Poésie ,qui en sort plein , grand intelo jusqua debilos mentalus .

Azur, nos betes sont bondées d'un cri
Je m'eveille songeant au fruit noir de l'anibe,
dans sa cupule verruqueuse et tronquée.

Christian Clavier.

C’est promis.
Je vais vous en donner, moi, mes chéris, des jolis cadeaux fait à la main.
Je vais vous en fabriquer, moi, des Schtroumpfs pas cher, avec deux boulettes de mie de pain et quatre allumettes pour les pattes. Je vais vous structurer des vaisseaux spatiaux en cageot de patates, avec du papier cul pour la combinaison anti-Tchernobyl et une punaise retournée pour le siège éjectable.
Je m’en vais vous en bidouiller, des vélocross sans selle, vraiment tapeculs, avec deux couvercles de bidons de dioxine pour les roues et un os de gigot pour le guidon.
Tiens, Je suis pas chien.
En prime, je composerai moi-même le petit compliment, et je vous le lirai moi-même au dessert, avec une révérence à la fin.
Certes, je doute de pouvoir atteindre dans le lyrisme les sommets extatiques où votre mère et moi-même fûmes emportés à l’écoute de la bouleversante déclamation octosyllabique de la dernière fête des mères, dont le texte, délicatement colorié façon gerbe, enveloppe encore le joli cache-pot William-Saurin de la dernière fête des pères.
C’était un fort beau texte. Je ne résiste pas au plaisir de vous en faire profiter.

(Révérence.)

La Merveille

Ma vie est un enchantement.
Quand je m’endors, quand je m’éveille,
Ou quand je joue à tout moment,
Une fée douce me surveille.
Elle m’entoure de soins charmants
Cette merveille, c’est ma maman.

(Révérence.)


[Edit pour faire mentir Lauig] C'est un grand moment de Pierre Desproges, bien sûr [/Edit pour faire mentir Lauig]

J'ai une femme qu'adore les animaux

J'ai une femme qu'adore les animaux,
c'est sa passion, c'est sa vie,
mais pour moi, ça n'est pas rigolo,
elle me délaisse un peu trop.
Elle a un vieux perroquet,
elle est tout le temps après,
et pour qui'n's'fasse mal aux dents,
elle lui broie les aliments.
C'n'est pas de ma faute si elle est comme ça,
elle n'm'aime pas, elle n'maime pas,
c'n'est pas de ma faute si elle est comme ça,
elle me le payera. !!!!!

Ma belle, tu es mon trésor,
Je n'aime que toi,
Ton amour est précieux comme l'or,
Je pense sans cesse à toi.

Partout ou je me trouve,
Tu es présente dans mon esprit,
Et toutes les choses que j'éprouve,
Ne sont que pour toi ma chérie.

Mon amour pour toi est si grand,
Que les mots ne suffisent pas,
Un amour si envoûtant,
Que même "Je t'aime" paraît bien plat.

Je t'aime à la folie,
Comme j'ai jamais aimé personne,
Je t'aime pour la vie,
Et mon amour, je te le donne.

Je t'aime et je t'aimerai toujours,
Je suis dingue de toi,
Tu es mon plus bel amour,
Je ne peux plus me passer de toi.

Si on venait à nous séparer,
Jamais je ne m'en remettrais,
Il fait si bon être à tes cotés,
Que plus rien ne semble mauvais.

Tu es ma joie de vivre,
Mon seul et unique bonheur,
Ton amour m'enivre,
Et fait chavirer mon coeur.

Mon amour pour toi est éternel,
Je t'aimerai toujours,
Tu es pour moi la plus belle,
Tu es mon tendre amour.

je t'aime mon amour

non il n'est pas de moi mais il est sublime que meme

j'fais d'l'informatique

C'est pas tous les jours très marrant

Tout ce qui cause mon tourment :

REFRAIN
Ah mon dieu qu'c'est palpitant
Toute cette informatique
Ah mon dieu qu'c'est palpitant
Mais qu'est-ce qu'on perd comme temps.

Comme j'ai un bug dans le système

J'ai le Mac qu'est patraque
:
J'ai l'e-mail qui s'emmêle

Les pixels en rondelle

La disquette qui caquette

Le graveur qu'est en pleurs

REFRAIN
Ah mon dieu qu'c'est palpitant

Ah mon dieu qu'c'est palpitant

J'ai invité la belle Suzanne

Elle m'a dit : « j'préfère ta bécane

Hélas ma machine est en panne

J'ai le Mac qu'est patraque

Le Pentium sans calcium

Le modem qu'a la flemme

La cartouche qui se touche

Les polices qui pâlissent

Le scanner qu'a ses nerfs

La mémoire sans espoir

Le mulot qu'est trop gros

Voyez vous, ce n'est pas tout :

Les circuits qui sont cuits

J'ai l'index qu'est perplexe

L'USB constipé

La sauvegarde pas gaillarde

Le graveur qu'est en pleurs

Le lecteur qui bat l'beurre

Les virus plein d'tonus

Les minuscules qui copulent

Les programmes, c'est un drame

Le cordon en tire-bouchon

Les menus mal foutus

Et l'audio qu'est idiot

La couleur quelle horreur

Les symboles qui s'affolent

Le réseau qui prend l'eau

J'peux plus rien maîtriser !...
REFRAIN
Ah mon dieu qu'c'est palpitant
Mais qu'est-ce qu'on perd comme temps.

C'est possible ....des toutes petites poésie, des trucs moins long à lire :oops:

he ho respect la poesie
c'est beau c'est ...... c'est ...c'est lisible dans toutes les con-di-ion!

Effectivement pour un poète c'est très fin ton HE HO...vive la poésie et les poètes

Lisible dans toutes les conditions :gratte: hum de mémoire en allant aux toilettes, pendant la grosse commission, je n'ai jamais sorti aucun vers de poésie :lol:

mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmhhhhhhhh!!!!
c'est pas grave je suis nul en français :0:

Citation :

... mais si! c'est meme entré dans notre langage! "put*** , j'ai les vers"

pardon aux familes tout ça

Ouais, ben vu comme ça , ok, c'est lisible presque partout

Allez les vers !!!



ok ok on se calme je sors dans le calme

Affligeant, quasiment pas un seul qui soit suffisemment honnête pour citer l'auteur de ce qu'il poste ici. Même Hervé Villard, faut assumer bordel !

Bon par contre aux quelques courageux qui ont osé posté des créations personnelles, toutes mes ficelles de caleçon félicitations, je les trouves bien réussies en plus.

Sinon, j'ai créé quelques vers en 5 minutes tout à l'heure dans le sujet Rastafari pour protester contre la mode des classements d'une manière plus originale qu'un coup de guelle, je vous le recopie ici :

"Mon reggae-ragga de rabat-joie,
pour vous demander à quoi ça rime, nom du riddim,
tous ces classements peu pertinents...

Même pour un ska je n'en veux pas,
au nom de la Jamaïque, faut qu'on m'explique.

Déjà qu'à la télé, organe décérébré, on s'efforce de tout classer
Les meilleurs-ci, Les meilleurs-ça tout ce blabla comme si l'apocaplyspe était déjà là,
Comme s'il fallait se précipiter de tout ranger avant que sonne le glas de Babylonne !

Et j'hurle comme une lionne : "mais pourquoi nous prends-t-on vraiment pour des connes !"

Toute cette jungle de classements, une vraie Zion en tremblement !

Pour un rastafari c'est pas très roots !

Voilà d'où vient ce safari plein de doutes."

Post # 25,lezoave tu ne t'es pas foulé la rate :roll: Ton texte est passé dans un topic. Plagieur,menteur :lol:

Citation :

belle rîme !
belle sonorité
beau texte

:10:

court, simple et très évocateur

N'en jetez plus,la cour est pleine :lolhit:

bin quoi j'avou c'est pas de moi tien défoulé vous dans sacré délire :-Dhttp://www.koreus.com/modules/newbb/topic8890-2.html

Mon poème préféré. Qui guide ma vie, quand la raison sait etre plus forte que les sentiments...

"Si..." de Rudiard Kipling.

Si tu peux rester calme alors que, sur ta route,
Un chacun perd la tête, et met le blâme en toi;
Si tu gardes confiance alors que chacun doute,
Mais sans leur en vouloir de leur manque de foi;

Si l'attente, pour toi, ne cause trop grand-peine:
Si, entendant mentir, toi-même tu ne mens,
Ou si, étant haï, tu ignores la haine,
Sans avoir l'air trop bon, ni parler trop sagement;

Si tu rêves, sans faire des rêves ton pilastre;
Si tu penses, sans faire de penser toute leçon;
Si tu sais rencontrer Triomphe ou bien Désastre,
Et traiter ces trompeurs de la même façon;

Si tu peux supporter tes vérités bien nettes
Tordues par les coquins pour mieux duper les sots,
Ou voir tout ce qui fut ton but brisé en miettes,
Et te baisser, pour prendre et trier les morceaux;

Si tu peux faire un tas de tous tes gains suprêmes
Et le risquer à pile ou face, en un seul coup,
Et perdre ,et repartir comme à tes débuts mêmes,
Sans murmurer un mot de ta perte au va-tout;

Si tu forces ton coeur, tes nerfs, et ton jarret
A servir à tes fins malgré leur abandon,
Et que tu tiennes bon quand tout vient à l'arrêt,
Hormis la Volonté qui ordonne : "Tiens bon !"

Si tu vas dans la foule sans orgueil à tout rompre,
Ou frayes avec les rois sans te croire un héros;
Si l'ami ni l'ennemi ne peuvent te corrompre;
Si tout homme, pour toi, compte, mais nul par trop;

Si tu sais bien remplir chaque minute implacable
De soixante secondes de chemins accomplis,
A toi sera la Terre et son bien délectable,
Et, bien mieux , tu seras un Homme, mon fils.

Le CorBox et le batard!!

Maître PseudoX, complétement perché,
Tenait en son bec un gros joint.
Maître batard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce baratin:
"Hé! bonjour Msieur Pseudo!
Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre âge
Se rapporte à votre langage,
Vous êtes le beau gosse des hôtes de ces bois."
A ces mots Pseudo ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre une large bouche, laisse tomber son chichon.
Le Batard s'en saisit, et dit : "Mon bon con,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un ptit cône, sans doute."
Pseudo, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.