Le film relou de la semaine

Valgrim a écrit:
Il ne reprend pas le même chemin, effectivement c'est une métaphore de la vie. L'élément perturbateur de cette vidéo étant le téléphone portable, qui semble signifier la rencontre que l'on peut lier avec son ami sans doute fictif et probablement hypocondriaque...

Klaus-Mann a écrit:
Et puis il y a la tristesse. Celle qui se lit dans cet homme, qui se confie à celui qu'il estime, son ami, son frère peut-être, à qui il confie ses petits stress quotidiens, ses histoires sans importance. Cette nonchalance dans la parole, cette aisance caractéristique de la fraternité.

Malheureusement, le tracas de son interlocuteur le rattrape. Des broutilles, il n'en a que faire, meme si elles proviennent de son meilleur ami, son confident. Il pressent le besoin de celui-ci de se confier à lui, mais sa vie le presse, et il surmonte toute l'angoisse qui le submerge alors, et se lève.

On l'appelle ailleurs. Il repart, dans la jungle, la douleur au coeur, sentant les yeux de son ami le suivre dans son désespoir. Il va, et sa douleur est telle qu'il se trompe de chemin. Il s'élève vers les cieux, et se querelle avec un passant, traversé par le remord d'avoir abandonné son ami dans la tourmente.

Durant ce temps, l'amitié perdure entre les deux protagonistes.

Cette scène est une retranscription visuelle parfaite (j'ose le terme) des passions humaines qui unissent deux êtres, dans l'amitié.

Tout est là pour transcender l'amour au sens premier, l'union amicale voire fraternelle de deux hommes, rattrapés par la cruelle réalité de la vie.

Dans ces quelques minutes sont rassemblés tous les sentiments qui animeront l'humanité jusqu'à son déclin.

En regardant ce petit chef-d'oeuvre, vous ne perdez pas 10 minutes de votre temps, mais l'allongez.

Enfin un nouveau souffle pour le renouveau français.

Klaus-Mann a écrit:
Et puis il y a la tristesse. Celle qui se lit dans cet homme, qui se confie à celui qu'il estime, son ami, son frère peut-être, à qui il confie ses petits stress quotidiens, ses histoires sans importance. Cette nonchalance dans la parole, cette aisance caractéristique de la fraternité.

Malheureusement, le tracas de son interlocuteur le rattrape. Des broutilles, il n'en a que faire, meme si elles proviennent de son meilleur ami, son confident. Il pressent le besoin de celui-ci de se confier à lui, mais sa vie le presse, et il surmonte toute l'angoisse qui le submerge alors, et se lève.

On l'appelle ailleurs. Il repart, dans la jungle, la douleur au coeur, sentant les yeux de son ami le suivre dans son désespoir. Il va, et sa douleur est telle qu'il se trompe de chemin. Il s'élève vers les cieux, et se querelle avec un passant, traversé par le remord d'avoir abandonné son ami dans la tourmente.

Durant ce temps, l'amitié perdure entre les deux protagonistes.

Cette scène est une retranscription visuelle parfaite (j'ose le terme) des passions humaines qui unissent deux êtres, dans l'amitié.

Tout est là pour transcender l'amour au sens premier, l'union amicale voire fraternelle de deux hommes, rattrapés par la cruelle réalité de la vie.

Dans ces quelques minutes sont rassemblés tous les sentiments qui animeront l'humanité jusqu'à son déclin.

En regardant ce petit chef-d'oeuvre, vous ne perdez pas 10 minutes de votre temps, mais l'allongez.

Enfin un nouveau souffle pour le renouveau français.