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Lors de la matinale sur la radio France Inter, ce mercredi 14 décembre 2016, Nicole Ferroni n'a pu retenir ses larmes à la fin de sa chronique consacrée à Alep et à la guerre en Syrie. Se sentant démunie face à ce conflit, elle a confié suivre les publications sur Twitter d'un certain Hadi al-Abdallah, un journaliste indépendant et activiste de la cause syrienne, avant de lire un extrait au sujet d'Alep dans un vieux Guide du routard que son papa a utilisé quand il est allé en Jordanie et en Syrie en 2006. Elle a terminé sa chronique en pleurs avec cette conclusion : « Le cannibalisme, avant c’était répandu, et maintenant les gens disent "les hommes se mangeaient et on appelait cela du cannibalisme". Eh bien un jour, peut-être, qui sait, la guerre sera si loin derrière l’humanité qu’on pourra dire "les hommes se tuaient et ils appelaient cela la guerre" ».
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