angetocard | le générateur de mots d'amour |
0 #1 |
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Je poste trop
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tu est en manque d'amour alors fait ton choix dans:
fait un poéme rapidement http://www.unpeudamour.com/poemes/ fait un roman rapidement http://www.unpeudamour.com/roman/ utilise le narcissotron http://www.unpeudamour.com/narcisse/ utilise la La roulette russe de l'amour http://www.unpeudamour.com/roulette/
Contribution le : 22/05/2007 21:50
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uTerrus | 0 #2 |
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Inscrit: 18/12/2006 00:08
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Pratique si tu as le courage de dire ton amour a quelqu'un 0_0 ...
Contribution le : 22/05/2007 21:52
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angetocard | 0 #3 |
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Je poste trop
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Contribution le : 22/05/2007 22:02
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docteurweb | 0 #4 |
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Arfff pas mal du tout . Il m'a bien plu ce site, j'ai bien aimé le roman qu'on m'a proposé ^^.
:10:
Contribution le : 22/05/2007 22:38
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Tazou | 0 #5 |
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Je croit que le site est déjà passé
Contribution le : 22/05/2007 22:40
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Crazy-13 | 0 #6 |
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Citation :
+1 puis je préfère encore trouver les mots par moi même pour ce genre de chose
Contribution le : 22/05/2007 22:50
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uTerrus | 0 #7 |
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Contribution le : 22/05/2007 22:53
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docteurweb | 0 #8 |
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Citation :
Non en fait vous pouvez pas poster le lien vers vos romans étant donné que la page php est éditée suivant les informations que vous lui avez fournies auparavant, donc il suffit simplement de copier le texte
Contribution le : 22/05/2007 22:54
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Axelou | 0 #9 |
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Chroniques d'une république
(par Axelou) Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Nicholas embrumait Paris. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte. Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une royale voix chanta: - Qui est là? - C'est Nicholas! Répondit celui-ci. - Je ne connais aucun Nicholas! Dit la voix. Il y eut un silence. - C'est toi, Ségolène? Fit Nicholas. La porte s'ouvrit soudain: - Mais oui c'est moi, mon Nicholas! Je t'ai bien eu. Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps: - Entre, dit-elle. Nicholas pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Ségolène vint s'asseoir près de lui. - Alors, que racontes-tu? - Euh... rien, rien de bien spécial. Nicholas semblait ailleurs. Son amie s'en aperçut et lui demanda s'il allait bien. - Oui, je vais bien! En fait... - En fait? - En fait, j'ai simplement envie de t'embrasser. Ségolène eut un sursaut. - Me... mais... moi? - Oui. Un silence s'ensuivit. Nicholas comprit qu'il était allé trop loin. - Excuse-moi, Ségolène, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. - Tu ne le sais pas? - Euh... à vrai dire, euh... enfin, je voulais dire que... - Est-ce que tu étais sérieux? Le coupa Ségolène. Il hésita. - Je suppose que non. J'ai sûrement dit ceci sans réfléchir. Je suis désolé. - Nicholas... - Je suis désolé, oublie-ça. - Nicholas, embrasse-moi... Cette fois-ci, ce fut lui qui sursauta. Après un moment, sans mot dire, il approcha ses lèvres de celles de Ségolène. Puis, dans le silence de cette maison tranquille, au milieu d'une journée comme les autres, ils s'embrassèrent pour la première fois. Après avoir repris ses esprits, Nicholas lança: - Tu sais, je... - Chut... fit Ségolène. - Je... - Il n'y a pas de mots... - Si... - Non... - Si... je t'aime, Ségolène. Celle-ci fut prise d'un sanglot: - C'est vrai? Oh... moi... moi aussi mon amour! - Voici neuf mois que je t'ai rencontrée... neuf mois... en neuf mois, on peut avoir un enfant... on change trois fois de saison... et bien que j'aie eu d'autres aventures avant de te connaître, je t'aime cent fois plus que toutes les autres femmes réunies. - Oh... c'est bien vrai? - Oui, c'est vrai. - Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi hongrois à l'intérieur qu'à l'extérieur. Nicholas rougit. Il se sentait bien. Au loin, un dodo criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté. - Ma puce... Ségolène... Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un karsher, en train de vomir à l'air libre. Près d'eux, Gunther chantait ''My Ding Ding Dong'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Nicholas fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Nikos Aliagas, Ségolène réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Nicholas rouvrit les yeux. - Marions-nous... - Pourquoi n'est-ce pas déjà fait? Ils rirent. Ils étaient heureux. Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien. - Tu sais, c'est drôle, dit Ségolène, car hier matin, Lionel Jospin a tenté de me séduire. - Non, c'est vrai? - Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui. - Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée. - Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Nicholas est plus président que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.'' Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Si d'aventure vous ne croyez plus à l'amour, sachez qu'en ce moment même ils s'embrassent quelque part.
Contribution le : 22/05/2007 23:01
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loucinda | 0 #10 |
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Je viens d'arriver
Inscrit: 04/03/2007 00:30
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bonsoir je suis nouvelle et je ne c pas trop bien comment ca fonctionne ici....bon moi je voudrais des vidéo drole a envoyer en mail pour reconquérir une personne....si qulqu'un a quelque chose a me proposer???
Contribution le : 22/05/2007 23:28
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warrior25 | 0 #11 |
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Je viens d'arriver
Inscrit: 14/02/2007 23:09
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alez c sur quand mettant certain mots qui ne suivent pas la logique des poème c'est tout de suite moin .... romantique ...
Tes jambes sont encore dans mes yeux Je me perdais à chuchoter un vert murmure Lorsqu'une diforme femme vint troubler mes poèmes, Deux yeux noirs, dignes d'une peinture, Des cheveux roux, comme je les aime, Vinrent tous ensembles m'éblouir Me faisant même toucher le ciel, Tel un albatros, un oiseau-lyre, Sifflant un songe presque réel. Cet oiseau là, claude, c'est moi. Et cette laide fée, qui dompte la vérité, C'est toi, peggy, c'est toi... Dans tes yeux, mon coeur est tombé.
Contribution le : 23/05/2007 00:18
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uTerrus | 0 #12 |
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Je masterise !
Inscrit: 18/12/2006 00:08
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Citation :
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Contribution le : 23/05/2007 00:54
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uTerrus | 0 #13 |
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Je masterise !
Inscrit: 18/12/2006 00:08
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Mon mien :
Félicitations! Voici votre roman... Histoire D'eau De Toilette par Mirkil Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Goerges Brunet embrumait St-Matachouin. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte. Timidement, il frappa trois petits coups. Comme rien ne se passait, il allait insister lorsque la porte s'ouvrit sur La Grosse Bertha. Elle était plus putride que jamais, et gratifia Goerges Brunet de ce sourire si magique dont elle avait le secret. - Entre, lui dit-elle. Goerges Brunet la suivit jusqu'au salon. - Assieds-toi, fit La Grosse Bertha. Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise. Puis il fixa La Grosse Bertha. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle. - La Grosse Bertha... Elle détourna la tête. - La Grosse Bertha, répéta-t-il. Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent. - Euh... bredouilla Goerges Brunet. Mais les mots ne venaient pas... alors La Grosse Bertha passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus. Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions. - Je t'aime, dit Goerges Brunet. - Je t'aime aussi, dit La Grosse Bertha. Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens. - Cela ne fait que quelques jours que nous nous sommes vus, et je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens. - Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara La Grosse Bertha. Personne ne pourra remplacer ton si alcoolique sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du albatros. Personne ne connait l'histoire de St-Matachouin aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais laide. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur. - Embrassons-nous encore... souffla Goerges Brunet. Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Bite A No-headed Bat'' de Ozzy Ozburne (^^). D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. St-Matachouin était loin. Ils virent passer un épinette, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Inconnu. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. La Grosse Bertha, que la folie saisissait, se voyait cirer au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain. - Je ressens les mêmes choses qu'à notre mariage, dit La Grosse Bertha. - C'est étrange, moi aussi! Sourit Goerges Brunet. Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient. - Ne me quitte jamais, disait Goerges Brunet. - Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop grossier pour que je te quitte, répondait La Grosse Bertha. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Gérard. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme. Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois. Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
Contribution le : 23/05/2007 00:58
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Jesus | 0 #14 |
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Je suis accro
Inscrit: 09/04/2006 02:09
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Karma: 83 |
Personnellement je me suis tenté au narcissotron :
Citation : Cher Poio Pas mal non ?
Contribution le : 23/05/2007 01:23
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kev20 | 0 #15 |
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Je m'installe
Inscrit: 08/05/2006 13:46
Post(s): 140
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voila un joli poeme réalisé avec ce site
petasse, ma puce Ta main, salope, aussi chiante que les vagues rugissantes, M'emprisonne au coeur des cyclones noisettes Qui brouillent ton regard Et me fait glisser le long de fils blonds Comme un vautour s'échappant de ton coeur... Mais la nuit tombe... Mon rêve se noie dans les limbes de mon esprit Tandis qu'une conne lumière enveloppe mon coeur tremblant. ke20
Contribution le : 23/05/2007 11:09
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zabibounette | 0 #16 |
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J'aime glander ici
Inscrit: 22/03/2005 23:28
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déjà passé : http://www.koreus.com/modules/newbb/topic18212-8.html (post #6)
Contribution le : 23/05/2007 11:41
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stargate | 0 #17 |
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Je poste trop
Inscrit: 30/07/2005 18:04
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Eh oui tous les liens y sont, en plus le thème du topic est pour une générateur d'amour.
Continuons là-bas, et merci pour le lien Acidezabs. Et si vous avez d'autre lien de générateur d'amour, vous savez ce que vous avez à faire.
Contribution le : 23/05/2007 11:54
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Le sujet est verrouillé