[poemes] Laissez parler votre cœur.

Citation :

Si y a un rapport avec mon surnom contre lequel je me bat depuis des mois, j'vous préviens, j'fais un massacre !!

Citation :

tu peux pas comprendre la relation intime que j'entretiens avec mon caca, leave my poo alone !

légère dédicasse à mourisse d'ailleurs

L'horizon est loin
Et tu es dessus
Je cours vers celui-ci en vain
En esperant moi aussi être dessus
De toi j'aimerais prendre soin
D'attendre, je n'en peux plus

Je m'ecroule alors en pleurs
En pensant a toi ma pépite
Envers cette situation, je nourris de la rancoeur
Et petit a petit mon coeur s'effrite

Et ce coeur commande a mon corps
Même s'il parfois se brise
Je n'en reviens que plus fort
Suite a tes bises

Citation :

Trop fort

J'la note, celle là.






Lol, j'ai bu
Lol, ça pue
Lol, ça craint
Lol, du boudin.


Mdr, j'suis à l'envers
Mdr, j'ai qu'ça à faire
Mdr, J'vais fumer
Mdr, une clope bien méritée.


xD, après j'reviens
xD, faire des liens
xD, peut être koréussiens
xD, ou pas, c'est ça qu'est bien.


Ptdr, il fait trop chaud
Ptdr, j'met l'ventilo
Ptdr, j'parle en kikoo
Ptdr, j'suis trop dans l'coup.


Edit, je continu
Edit, ça pue toujours
Edit, j'fais des rimes croisées
Edit, ah bah non, j'ai foiré.

Les bébés naissent dans les roses,
Neuf mois en apnée encloses,
Quand vient le temps de les cueillir,
On serait presque tenté de mourir,
Elles pétrifient le paternel,
Des lors que détonne un grand chlop rouge,
A l'ombre de la cuisseraie maternelle,
Tête bouge,
Un premier silence silencie l'ensemble,
Si bien qu'à trop se mirer, Dans la flaque nouvelle née,
On l'a oublié,
Mort, sang séché,
Sa beauté forclose, du forceps rescapée.


(pouet)

Car c'est pour l'OM qu'il faut se défoncer,
Si tu ne chantes pas,
Alors rentre chez toi,
Tu n'es pas Marseillais, jamais tu le seras.

:lol:

[Compte supprimé]

C'est pas grave Levure, l'important est de laisser exprimer son petit coeur.

Axilisme mon amour
Va et vient de débauche
Je suis le même parcours
L'aisselle droite puis la gauche
Axilisme mon amour
Axilisme mon amour
Axilisme mon amour
C'est sous tes bras que je me sens le mieux

[Compte supprimé]

[Compte supprimé]

Face à toutes tes foutaises
Il faudrait que je me taise
Mais devant tant d'imbécilité
Il faut bien leçon te donner.

Car je souhaiterais que tu progresses
Ou le cas échéant qu'enfin tu nous laisses

Dedicated to Pignolo

Famine, Famine
Mes babines hallucinent
Leur cuivre bleui je pourlèche
Leur cuir rêche je nourris
Prométhée lèvre crevée

"embrasé" :

J'ai besoin d'écrire,
écrire pour oublier que je ne t'ai pas.
te sentir loin me fais souffrir,
car mon corps veut prendre soin de toi.

Mon cœur crie sa foie,
mon âme brule d'émoi,
car je le ressent au plus profond de moi :
Marion je me sen vivre pour toi.




"le mot" :

J'ai peur de comprendre ce mot,
car je ne le connais que peu.

J'ai peur de dire ce mot,
car l'ont ne c'est vue que peu.

Mais je veux crié ce mot,
car mon cœur c'est embrasé pour ce jeu.

Et je veux lui souffler ce mot,
car je ne voit qu'elle dans mes vœux.

Mais je veux brulé ce mot,
car je le sen dangereux.

Mais j'écrirais ce mot,
car sinon je ne serait pleinement heureux.

Marion,
je crois que je t'aime.

[Compte supprimé]

je ne connaissais pas les limites de l'auto-destruction.
Mais je sais maintenant que d'extrême il n'y a pas.
Que de tragique dans mes solutions,
qui comme le temps ce dérobe pas a pas.
D'une manière sadique je me sens con,
écrivant dans le vent pour un monde qui ne commence pas.
Volant comme une ombre sans raisons,
c'est en pleurant que je résume ce qu'il y a en moi.
J'assume, me tait et hais ce que je suis là.
Espérant hautainement ne pas vouloir ma fin lorsqu'elle arrivera.

Fuir en avant,
Ouvrir mes flancs au dément,
Majestueux dormeur éveillé du dedans,
Courir pour mourir à coup sur, bondir d'en haut
De l'orange reliure d'un toit échafaud,
tomber à la césure
d'un vers né sans mesure
laissé pour mort, alors qu'il rimait encore.

Citation :

Je la trouve un peu raide
l'odelette, mon VanFred
Levure, mais ton émoi
Tu peux t'le mettre sous l'bras

Pile au pied du pont,
Une cendre incandescente
Retombe en poussière
Sur l'eau visqueuse
Couleur réverbère.


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Une lampe tamise la scène, et puis
Tonne un chant de gorge
dans les chants d'orge,
c'est un aveugle qui s'enfuit.

Il tombe des nues dans le lavoir,
ou sa déraison le laisse choir,
Le matin abruti
L'œil de dieu lui sourit.

Et c'est comme ça chaque matin,
Je me réveil pourtant j'était bien,
J'ai envie de me rendormir jusqu'à demain,

Mais je me lève, me lave et je part,
J'ai pas mangé, il pleut et le ciel est noir,
La pluie me réveil, le quotidien est un cauchemar,

J'arrive à mon école, j'ai pas fait mes devoirs,
Le train de la réussite va être en retard,

et après j'ai pas le temps d'écrire le suite

cassé l'ambiance c'est ma révérence// Dans une transe intense je danse, je danse// La rime vient m'appuyer, les mots s'imprimer// car fonsdé je vie cette tragédie rythmé, je veux crier, crier//