KUALA LUMPUR, Malaisie (AP) -- Difficile de trouver de quoi planer lorsque l'on vit dans l'un des pays les plus sévères du monde avec la drogue et que l'on est pauvre. Du coup, les autorités de Malaisie sont confrontées à une population encore réduite mais croissante de ... sniffeurs de bouse.
«La bouse de vache émet des gaz comme le soufre, que les drogués sniffent pour planer. Le problème n'est pas encore très grave, mais ce qui nous inquiète c'est que cette méthode signifie que les drogués peuvent planer gratuitement», a expliqué jeudi un responsable du ministère du Commerce, qui a requis l'anonymat. La ministre du Commerce Rafidah Aziz, citée par le «New Straits Times», a affirmé qu'il fallait désormais s'attaquer au problème des sniffeurs de bouse, de colle et de fumée de polystyrène. Car si les trafiquants de drogue risquent la pendaison, rien n'est prévu pour la bouse de vache.
MELDORF, Allemagne (Reuters) - Ulf Buck, un médium aveugle allemand, assure prévoir l'avenir et le caractère de ses clients en tâtant leurs fesses, là où d'autres prétendent lire dans les lignes de la main.
"Le derrière est plus expressif, d'après mon expérience, que les mains", affirme Buck, qui s'est constituée une clientèle fidèle et confiante dans le village de Meldorf, en Allemagne du Nord.
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BARCELONE (Reuters) - Une étude réalisée auprès de 7.000 personnes montre qu'un Chinois sur six n'a jamais entendu parler du sida.
Les résultats de cette enquête, effectuée par la Commission nationale chinoise de planning familial en collaboration avec les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), ont été publiés dans le cadre de la Conférence internationale sur le sida en cours à Barcelone.
Il s'agit de la première grande enquête sur les connaissances des Chinois en matière de sida.
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