-Flo- | 0 #381 |
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Inscrit: 08/01/2005 13:41
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Citation :
C'est une logique qui ne s'est pas vérifiée en France...
Contribution le : 31/10/2008 21:15
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Invité | 0 #382 |
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FantômeInvité
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Pour paraphraser Desproges, aux yeux du yankee parano moyen, Obama est nettement plus noir que démocrate. La marge entre les 2 n'est pas si énorme que ca. Alors si on compte le vote raciste, le vote seniors/trouillard de dernière minute, l'abstention des jeunes plus massive que prévue, le syndrôme Ségolène (le changement ouiouioui mais un noir c'est plus du changement, c'est la révolution. Et puis "le changement", c'est une produit electoral, est-ce un réel désir de la peuplade..?) Enfin le coté "tout le monde veut qu'on vote Obama",peut avoir comme résultat "alors pour affirmer notre liberté on va voter celui avec sa grosse machoire". Par exemple je ne suis pas sur que le fait que l'Europe soit Obamaniaque influence dans ce sens le vote ricain. Il faut craindre les pertes d'Etats-clés... Bush a quand même reussi à se faire réélire apres un mandat....comment dire...armagedonnesque. Ces votes très indirects (qui ont d'énormes avantages) se jouent quand même souvent au poil de couille... Ca reste pour moi plus probable de se taper Mac Cain. Mais je suis pessimiste pour atténuer ma déception "au cas ou" et faire la fête 3 fois plus que prévu "au cas ou (l'autre)"
Contribution le : 31/10/2008 22:53
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eider | 0 #383 |
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Citation :
strip_max a écrit: Je n'en suis quand même pas là. Mais je ne serai tranquille que mercredi. Et d'ici là je préfère m'éviter de fausses joies "au cas où" et ne miser sur rien.
Contribution le : 01/11/2008 01:06
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_ Drum Machine |
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Invité | 0 #384 |
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FantômeInvité
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Je suis surprise de la mobilisation des medias francais sur cette election. Un week end special.
Un peu comprehensible avec la crise mondiale que nous traversons. entendu sur france info ce matin : la volonte du conservatisme du syteme ricain si independant, pourrait faire passer Mac Cain.. bon attendons :-? mais clair que ca va etre chaud.
Contribution le : 01/11/2008 20:14
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Invité | 0 #385 |
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FantômeInvité
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Citation :
Je viens d'entendre que le vote massif inquiétait le clan Mac Cain... Bref, ca veut tout dire, ca veut rien dire.
Contribution le : 01/11/2008 20:30
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MicAy | 0 #386 |
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strip_max, tu as écrit, je cite "Il faut craindre les pertes d'Etats-clés...".
Les statistiques sont la première source d'erreurs. La Floride, l'Ohio et... j'ai oublié son nom!! sont états-clefs selon les médias. Le futur patron du totalitarisme US sera élu au nombre d'états pas au nombres de votes, suffirait donc que l'un des 2 n'emporte que 2 de ces 3 états-clefs pour accroître l'écart, ou le réduire. Je pense qu'Obama sera élu, parce qu'il influence bcp l'Europe (et je pense que c'est réciproque) du fait de son coté moins réfractaire que son adversaire, cependant quand il aura trop ouvert les Etats-Unis au monde, en enlevant certains cadenas qu'avait placé W, qqun parmi les sénateurs va pointer du doigt cette nouvelle vulnérabilité et Obama sera contraint de revenir au mode de fonctionnement qui avait été instauré par la génération Bush. C'est en levant ces barrières qu'Obama va percuter. Il ne pourra pas, qu'avec son mandat, rétablir ne serait-ce que partiellement les déficits faramineux du pays. Il a fait tellement de promesses que sa charge de travail sera disproportionnée compte tenue du temps imparti. Je le sens irréaliste, pour accomplir ce qu'il prétend pouvoir défendre il devient indispensable non seulement qu'il obtienne un second mandat mais que sa succession soit assurée, mais vu le nombre d'affabulateurs qui se dresseront sur sa route... Je vois juste Obama, au même titre que Kennedy et Clinton, comme l'erreur qui s'est incrustée au sein de la dynastie sournoise d'après guerre. We'll see on wednesday... who will be the next boss for the WW3 (Va falloir lire le Times!)
Contribution le : 01/11/2008 20:58
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Un type, un piaf! Et l’écho de ces intrépides «Sans peur et sans reproche», Vint se perdre dans les moindres interstices de ces roches. |
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Invité | 0 #387 |
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FantômeInvité
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Citation :
Absolument faux, le pays etait en guerre, les grands electeurs ont choisis la continuation alors que les urnes donnaient Kerry president. Citation :
Citation :
c'est evident mais je sens une volonte de changement.Vouloir changer le monde sans couverture sociale pour les citoyens. y'a un bleme que seul Obama peut etre capable, et ses successeurs egalememt. Mais faut un debut a tout. Citation :
rien compris a ce denier paragraphe. Citation :
certainement pas !
Contribution le : 01/11/2008 22:29
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MicAy | 0 #388 |
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Citation :
certainement pas ! "Absolument faux, le pays etait en guerre, les grands electeurs ont choisis la continuation alors que les urnes donnaient Kerry president." Je crois qu'il te manque un nez rouge En guerre? WOAOUH!!!!! Faut que tu me dises quel était l'ennemi des USA! J'ai fait une faute de frappe dans le second paragraphe que tu as commenté, en fait je voulais dire qu'Obama avait bcp d'influence en Europe (et non qu'il influence bcp l'Europe) de part le programme qu'il aimerait appliquer pour son pays. Tu dis que t'as rien compris dans ce dernier paragraphe, donc j'explique Depuis l'après guerre, je fais référence à la seconde guerre mondiale, se sont succédés à la maison blanche des présidents qui n'avaient en tête que de faire tomber l'URSS et par conséquent ne prenaient jamais le pouls de la populace pour ses décisions de sécurité nationale. Ils agissaient dans leur dos, aujourd'hui également mais bcp plus à l'époque, et mettaient en retrait tout ce qui concernait une possible amélioration de la vie américaine. Là où je veux en venir, c'est qu'avec qq présidents plus télégéniques (Kennedy, Clinton) on a eu l'impression, nous européens, que les Etats-Unis s'ouvraient de plus en plus au monde. Les Reagan et Bush nous montraient leur vie diplomatique qui n'intéressait personne (révolution des années 60, baby-boom) tandis que les Kennedy et Clinton avait sauté le pas de se montrer en public pour que le peuple américain s'identifie plus aisément. Mon point de vue est qu'Obama à l'air de plus s'apparenter aux "erreurs" de continuité présidentielle, plus qu'aux mal aimés, et à raison, qui se sont succédés. La petite phrase en anglais et la dernière sur le Times n'étaient que des boutades. Je crois que je suis seul à comprendre mon humour. pô grave
Contribution le : 02/11/2008 00:54
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Un type, un piaf! Et l’écho de ces intrépides «Sans peur et sans reproche», Vint se perdre dans les moindres interstices de ces roches. |
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bassamdudu | 0 #389 |
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le vrai problème avec Obama aux yeux des Américains - outre sa couleur de peau, ses origines 'non conformes', son 2eme nom : hussein, et le fait que 30% des Américains le pensent Arabe - , c'est qu'il n'a pas d'idée radicale ....
C'est un centriste pur et dur, il cherche à plaire un peu partout pour ratisser l'électeur indécis, et ça risque de se payer lors de son mandat, si mandat il y'a. Il ne pourra pas en effet satisfaire tout le monde. Je prend un simple exemple: "limiter l'achat d'arme à une par mois " c'est l'exemple type de la demi mesure qui sert à rien... c'est pas ça qui va empêcher à un gus d'acheter un fusil d'assaut, et de le prêter à son fils pour qu'il aille dégommer son professeur qui lui a mis un 'C' au lieu d'un 'A' !! Résultat, le lobby des armes est 'faché' et les mamans d'élèves aussi. Par contre là où Obama est très très fort c'est lors de ces discours faut lui reconnaitre une chose c'est un grand, très grand orateur !! Il sait soulever les foules et trouver les mots juste, tout le contraire d'un Mc Cain! Pour finir, je ne me fais pas d'idée, si j'ai une nette préférence pour Obama, je ne pense pas que le résultat influencera grandement la vision, le comportement des USA dans le monde .... Le seul et véritable intérêt de ces élection est de savoir si les Américains sont capable d'élire une homme " de couleur" à la Maison Blanche, tout un symbole ( mais qui reste une façade pour le reste du monde )
Contribution le : 02/11/2008 02:27
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Invité | 0 #390 |
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FantômeInvité
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Citation :
J'avoue dire beaucoup de conneries ici ou la, mais sur le coup je propose qu'on se partage le nez rouge. 5 minutes chacun en alternance (Je parle des 10 dernieres annees)
Contribution le : 02/11/2008 08:36
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Invité | 0 #391 |
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FantômeInvité
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Hop je la remets ici, deuxième vidéo incitant les Américains à aller voter:
Contribution le : 02/11/2008 10:41
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papives | 0 #392 |
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Citation :
Non Andrea, je pense qu'on peut lui en payer un pour lui tout seul, c'est pas un gros investissement et il le mérite.
Contribution le : 02/11/2008 11:13
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Kazam | 0 #393 |
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Article de La croix, sur la vision qu'on a en France des USA.
http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2354651&rubId=5548 ""31/10/2008 14:34 L'Amérique fantasmée des médias français Les correspondants en poste aux États-Unis multiplient les efforts pour donner de ce pays une image juste qui dépasse l’attraction-répulsion en vogue des deux côtés de l’Atlantique Chef du bureau d’Europe 1 à Washington, François Clemenceau prépare un livre. Son sous-titre est déjà choisi : « Les Américains que vous aimez ne sont pas ceux que vous croyez. Ceux que vous détestez non plus. » L’avertissement s’adresse évidemment aux Français dont le regard sur les États-Unis serait un mélange complexe de fascination et de répulsion, sentiments ambivalents accentués en ces jours de campagne électorale historique : un jugement sans nuances sur le bilan de l’administration de George Bush, après huit années d’exercice du pouvoir, le soutien d’une grande majorité de l’opinion à la candidature de Barack Obama. À l’unisson de nombre de ses confrères en poste aux États-Unis, François Clemenceau résume la difficulté de son métier : « Réduire l’écart entre la vision que nous défendons sur place et celle qui nous vient de Paris. » "Les Français n’ont aucune clé de compréhension globale du pays" Gilles Bouleau, son confrère de TF1, insiste : « Quand vous êtes correspondant en Namibie, personne en France ne prétend connaître la Namibie. Étrangement, ce n’est pas le cas pour les États-Unis, alors que les Français n’ont aucune clé de compréhension globale du pays. Sans compter que leur maîtrise de l’anglais les place parmi les derniers de la classe en Europe ! Ils critiquent les États-Unis en permanence mais ils sont imprégnés de références qui réduisent l’Amérique à des stéréotypes : au mieux, Hollywood et la 5e Avenue ; au pire, des gros types en short dévorant des hamburgers… » Parmi les trois sujets que François Clemenceau propose chaque jour à sa rédaction parisienne, la préférence va souvent au « plus léger ». « Vus d’ici, certains thèmes retenus me semblent bien secondaires. Mais soyons honnêtes : lorsque je dirigeais le service étranger d’Europe 1, j’avais tendance à me comporter de la même façon. Sûrement pour répondre aux désirs supposés de mes auditeurs… » Laurence Haïm, qui a longtemps réalisé des reportages américains pour l’ensemble des chaînes françaises avant de se mettre au service exclusif de Canal+ et d’i-Télé, il y a un an, est plus catégorique : « Pour les obèses, les mannequins à Miami, les paparazzi qui traquent les stars, le milliardaire français qui a réussi aux États-Unis, vous trouvez preneur à tous les coups ! En revanche, pour les dernières innovations technologiques ou l’Amérique des gens ordinaires, pourtant passionnante… c’est difficile », soupire-t-elle. "Lire USA Today donne de nombreuses idées de sujet" Faute peut-être d’aller puiser aux bonnes sources, comme le déplore Liliane Baudu, de retour à la rédaction du journal économique La Tribune après trois années de correspondance à New York, entre 2002 et 2005 : « Lire un journal comme USA Today donne de nombreuses idées de sujets, qui aideraient à comprendre les modes de vie et les mentalités outre-Atlantique. Mais cela n’intéresse guère… » De nombreux confrères déplorent le vieux fond d’antiaméricanisme qui conduirait nos compatriotes à caricaturer un pays dont ils ne connaissent pas grand-chose. Selon Gilles Bouleau, cette posture négative a ses racines dans la « forte tradition française d’extrême gauche comme d’extrême droite », très critique à l’égard de l’Oncle Sam. Pour Vincent Michelot, professeur à l’Institut d’études politiques de Lyon, cette lecture partiale empêche de reconnaître les évolutions de la société américaine. Exemple frappant, à ses yeux, de cette vision trop hexagonale : le parcours de Barack Obama, analysé uniquement en fonction du facteur racial. « S’il n’est pas élu, les Français diront que les Américains sont d’irréductibles racistes. Ils négligeront totalement les autres facteurs de l’élection et les considérations plus locales.» « La réalité du système politique et son fonctionnement complexe ne se prêtent pas aux analyses lapidaires. » Le pays tout entier est difficilement réductible à une schématisation qui recouperait les clivages connus en France. Les tentatives d’attentat (dont une récente) contre le candidat démocrate risque de raviver cette tentation simpliste. "Donner un visage juste des Etats-Unis" « Le plus difficile à faire comprendre, estime Philippe Antoine, installé à New York pour RTL depuis 2005, c’est que les États-Unis sont un grand pays décentralisé. Chacun des 50 États possède ses propres règles qu’il fait mieux appliquer que le pouvoir central ! » L’immense territoire, où se déploient 300 millions d’habitants, est porteur de pièges pour l’observateur trop peu prudent. « Les grandes villes américaines ne sont pas un reflet fidèle du fond du pays. Pour comprendre les États-Unis, je dois oublier que je vis à Washington », explique Alain de Chalvron, l’envoyé spécial permanent de France 2. Pour se mettre dans la peau de l’Américain moyen, mieux vaut aller dans le Dakota du Sud. Au Kansas, par exemple, j’ai senti combien Sarah Palin était appréciée de la population parce que les gens ont le sentiment qu’elle leur ressemble. » Mais la recette n’est pas infaillible : le journaliste de la chaîne publique a aussi fait la connaissance de retraités qui détestaient la coéquipière de John McCain alors que la sociologie électorale les désignait plutôt dans le camp conservateur. Sillonner encore et toujours le pays, voilà sûrement le remède le moins hasardeux pour réussir le pari qui rend songeur Gilles Bouleau : donner un visage juste des États-Unis en se défiant des certitudes… Des efforts significatifs pour dépasser les clichés Perdue ce jour-là sur une route de Virginie, Fabienne Sintes, l’une des deux correspondantes permanentes de Radio France, use de cette méthode pour sa chronique quotidienne (depuis le 20 octobre) sur France Inter et France Info. « Depuis mon arrivée en 2007, j’ai quitté mon bureau de New York toutes les fois que j’ai pu, le nez sur le GPS de la voiture. C’est la meilleure façon d’échapper à une pensée dominante. Pour les élections, j’espère bien ne pas avoir fait penser que le scrutin opposait Noirs et Blancs… » À l’IEP de Lyon, Vincent Michelot crédite d’ailleurs les médias français d’efforts significatifs pour dépasser les clichés et une vision héritée de « l’Amérique des droits civiques ». RTL n’a-t-elle pas consacré une série de reportages éloquemment intitulée « Cinq idées reçues sur l’Amérique » ? Les moyens humains déployés par les rédactions durant la campagne vont dans ce sens. Car les nombreux envoyés spéciaux qui débarquent de Paris « sont surpris de ce qu’ils découvrent. L’autre jour, un jeune confrère s’étonnait de trouver un nombre impressionnant d’églises au mètre carré dans un petit village. Il n’avait pas mesuré l’ampleur du phénomène religieux », décrit François Clemenceau. "Les Français parlent d’une Amérique rêvée" De retour en France, le reporter aidera ses compatriotes à trouver une juste mesure entre « la méfiance systématique et le philo-américanisme béat », comme les appelle Gilles Bouleau. « Finalement, nous projetons nos rêves et nos espoirs sur ce pays compliqué que nous considérons avec des idées simples », assure-t-il. En poste à Paris pour la National Public Radio depuis 2004, Eleanor Beardsle a tout compris. « Les Français parlent d’une Amérique rêvée. Ils nous somment d’élire un président noir pour mieux oublier qu’un président d’origine maghrébine est encore très loin d’accéder à l’Élysée. Déjà, si vous arriviez à faire entrer à l’Assemblée 10 % de députés issus de l’immigration… » Bruno BOUVET "
Contribution le : 02/11/2008 12:16
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Kazam | 0 #394 |
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Citation :
à ce propos : http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/americas/7682978.stm " Analysis By Steve Schifferes BBC News US hospital The US spends more on healthcare than any other country After the economy, healthcare is the biggest domestic issue influencing voters in the US presidential election. Both candidates have ambitious plans to reform the health system to expand the group covered by health insurance, and to control costs. But the scale of the financial bail-out and the growing size of the US budget deficit could limit any attempt at reform, whichever candidate is elected. "Do we have the money to be our brothers' and sisters' keeper? The answer is No," says health economist Uwe Reinhardt of Princeton University. US HEALTH CARE SYSTEM Medicare: government-funded healthcare for over-65s Medicaid: government funded healthcare for poor people Employer-funded health insurancee: paid by salary deduction, tax deductible Uninsured: treated in emergency rooms only "We have to worry about Goldman Sachs. That's where we are." The US healthcare system is the most expensive in the world. Employer-based insurance plans cover most people in work, and there is government insurance for older people - but 45 million citizens have no health insurance at all. This is why voters see healthcare reform as an urgent priority. Delayed treatment The rising costs of healthcare premiums, and of co-payments -which insured patients are obliged to pay up front when they receive treatment - are also threatening household budgets. According to a recent poll by the Kaiser Family Foundation, nearly half of all Americans have delayed or postponed a medical procedure because of the high cost, and one in three have had trouble paying medical bills. I believe the state of the US economy makes the need for health-care reform even more urgent Senator Max Baucus, chair, Senate Finance Committee "Healthcare is now every bit as much an economic issue for the American people as job insecurity, mortgage payments and credit card debt," said Kaiser president Drew Altman. According to Kaiser, employer-sponsored health coverage premiums for family coverage have increased by 97% since 2000, from $6,438 to $12,680 in 2008, and the share paid by the workers has more than doubled, going from $1,619 to $3,354. Tackling costs John McCain's healthcare plan is the more radical. He aims at replacing the current system of employer-based insurance with individual health insurance plans, and would give a $5,000 tax credit to families to pay for the switch. There are no easy paths to financing universal coverage Professor Jonathan Oberlander He says competition among healthcare plan providers would bring down costs. Under his plan, the government tax credit would only rise in line with inflation, not with the much more rapidly rising cost of healthcare, thus putting more pressure on excess spending. But the plan carries big risks. Mr McCain would finance his plans by cutting the $200bn tax break given to employer-based health insurance plans. This has worried private industry, which believes it could weaken its ability to provide employer-based insurance. "The private marketplace, in my opinion, is ill-prepared today with an infrastructure for an individual-based health insurance system," said R Bruce Josten of the US Chamber of Commerce, in an interview with the New York Times. Expanding coverage Mr Obama's plan is more modest, and reflects the lessons of the failed attempt at healthcare reform in the Clinton administration. John McCain in Missouri, 20 October Mr McCain wants radical free-market reform of health care He would keep employer-based plans, but require companies that don't offer "meaningful" coverage to contribute toward the costs of a public plan ("play or pay"). And he would require all children to have health insurance. The government would subsidise the cost of providing health insurance to those who did not have employer plans. Mr Obama would also regulate the health insurance industry to ensure that it did not refuse coverage to those with existing conditions. Mr Obama, like Mr McCain, argues he can keep down costs by introducing tougher controls, and he plans to pay for the subsidies care by repealing tax cuts for the rich. Comparing costs The independent Tax Policy Center estimates that both plans would be very costly. It says the Obama plan would cost $1.6 trillion over 10 years, while the McCain plan would cost $1.3 trillion. The distribution of costs and benefits would be quite different. The Obama reforms would cost less in the first year, but the bill would rise as more people took up subsidised insurance. The McCain plan would reduce tax revenues substantially in the first year, but over time the costs would go down. However, the Tax Policy Center estimates that after 10 years, the Obama plan would lead to a much bigger reduction in the number of uninsured, cutting it by 34 million in 10 years, while the McCain plan would only cut it only by 5 million. Budget woes The rapidly rising federal budget deficit could be a huge problem, however. The budget deficit has reached $480bn this year, and some experts predict it will rise above $1 trillion by next year, when the cost of the bail-out is included. All major financing options have serious political liabilities Professor Jonathan Oberlander of the University of North Carolina This would represent half of all of federal spending, and put enormous pressure on interest rates and new spending programmes. Most healthcare analysts believe that even without the deficit "there are no easy paths to financing universal coverage," as Professor Jonathan Oberlander of the University of North Carolina writes. "All major financing options have serious political liabilities; they risk arousing either public opposition and anti-tax sentiment or stakeholder opposition," he adds. He argues that neither plan is likely to generate enough cost savings to be self-funding, and that fiscal rules will make it hard to count the expiry of tax cuts as fresh income. However, the key Democratic Senator in charge of such reform suggests that it would still proceed. "While some suggest that the current economic situation might thwart efforts to overhaul America's healthcare system, I believe the state of the US economy makes the need for healthcare reform even more urgent," said Democratic Senator Max Baucus, chair of the Senate Finance Committee. The debate over healthcare reform could become the biggest battle the new president has to fight.
Contribution le : 02/11/2008 12:21
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Invité | 0 #395 |
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FantômeInvité
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Personne lit tes copié-collés chiants comme la mort Kazam.
On s'en branle. :lol: Donne ton avis personnel, affirme-toi un peu nom de Zeus.
Contribution le : 02/11/2008 17:48
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Undead | 0 #396 |
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Je poste trop
Inscrit: 05/10/2007 21:54
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surtout en anglais.
Contribution le : 02/11/2008 18:16
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thelastfleeting | 0 #397 |
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Je masterise !
Inscrit: 02/01/2007 22:52
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Citation :
C'est lui qui les a rédigé .
Contribution le : 03/11/2008 19:24
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ptit-Ludoo | 0 #398 |
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Je viens d'arriver
Inscrit: 03/11/2008 18:28
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Sujet en Anglais + long
J'aime pas du tout ça !! :-?
Contribution le : 03/11/2008 19:45
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Invité | 0 #399 |
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FantômeInvité
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Citation :
ben punaise mon chou t'as du boulot. Je me pretends bilingue mais quand en face tu as des jeunes qui parlent :anglais, francais, allemand, italien et espagnol. t'as interet a te dire : faut que je me bouge le cul!! moi, mon job est fait, rien a prouver. Mais punaise on vit en Europe !
Contribution le : 04/11/2008 00:30
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Berousky | 0 #400 |
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d'ailleurs a ce sujet :
Tolima, más tranquilo si triunfa Jonh McCain La posible pérdida de beneficios por cuenta de los recursos de cooperación, es uno de los principales temores en el Tolima ante un triunfo demócrata, en cabeza de Barack Obama. La eventual llegada a la presidencia de Estados Unidos del demócrata Barack Obama, genera incertidumbre en el Tolima, por el futuro de las relaciones comerciales de productos como los textiles y las confecciones y los recursos de cooperación que benefician a miles de familias en el departamento. "Durante la campaña, el candidato que ha tenido mayor compromiso para con Colombia y obviamente para con el Tolima y ha sido mucho más claro frente a las relaciones económicas que se deben tener, es el republicano John MacCain", sostuvo el secretario de Desarrollo del departamento, Jaime Eduardo Reyes. Según el funcionario, McCain ha manifestado su interés de apoyar el Tratado de Libre Comercio (TLC) con Colombia y además ha sido muy claro en afirmar que Colombia es el aliado natural de la geopolítica de los Estados Unidos. "Esa alianza lo que establece claramente es el poder seguir adelantando proyectos como el que hoy existe de la ley de Preferencias Arancelarias Andinas y de Erradicación de Drogas (Atpdea), que ha sido una muy buena herramienta para nuestros productores agroindustriales y textileros. Muchos productos pudieron avanzar hacia el mercado americano gracias a esa facilidad que le dio el Congreso de la República y el gobierno de Estados Unidos a nuestros productores", señaló Reyes. Por su parte, el gobernador Óscar Barreto, señaló que sería más beneficiosa una presidencia republicana y que por el contrario, existe preocupación ante la posibilidad de que sea demócrata, específicamente por los apoyos de cooperación de proyectos productivos enmarcados en el Plan Colombia. "Esperamos que esos proyectos no se vean afectados si llega el demócrata Barack Obama a la presidencia, pero hay una sensación de preocupación en el tema", puntualizó Óscar Barreto. http://www.eltiempo.com/colombia/tolima/tolima-mas-tranquilo-si-triunfa-jonh-mccain_4642331-1
Contribution le : 04/11/2008 00:39
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