k2rrr | Myrmécophile kézaco? |
0 #1 |
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Je viens d'arriver
Inscrit: 27/07/2005 13:39
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Voici qq définitions possible
Myrmécophile: n.m et adj. Qui trouve un grand plaisir à la lecture des poèmes de l'écrivain Myrmec. D'origine hongroise, Kyrco Myrmec (1870-1940), poète et grand voyageur, avait pour particularité de graver ses poèmes sur l'écorce de la cime des arbres (particulièrement des grands chênes) dans certaines des forêts qu'il traversait lors de ses périples. Souvent hagards, le regard vide, une échelle sur l'épaule, les myrmécophiles (ils sont à peine une centaine) errent de forêts en forêts à la recherche des écrits de Myrmec. A ce jour, seul un poème du maître a été découvert dans une forêt du Sud de l'Italie. Un court écrit en hongrois ainsi libellé: "Meseck zöva debreczen regygaza", ce qui traduit en français signifie: "Merde à celui qui le lira". (Eric Jonval) Myrmécophile: adj. (début du XVIe s., du grec myrmecos, fumier) 1. Qualité des végétaux qui se développent en milieu nauséabond. "Ma poulette allons voir si le myrmécophile / Attire encore les nuées de bêtes drosophiles / Sous ses fleurs empestant les urines et la crotte, / Je pourrais supporter ton vieux parfum d'étable / Que tes autre amants trouvent insupportable / Car ils ignorent tout du montant de ta dot." Ronsard, Odes à Porcinette, II, XV. Du Bellay apprécia l'argument, mais trouva les vers trop longs. Il aurait dit à Ronsard: "Avec autant de pieds, tu en auras toujours un qui marchera dedans, il vaudrait mieux lui couper les ergots, à ton poème". Plus tard, Ronsard apprit à écrire en déca- et même en octosyllabes, mais les thèmes de ses odes perdirent leur fraîcheur juvénile, ce que l'on peut légitimement déplorer. 2. Par extension, tout ce qui aime le fumier: la culture des arbres fruitiers, ma petite cousine Anne-Sophie, et particulièrement le coq, dont on sait qu'il ne chante jamais aussi bien que lorsqu'il a les pieds dedans. "Tournoi des Cinq Nations: Le myrmécophile gaulois impérial devant les robustes avants anglais." L'Equipe, 23 mars 1974 (Valentina Uski) Myrmécophile: adj. Atteint de myrmécophilie, affection grave qui entraîne des troubles de la conscience chez le patient de sexe masculin. Il est pris de crises de folies durant lesquelles il est capable de laver 100 kg de linge (à la main) en 1 heure. Ce syndrome est transmissible par le virus ophilia qui se propage dans la lessive. (Nico et Laurent) (ex aequo) Myrmécophile: n.m. et adj. (1987) Issu d'une déformation de certains vocables utilisés par les indigènes des plaines du Kamchatka. En effet, pour survivre, ces robustes paysans travaillent inlassablement la terre, privilégiant la culture du haricot à écosser, ou "cosse", rare légumineuse papilionacée à survivre en ces régions arides et glaciales. Lorsque la qualité de la récolte est particulièrement mauvaise, l'on dit que les haricots "filent". Par ailleurs, ces vaillants et rustiques cultivateurs ne craignent qu'une chose au monde, une menace d'ordre cosmique, c'est que la station Mir leur tombe sur la tête. Aussi, l'interjection commune qu'ils emploient pour désigner la stupéfaction n'est-elle pas "Ciel!" mais "Mir!". Ainsi, quand l'un de ces honnêtes paysans constate la pauvreté de la récolte, il s'écrie en général: "Mir! Mes cosses filent...". Les hasards de la déformation phonétique ont occidentalisé l'expression en myrmécophile. Par extension, et de manière plus générale, se dit d'un agriculteur fataliste et/ou avare. (Christian André) (ex aequo) Myrmécophile: adj. et n.m. - du gr. murmêx, murmêkos "fourmi" et -phile. Littéralement "enculeur de fourmi". Terme créé vers 1908, sous la IIIème République, désignant une variété de fonctionnaires particulièrement pinailleurs actifs dans l'administration républicaine par opposition à une autre variété moins virulente mais déjà fort répandue à l'époque, les muscophiles ou enculeurs de mouches (voir ce mot dans une prochaine édition de l'Encylopédie Démocratique). La rumeur publique attribue aux comptables une propension à la myrmécophilie. On dit que le myrmécophile est à l'Administration des Douanes ce que le muscophile est à l'Académie française. Contrairement à la pédophilie, ni la myrmécophilie, ni la muscophilie ne sont réprimées par la loi. Les associations de victimes et leurs ayants droit ont déposé sans succès plusieurs projets de loi visant à obtenir la castration des abuseurs. La plupart de ces projets ont avortés lorsqu'il a été mis en évidence qu'il existait aussi des femmes myrmécophiles (et non des moindres). Les myrmécophiles et les muscophiles se sont associés en une fédération interprofessionnelle européenne connue sous le sigle Q4me (prononcer culfourmi ou à l'anglaise, cul-for-me), qui fait allusion à leur revendications quant à la liberté d'avoir des rapports sexuels avec des insectes adultes et consentants et à leur devoir de couper les cheveux en quatre. Suite à une confusion habilement entretenue par les promoteurs de Q4me, de nombreux libertaires de tout poil, pensant qu'il s'agissait d'un simple mouvement de libération sexuelle, ont appuyé involontairement les campagnes médiatiques de Q4me au point d'en faire à l'aube du XXIème siècle le plus puissant lobby technocrate de l'UE. (Christian Grégoir) (ex aequo) Myrmécophile: adj. Néologisme qualifiant toute personne collectionnant les morceaux de la station spatiale russe Myr. Ce mot a été inventé par le premier myrmécophile, un créateur de mode pérsuadé que la station s'écraserait le 31 décembre 1999 à minuit et qui avait décidé de récolter le maximum de débris. Cet adjectif revient aujourd'hui à la mode et le nombe de myrmécophiles va grandissant plus on se rapproche de la destruction de la station. Dans 50 ans, ces myrmécophiles se transformeront en Isscophile. (Babouni Suprême) Myrmécophile: 1. adj. Zool. Qualifie plusieurs familles de mammifères édentés et paresseux vivant dans les forêts et savanes d'Amérique centrale et qui aiment à se gaver de fourmis qu'ils recueillent des fentes sur les vieux troncs avec leur langue cunéiforme (ou cunéilangue). 2. n.m. et adj. Psychol. L'un des sept grands déviants sexuels recensés par les aliénistes modernes, avec le nécrophile, le scatophile, le pédophile, le termitophile, l'haltérophile et le germanophile. Le myrmécophile éprouve une forte jouissance en faisant promener sur son bas-ventre plusieurs sortes d'insectes, ce qui lui procure un fourmillement agréable suivi d'un tressaillement spasmodique. (Joe Barr) Myrmécophile: adj. et n.m. Atteint du syndrome de myrmécophilie, affection grave observée très récemment par les chercheurs et médecins russes chargés de surveiller les résidants de la station Mir (qui s'écrit avec un y en russe). Il se déclare après un isolement prolongé entre personnes de sexe masculin et se caractérise par un état de surexcitation permanent et par un fâcheuse tendance à confondre homme et femme. Expression familière: "être myrmécophile comme un phoque." (Nico et Laurent) Myrmécophile: n.f. Du grec myrmekos (fourmi) et philos (phile), phile de fourmis. Synonyme érudit de phile indienne. "Les académiciens déphilent en myrmécophile". (Joe Barr) Myrmécophile: n.m. (bitrucisme de troisième degré). Ce nom a pour origine une expression malheureusement fort usitée au XVI eme siècle par les paysans et ouvriers ayant subi un "nouement de l'aiguillette", sort jeté par les sorciers, ayant pour effet de faire perdre toute virilité à l'ensorcelé. Ces victimes, réunis dans leur malheur au sein de la confrérie des "myrmécophiles" pratiquaient le rite de la "regardance" ou chaque ensorcelé exposait de concert autour d'une table ronde ses parties génitales en prononcant l'adage prôné par Nostradamus: " Mire les coco, fille" transformé par la suite en la célèbre expression "Mate un peu mes noix , Ginette", refusé par les puristes qui contractèrent l'expression originelle de "mirmescofilleco", qui devint "myrmécophile". (Diametrepsou) Myrmécophile: n.m. et adj. de MYRie (ou Pays des Myriens); de MECOnie (ou Pays des Méconistes); et de PHILE (pote héllène) Désigne les personnes aimant la civilisation myrméconiste, dont l'essor est dû au roi légendaire des myriens Pangnâ 1er (IIIème siècle avant Jules César), qui décida que la religion méconiste fondée par Gnaulû le Sot, Premier Prévaricateur de la principauté méconiste, serait le ciment social entre leurs deux pays. L'union des deux pays fut caractérisée par une période de grande création intellectuelle et artistique, dont les poteries groassiennes et les sculptures glandulaires sont les plus beaux vestiges. On pense que la civilisation myrméconiste s'est exprimée à l'endroit qu'occupe aujourd'hui la ville de Myrmek, à la frontière syldavo-bordure. (Benoît Legendre) Et la vraie définition: Myrmécophile: adj. et n. Biol. Qui vit avec les fourmis, en association avec elles. La source http://www.monpetitcoin.com/dico/index.html
Contribution le : 12/09/2005 01:11
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tornado | 0 #2 |
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Je masterise !
Inscrit: 02/01/2005 04:13
Post(s): 4099
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Euh, tu serais pas un peu myrmécophile sur les bords :lol:
Contribution le : 12/09/2005 03:01
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Je ne parle pas aux cons, ça les instruit Audiard |
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Invité | 0 #3 |
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FantômeInvité
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Si tous les mecs étaient atteints de myrmécophilie afin de laver 100 kgs de linge à la main en 1 heure
Utopique :bizarre:
Contribution le : 12/09/2005 03:08
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eider | 0 #4 |
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J'aime glander ici
Inscrit: 27/04/2005 15:31
Post(s): 7077
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Ca nous manquait, le jeu du dictionnaire sur Koreus...
C'est Grosbill qui va être content, encore un nouveau jeu
Contribution le : 12/09/2005 13:04
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_ Drum Machine |
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k2rrr | 0 #5 |
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Je viens d'arriver
Inscrit: 27/07/2005 13:39
Post(s): 12
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Citation :
Ouaip je trouve ca excellent, ca serait une bonne idée en effet sur le lien que je mets pour la source tu peux déja bien te marrer il y en a pas mal
Contribution le : 12/09/2005 13:21
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