Rob Greenfield montre qu'on peut vivre correctement avec beaucoup moins

Rob Greenfield montre qu'on peut vivre correctement avec beaucoup moins

Pourquoi il a 2 wc cote à cote ? c'est plus convivial ?

j'aime bien son vélo en "bambou".

Il dirigeait une société de marketing. Surement l'activité qui est directement ou indirectement la plus responsable de ce qu'il dénonce aujourd'hui. En tous cas, il utilise toujours ces compétences....
L'industrialisation n'est pas forcément bonne mais elle a des avantages. Pour prendre l'exemple de la vidéo, je préfère faire confiance à un mec qui a le savoir faire pour faire du sel plutôt que de voir des milliers des gens venir chercher leur seau d'eau dans la mer.
En revanche, c'est le marketing qui a "donné envie" au montagnard de consommer du sel de mer et donc de lui faire faire des centaines de kilomètres pour lui vendre ce produit. Sans ce marketing, il n'aurait peut être simplement pas eu connaissance du produit et donc pas l'envie et serait resté à son sel minier, produit localement.
La vidéo reste louable, mais je n'arrive pas à en comprendre l'objectif. Il suffit de regarder la foule un jour de solde pour comprendre qu'il prêche dans le vide.

@Kirouille Ca ce fait, le cadre est vraiment tout en bambou
Par contre ça coute hyper cher, ce type est loin d'être pauvre

Citation :


c'est pour ça que je trouve ce détail génial, car d'un coup le message deviens : regardez j'arrive a pas polluer car j'ai du pognon.

et globalement la vidéo ce résume a :

Citation :
Je crois qu'il y en a un qui est la réserve de sciure...

Ce mec m’inspire mais en vrai il doit pas être à 100% nourris par son jardin et la nature...

En tout cas j’adore son papier toilettes xD

Il est au courant qu'on est 8 milliards sur Terre et qu'il est impossible de tous vivre en exploitant une surface au sol identique a celle qu'il utilise?

@Kirouille
Eh oui, ce n'est pas une nouveauté : vivre écologiquement est très cher, et reviendrait à faire passer au moins 60% de notre budget mensuel dans les produits de première nécessité (nourriture, hygiène, vêtements) et ne laisser qu'une faible marge pour le loisir vu les autres dépenses aussi nécessaires. Ce ne serait pas un mal d'un point de vue écolo, mais nous ne sommes pas prêts à faire ce sacrifice. Du moins la majeure partie d'entre nous n'est pas prête à le faire (je me compte dedans pour le moment d'ailleurs).

Au passage, pas besoin d'être riche pour vivre comme lui : mes grands-parents étaient paysans, ils achetaient assez peu de nourriture au supermarché, ils vivaient assez sobrement, mais ils s'en sortaient largement pourtant avec un salaire très limité. Et ils avaient des frais importants à engager dans la ferme.

Ceci étant dit, je trouve des initiatives comme la sienne intéressantes, car elles montrent encore et toujours qu'on pourrait réellement trouver des solutions alternatives à notre mode de consommation complètement fou.

Belle opération de com effectivement : on nous présente le principe du potager comme une innovation.

@AshySlashy pour les gens de Orlando en Floride ça l'est en tout cas.

Il n'a pas été boire un verre avec ses amis pendant un an ?! Mais c'est super triste de vivre comme ça !!

@Krogoth Certes pas sur la banquise mais on peut planter en hauteur pour avoir plus de surface.
Par contre laisse un peu d'oxygène pour les autres qui plantent des arbres.

Bon déjà faut avoir sa maison avec jardin. Après faut prier pour pas avoir une année une récolte mise à zéro à cause d'un aléas classique (il a plu pendant la floraison, ou un coup de gel, ou un coup de sécheresse, ou une invasion d'insectes ravageurs, etc. Ça arrive très fréquemment)

Ensuite, j'ai jamais compris pourquoi on considérait que produire son propre jardin potager ou faire sa propre pêche serait plus écologique. A mon sens ça l'est pas. Le gros agriculteur qui produit en masse, t'inquiète pas qu'il gère sa terre au mieux, tout comme le péquenaud lambda avec son jardin (pas dit avec dédain).

Le gros agriculteur utilise des méchants fongicides/insecticide ? Bah le gentil citoyen soit il prie pour qu'il n'ai pas cet aléa une année qui le plongerait dans la famine et la mort, soit il en utilise autant qu'un gros agriculteur, soit il se base sur l'agriculture intensive pour acheter chez eux le jour où il aura sa production disséminée.

Après ouais cool le coté je consomme que ce qui est produit dans ma région. Ça c'est bien. M'enfin tu peux aussi le faire en allant acheter chez les agriculteurs intensifs

C'est pratique mais surtout dans le cas d'un cataclysme mondial qui anéantirait toute forme de production à grande échelle. Mais encore faudrait-il survivre à cette catastrophe.

@Alex333

Citation :

Le soucis étant que l'agriculture conventionnelle aggrave les aléas, les problèmes majeurs et imprévisibles. C'est bien le soucis d'une crise systémique.
Même si au passage, je trouve le portrait du bonhomme assez bidon.