Lifehouse Everything skit

Cyprien a écrit:
Ok, à noter : les koreusiens n'apprécient pas ce qui donne à réflexion.


(Ne voyez aucune agression dans cette dernière phrase, je sais que certains sont suceptibles...)

Cyprien a écrit:
Ok, à noter : les koreusiens n'apprécient pas ce qui donne à réflexion.

Pour ceux que ça intéresse encore...

Cette danse raconte en fait l'histoire de pas mal de jeunes (ou du moins en connais-je pas mal qui ont été dans le même cas, mais ça ne s'est pas toujours fini aussi bien...).

Au début, la fille ne bouge pas : elle est sans vie, repliée sur elle-même.

Arrive l'homme en blanc, qui ramasse quelque chose et le lui envoie (certains diront le Souffle, d'autres la vie, moi je dirais simplement la joie).
Dès lors, la fille commence à s'éveiller.
L'homme en blanc lui montre (sans la forcer, il ne fait que montrer) comment elle peut bouger un bras, puis l'autre, puis une jambe, puis l'autre.
Il continue de la guider dans sa découverte du monde (on peut ressentir sa joie à travers ses gestes et son visage), jusqu'à esquisser quelques pas de rock avec elle.

Se présent alors l'homme en noir, une rose en bouche, qui symbolise, je pense, la séduction, la tentation.
Notez qu'il se place entre la fille et l'homme en blanc.
La fille ne se méfie pas, puisque l'homme à la rose danse également, bien que la danse soit déjà plus brutal, plus forcée.

Puis c'est au tour de l'argent d'arriver, l'argent qui la nargue, et l'éloigne encore un peu de l'homme en blanc.

Ensuite, l'alcool, symbole de toutes les drogues. La fille ne danse déjà plus et elle s'éloigne toujours plus de l'homme en blanc, qui tente désespérément de la rappeler à lui.

Après l'alcool, l'image que la société nous donne de la perfection, cette femme élégante (on peut voir qu'elle enlève à la fille la pince qu'elle avait dans les cheveux, parce qu'elle doit obéir au stéréotype de la femme élégante).

Enfin, la mort, le suicide, la violence : un homme habillé tout en noir lui montre qu'elle peut se taillader les veines, avant d'aller jusqu'à lui fournir un revolver.

Ici, la fille est au plus loin de l'homme en blanc. Chacun des maux qu'elle a rencontré l'éloigne un peu plus et forme un barrage.
On peut voir l'homme en blanc faire des gestes de supplication pour qu'elle revienne, si vous êtes croyants, vous pourrez dire qu'il implore Dieu (ou toute autre divinité, je ne connais pas votre éventuelle religion) en s'agenouillant. Si vous êtes profondément athé, dites-vous qu'il rassemble son courage.
C'est seulement à partir de ce moment qu'il va se mettre à agir.
Au dernier moment, la fille à un sursaut de conscience et se retourne vers l'homme en blanc : ce dernier veut l'aider, mais elle doit tout de même faire le premier pas.
L'homme en blanc se met à la tirer, tandis que tous les maux frappent la fille.
La fille est à terre, accablée, lorsque l'homme en blanc se met à sa place pour prendre les coups pour elle.

Dès lors, la fille peut respirer, jusqu'à ce que l'homme en blanc écarte les maux.
Elle peut enfin se relever, se nettoyer de ses souffrances et repartir pour une nouvelle vie.

L'homme en blanc peut être quiconque de bienveillant à votre égard.
La fille, peut-être certains d'entre vous.
Les maux, tous ces gens, au contraire malveillants, qui veulent nous entraîner toujours plus loin dans le désespoir.


Voilà ce que, moi, j'ai compris de cette danse, après, si vous n'y voyez aucun intérêt, tant mieux pour vous, vous n'avez peut-être pas encore vu de réelle souffrance chez autrui.

(Ne voyez aucune agression dans cette dernière phrase, je sais que certains sont suceptibles...)

capati971 a écrit:
Citation :

Cyprien a écrit:
Ok, à noter : les koreusiens n'apprécient pas ce qui donne à réflexion.

Pour ceux que ça intéresse encore...

Cette danse raconte en fait l'histoire de pas mal de jeunes (ou du moins en connais-je pas mal qui ont été dans le même cas, mais ça ne s'est pas toujours fini aussi bien...).

Au début, la fille ne bouge pas : elle est sans vie, repliée sur elle-même.

Arrive l'homme en blanc, qui ramasse quelque chose et le lui envoie (certains diront le Souffle, d'autres la vie, moi je dirais simplement la joie).
Dès lors, la fille commence à s'éveiller.
L'homme en blanc lui montre (sans la forcer, il ne fait que montrer) comment elle peut bouger un bras, puis l'autre, puis une jambe, puis l'autre.
Il continue de la guider dans sa découverte du monde (on peut ressentir sa joie à travers ses gestes et son visage), jusqu'à esquisser quelques pas de rock avec elle.

Se présent alors l'homme en noir, une rose en bouche, qui symbolise, je pense, la séduction, la tentation.
Notez qu'il se place entre la fille et l'homme en blanc.
La fille ne se méfie pas, puisque l'homme à la rose danse également, bien que la danse soit déjà plus brutal, plus forcée.

Puis c'est au tour de l'argent d'arriver, l'argent qui la nargue, et l'éloigne encore un peu de l'homme en blanc.

Ensuite, l'alcool, symbole de toutes les drogues. La fille ne danse déjà plus et elle s'éloigne toujours plus de l'homme en blanc, qui tente désespérément de la rappeler à lui.

Après l'alcool, l'image que la société nous donne de la perfection, cette femme élégante (on peut voir qu'elle enlève à la fille la pince qu'elle avait dans les cheveux, parce qu'elle doit obéir au stéréotype de la femme élégante).

Enfin, la mort, le suicide, la violence : un homme habillé tout en noir lui montre qu'elle peut se taillader les veines, avant d'aller jusqu'à lui fournir un revolver.

Ici, la fille est au plus loin de l'homme en blanc. Chacun des maux qu'elle a rencontré l'éloigne un peu plus et forme un barrage.
On peut voir l'homme en blanc faire des gestes de supplication pour qu'elle revienne, si vous êtes croyants, vous pourrez dire qu'il implore Dieu (ou toute autre divinité, je ne connais pas votre éventuelle religion) en s'agenouillant. Si vous êtes profondément athé, dites-vous qu'il rassemble son courage.
C'est seulement à partir de ce moment qu'il va se mettre à agir.
Au dernier moment, la fille à un sursaut de conscience et se retourne vers l'homme en blanc : ce dernier veut l'aider, mais elle doit tout de même faire le premier pas.
L'homme en blanc se met à la tirer, tandis que tous les maux frappent la fille.
La fille est à terre, accablée, lorsque l'homme en blanc se met à sa place pour prendre les coups pour elle.

Dès lors, la fille peut respirer, jusqu'à ce que l'homme en blanc écarte les maux.
Elle peut enfin se relever, se nettoyer de ses souffrances et repartir pour une nouvelle vie.

L'homme en blanc peut être quiconque de bienveillant à votre égard.
La fille, peut-être certains d'entre vous.
Les maux, tous ces gens, au contraire malveillants, qui veulent nous entraîner toujours plus loin dans le désespoir.


Voilà ce que, moi, j'ai compris de cette danse, après, si vous n'y voyez aucun intérêt, tant mieux pour vous, vous n'avez peut-être pas encore vu de réelle souffrance chez autrui.

(Ne voyez aucune agression dans cette dernière phrase, je sais que certains sont suceptibles...)

tu t'ennuie dans la vie toi? t as que ça à faire 50 lignes que tout le monde y s'en fout... :-)

thelastbot a écrit:
Citation :

capati971 a écrit:
Citation :

Cyprien a écrit:
Ok, à noter : les koreusiens n'apprécient pas ce qui donne à réflexion.

Pour ceux que ça intéresse encore...

Cette danse raconte en fait l'histoire de pas mal de jeunes (ou du moins en connais-je pas mal qui ont été dans le même cas, mais ça ne s'est pas toujours fini aussi bien...).

Au début, la fille ne bouge pas : elle est sans vie, repliée sur elle-même.

Arrive l'homme en blanc, qui ramasse quelque chose et le lui envoie (certains diront le Souffle, d'autres la vie, moi je dirais simplement la joie).
Dès lors, la fille commence à s'éveiller.
L'homme en blanc lui montre (sans la forcer, il ne fait que montrer) comment elle peut bouger un bras, puis l'autre, puis une jambe, puis l'autre.
Il continue de la guider dans sa découverte du monde (on peut ressentir sa joie à travers ses gestes et son visage), jusqu'à esquisser quelques pas de rock avec elle.

Se présent alors l'homme en noir, une rose en bouche, qui symbolise, je pense, la séduction, la tentation.
Notez qu'il se place entre la fille et l'homme en blanc.
La fille ne se méfie pas, puisque l'homme à la rose danse également, bien que la danse soit déjà plus brutal, plus forcée.

Puis c'est au tour de l'argent d'arriver, l'argent qui la nargue, et l'éloigne encore un peu de l'homme en blanc.

Ensuite, l'alcool, symbole de toutes les drogues. La fille ne danse déjà plus et elle s'éloigne toujours plus de l'homme en blanc, qui tente désespérément de la rappeler à lui.

Après l'alcool, l'image que la société nous donne de la perfection, cette femme élégante (on peut voir qu'elle enlève à la fille la pince qu'elle avait dans les cheveux, parce qu'elle doit obéir au stéréotype de la femme élégante).

Enfin, la mort, le suicide, la violence : un homme habillé tout en noir lui montre qu'elle peut se taillader les veines, avant d'aller jusqu'à lui fournir un revolver.

Ici, la fille est au plus loin de l'homme en blanc. Chacun des maux qu'elle a rencontré l'éloigne un peu plus et forme un barrage.
On peut voir l'homme en blanc faire des gestes de supplication pour qu'elle revienne, si vous êtes croyants, vous pourrez dire qu'il implore Dieu (ou toute autre divinité, je ne connais pas votre éventuelle religion) en s'agenouillant. Si vous êtes profondément athé, dites-vous qu'il rassemble son courage.
C'est seulement à partir de ce moment qu'il va se mettre à agir.
Au dernier moment, la fille à un sursaut de conscience et se retourne vers l'homme en blanc : ce dernier veut l'aider, mais elle doit tout de même faire le premier pas.
L'homme en blanc se met à la tirer, tandis que tous les maux frappent la fille.
La fille est à terre, accablée, lorsque l'homme en blanc se met à sa place pour prendre les coups pour elle.

Dès lors, la fille peut respirer, jusqu'à ce que l'homme en blanc écarte les maux.
Elle peut enfin se relever, se nettoyer de ses souffrances et repartir pour une nouvelle vie.

L'homme en blanc peut être quiconque de bienveillant à votre égard.
La fille, peut-être certains d'entre vous.
Les maux, tous ces gens, au contraire malveillants, qui veulent nous entraîner toujours plus loin dans le désespoir.


Voilà ce que, moi, j'ai compris de cette danse, après, si vous n'y voyez aucun intérêt, tant mieux pour vous, vous n'avez peut-être pas encore vu de réelle souffrance chez autrui.

(Ne voyez aucune agression dans cette dernière phrase, je sais que certains sont suceptibles...)

tu t'ennuie dans la vie toi? t as que ça à faire 50 lignes que tout le monde y s'en fout... :-)

Toi tu t'enfou peut etre des commentateurs koreusiens ,mais moi pas, j'ai lu son post en entier. Donc ne dis pas que tout le monde s'en fou.
Sinon moi j'ai bien aimé la video. C'est vraiment trop bien fait. Ca explique bien. Mci

Hellsing a écrit:
Respecter les religions oui, les extrémistes, j'ai beaucoup plus dur !