais quoi de frustrant pour un titre un peu trop convenu et sans grande surprise.
Dommage, car les « démarrages » des guitares laissaient présager à mieux, ou à autre chose qu’on aurait aimé écouter davantage ou plus longtemps… On en redemandait encore côté riffs…
Allez Munky, fais nous en encore plus, s’il te plaît !

Seen it All (6’19)
Imaginez un JD prêcheur dans une église où l’orchestre serait celui qui vous enlève dans l’univers musical de Queen of the Damned.
Cette nouvelle épopée korn-gothique est enivrante… et vous fait frissonner. Un final au piano, un JD en transe qui laisse un message pour l’enfant traumatisé, en souffrance…
Démentiel, puissant, symphonie lyrique metal immense, la mise en scène de la musique et des émotions vous transcende.
Grand moment…

Mais ce n’était rien… rien encore avant le chef d’œuvre, la mise à mort de l’auditoire en communion, emmené dans cette ode expérimentale passionnante et déroutante.

Voila que s’ouvre à vous : Tearjearker (5’05).
Musicalement, vous la définissez comme une ballade elctro-new wave dans un premier temps.
Et puis il y a JD qui va vous assassinez littéralement, vous transporter, vous inviter à invoquer pour ceux qui se reconnaîtront.
Voila un morceau qui dans sa lenteur, dans sa pureté et sa beauté du chant, fait quelque part « violence dans la douceur ».
Fred aura trouvé le mot juste pour résumer ce tire tout simplement indescriptiblement puissant, fort et monstrueux : c’est une prière pour une forme d’espoir dans l’envie d’y croire tout en connaissant ses faiblesses, tout en sachant que l’on peut être inexorablement attiré et entraîné par la douleur et la souffrance.
Une nouveauté et une rupture à la fois entre ce que l’on est, ce que l’on a été, ce que l’on devient, ce que l’on traîne encore…
le morceau est intense, si le mot est assez fort pour exprimer un ressenti, des émotions, ce que l’on se laisse à croire être évoqué, ce que l’on est… Tearjerker sera une expérience intime, propre à chacun d’entre vous qui l’écouterez et dans quelles conditions.
L’art de faire parler et retranscrire vos émotions…
KoRn décidemment a encore frappé.
La garantie du titre émotionnelement très lourd qui clotûre chaque album de KoRn est encore une fois respecté…et de façon magistrale.
A la fin du titre, Julie d’EMI demandera si l’auditoire veut réécouter une piste en particulier, la réponse qui s’impose presque est de remettre ce dernier titre…

SYOTOS se révélera sans conteste la proie de tous les critiques, l’incrédulité et la perplexité saura les nourrir et repaître d’arguments tous les détracteurs de Korn.
Un nouveau chapitre s’est ouvert, tout en restant fidèle à l’essence même de ce groupe qui a su réveiller un métal endormi à l’aune des années 90. Certes il ne fût pas le seul… Mais Korn, très attendu, aura su profaner des terres qu’il avait depuis toujours affectionné, pour faire jaillir de cette source non tarie de sa créativité et son originalité musicale, un album qui symbolise et exprime une nouvelle aventure commune.
Le groupe conforte ses lettres de noblesses parmi les plus grands en s’accordant le plaisir de l’expérimental, tout en nous laissant présager de sa puissance dans la mise ne scène et la symphonie lyrique metal, emprunte et marquée d’univers très opposés et pourtant si intenses quand ils ont su être mariés ou explorés.
Ce que fait Tool, NIN, ou encore Depeche Mode a su trouver son public, riches d’éclectismes, assoiffés de rythmiques, d’expériences, de sensibilités et d’émotions.
En associant son style et en s’essayant à une fusion, certes parfois trop convenues ou trop envahissantes, de sons technos, electro, new wave et métal, la symphonie kornienne laisse espérer et entrevoir une formidable aventure artistique et musicale, si elle se déleste de quelques surcharges, fioritures et excès.

SYOTOS est un bon cru, à découvrir et à apprécier avec le temps, certainement et probablement.
De même qu’il laisse présager à de grands moments, tant auditeur individuel avec ses émotions et ses sensibilités d’une vie ou d’un instant, que tant en communauté, dans ces futures grandes messes korniennes où l’intensité musicale va redéployer un autre sens, car là combinaison de ces 4 hommes, et leurs nouvelles perspectives artistiques, promettent des messes survoltées et intenses.

La tracklist confirmée par EMI est donc bel et bien celle que l'on peut voir depuis quelques jours sur différents sites. La voici :


01. Twisted Transistor
02. Politics
03. Hypocrites
04. Souvenir
05. 2-Way
06. Throw Me Away
07. Love Song
08. Open Up
09. Coming Undone
10. Getting Off
11. Liar
12. For No One
13. Seen It All
14. Saturated Loneliness (Tearjearker)

Bonus Material:
15. It's Me Again
16. Eaten Up Inside Me
17. Last Legal Drug (Le Petit Mort)
18. Twisted Transistor [Dante Ross Mix]
19. Twisted Transistor [Dummies Club Mix]
20. Twisted Transistor [Video - Live From Moscow]
21. Hypocrites [Video - Live From Moscow]

Des morceaux en Downloads pour vous:

Politix(extrait) http://bsg-cz.net/kcz/mini-polotics_Kornmex.net_exclusive-[korn.cz].mp3

souvenir of sadness (complet) http://bsg-cz.net/kcz/Souvenir_Kornmex.net_exclusive-[korn.cz].mp3

Hypocrites (extrait) http://bsg-cz.net/kcz/mini-hypocrites_Kornmex.net_exclusive-[korn.cz].mp3

Love my way (cover) http://kornunleashed.net/downloads/audio/Korn-LoveMyWay(www.kornunleashed.net).zip

et voici la couv du new album !!


et quelques pages de l'intérieur

Après la mise en ligne du EP "The Other Side - Part 1" (inclus l'inédit "Eaten Up Inside") il y a quelques semaines et en attendant la sortie de "See You On The Other Side" le 5 décembre, le EP "The Other Side - Part 2" est à présent disponible en téléchargement payant

Cet EP uniquement disponible online contient deux extraits de "See You On The Other Side" : "Liar" et "Throw Me Away" ainsi qu'une version live de "Twisted Transistor" enregistrée cet été à Moscou à l'occasion du premier show de KoRn en Russie.

live sur ABC "twisted Transistor "

Découvrez 4 extraits ("Twisted Transistor", "Politix", "Hypocrites" et "Throw Me Away") de "See You On The Other Side" disponible le 5 décembre dans le KoRn jukebox .

Comme dirai Mamie: "PUTIN DE BORDEL DE DIEU YA LE DERNIER KORN QUI SORT!!!"
:-x

Je vais surement me prendre des tomates et me mettre à dos tous les fans mais, j'ai trouvé "twisted transistor" très très commercial ( le genre de métal que l'on trouve sur MCM le soir à 23h ou sur M6music rock pour ne citer que ces deux chaînes )

Citation :
Korn ils sont "vieux", la source se tarie et ils s'essoufflent MAIS ils sont toujours la et reste une référence!!

Citation :

c'est sur que ce morceau est commercial et bon faut pas leur en vouloir... on les rend commercial. Ils sont invités un peu partout etc... Mais je vous assure que l'album en lui-même est bien du bon korn... très différent mais agréable. je n'ai pas encore tout ecouté mais les qq morceaux que j'ai pu apercevoir sont vraiment chouettes. Aussi j'adore la façon dont jonathan dit le petit mort en français lool...

N'oubliez pas... pour plus de news et des downloads en exclu: kornstar.forumactif.com

Alors que pensez vous du dernier album ??? Perso je l'adore... il est tres tres tres differents des autres mais j'adore leur son et leur evolution sur cet album il y a de tout du groove du bourrin du calme et même du français (le petit mort ;)) bon j'ai accroché direct a cet album et je l'ecoute sans cesse...

Une de mes songs préférées est Throw me away... Melodike et merveilleuse...

Citation :

c est vrai qu'elle est terrible j'aime bien aussi liar !!!

pour conclure un trés trés bon album que nous a livré koRn dans les bacs pourvu que ca dure

a force d'ecoute je trouve c'est album pas mal du tout, un petit coté indus et sombre, mais mon preferé reste et restera toujours Issues

Vraiment bof ce dernier album, me fais penser un peu au raté de Limp Bizkit, "Results may vary"...

Bref les chansons sont répétitives, sans aucune originalité.... et sonne surtout trés (et même trop) commercial...

Follow the leader et Issues restent largement au dessus.....

Citation :

Tout les albums de Limp Bizkit sont ratés

c'est vrai que les chansons se ressemble un peu

Mouais...jsui bien déçu par les routards du bruit!! m'enfin c'est l'âge comme on dit...j'aurai du m'arrêter à Untouchable mais bon... :roll: aprés je conçois trés bien que cet album plaise à beaucoup de gens mais pour moi il me reste en travers!

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Talitm était quand même assez bourrin dans son genre mais il y a des superbes chansons dessus...

Et pour limp bizkit ils ont quand même reussi a faire 2,3 belles chansons sur leur premier album...:-D

Citation :

Plutôt 2,3 bons albums oui, en tout cas ce qui est sûr c'est qu'ils on fait moins de daubes que Korn, qui vient tout juste de sortir un album qui sent le baclé à plein nez, sans aucune saveur, une vraie soupe musicale qui ne vaut pas mieux que celles produites par les Lorie, Priscilla...

De ce dernier album, seul le clip de "Twisted transistor" vaut le coup.....