continuerz l'histoire

Depuis sa plus tendre enfance , melvin vivait chez sa mère dans la banlieue de liverpool.
Il passait ses journées avec une fille qui habitait près de chez lui et qui se nommait
Beverly . Ils étaient bien tous les deux, ils passaient leurs temps a s'imaginer des mondes,
mystérieux remplient de dragons ,de géants sanguinaires , de sorciers et sorcières luttant
pour un monde plus juste .Ils étaient au beau milieu d'une de leur quête, quand soudain ils
entendirent un hurlement suivi de gémissements aiguës. Délaissant leur monde , ils coururent
voir ce qui pouvait produire un tel vacarme. Et quel ne fut pas leurs surprises quand ils
virent cet étrange petit bonhomme qui se tordait de douleur au beau milieu d'une grosse
flaque d'eau.<<AIDEZ MOI!,s'il vous plait je ne supporte pas l'eau, je souffres horriblement.
Aidez-moi et je vous dirais un secret>>.Melvin hésita un instant ,puis il ramassa un bâton
qu'il tendit a l' étrange personnage. Celui-ci s'accrocha a l ' extrémité du bâton et s'en
servit comme d'une rampe pour regagner la terre ferme.

Le bâton céda malheureusement sous le poids du cet étrange petit bonhomme et il se noyit dans les secondent qui suivèrent cet incident ... C'est alors qu'une bombe thermo-nucléaire explosa à quelque mètre de l'endroit où il se trouvèrent et ravaga la population tout entière dy pays, puis du continent et enfin le monde n'était plus que poussière ! Il y eu cependant un seul et unique survivant, oui oui ... MOI !!! J'avais justement enfilé ma super combinaison anti bombe thermo-nucléaire et je vous emmerde, et toc

on peut plus continue apres ca desoler :-?

On dira que c'était pour rire, vas-y continue l'histoire de krystal, à toi l'honneur !

je répare la gaffe de mac ;-)

la bombe termo nucléaire n'était qu'une hallucination due à la cervoise tiède qu'avait consommée melvin la veille... quand melvin se ressaisit, il s'apperçu que le petit bonhomme était toujours en train d'essayer de s'accrocher au baton pour remonter...

lorsquil reussi a ce degager de cette flaque plaine d eau il leur dit <<vous me sauvez sans penser au consequence bande d inconsiant>>est les deux mioches tombere dans les pomme comme deux merde...

(voila)

Citation :

une flaque d'eau humide ça ne serait pas une totologie ! non?
j'ai rarement vu une flaque d'eau sèche

(bon je suis méchante.. je sors)

Oui mais il a écrit "flaque plaine d eau hummide"
Donc on pourrait croire qu'ils s'agit bel et bien d'une plaine donc une plaine avec de l'eau et de l'humidité pourrait tout à fait être plausible de part une belle rosée matinale !

(Bon oki ... je sors avec toi, on s'en va comme des prince(esse)s)

ah ok, je n'avais pas compris toute la subtilité de la phrase... il s'agissait donc une plaine parsemmée de trous d'eau et de ce fait, particulièrement humide...

(j'essaie de filer à l'anglaise mais je n'ai pas encore trouvé la sortie... )

est il se reveillere dans un lit fait dans un arbre en bois pres de dijon

lol

Valà je l'ai trouvé ->

Citation :
Ca me parait sympathique dis donc, tu peux continuer à développer si tu veux, quel talent !!!

ah oui je ne savais pas qu'à dijon il y a des plaines humides... des marécages c'est ça??

j'en apprends tous les jours sur ce site...

Buuuuu ... même pas vrai d'abord

je suis a bout d inspiration vous me couper l envie d exercer mon talens d ecrivain aussi petit quil soit la vie est dur non?

sorry golgote, c'était pas notre intention...


:-?

excellent ce delire là, vous m'impressionnez quelle imagination.

de sa fenetre une pluie monotone de feuille aux couleurs automnales glissaient le long de ce qui semblait etre un paysage des plus melancolique. il sortie son echelle en pomme de pain que macgyv3r lui avait fabrique avec des alumettes et de la colle abois comme structure principale.

l'herbe parsemée de rosée etait fraiches , elle lui chatouillait la plante des pieds et se glissai entre ses orteil. il se mis lentement en route berce par le chant du vent dans les arbres. enfin dijon aparu a l'horizon...

Les chiens hurlaient a la une, partout ils se répandaient en meutes féroces, rien ne pouvait les arrêtter ils voulaient tout conquérir, tout avoir rien que pour eux.Leur destin semblait tracé, détruire, détruire et encore détruire. Comme si leur seul plaisir ne pouvait être que douloureux.