Poeme le plus long du monde

Je suis mon cher ami, très heureux de vous voir
car pour nous la vie n'est que terreur dans le noir
et votre presence est notre ultime espoir
de revoir le jour quand est parti le brouillard.

Ce brouillard qui nous ronge et nous glace le sang
s'accroche à nos folies et quand le soir descend
met en nous cette part de terrible désespoir
desespoir qui nous envahit dans ce noir.

Mais l'ombre ne me fera courber l'échine
Même, ô si je ne suis pas empereur de Chine
Et vous etes celui en qui j'ai confiance
Ceci dit, cher ami, en toute déférence

J'aimerais vous avouer en toute humilité
cet aveu se nourrit d'un peu d'éternité
qu'il va vous falloir vous armer de courage
Pour accepter ceci, et garder votre rage.

Le secret que je vais ainsi vous réveler
Oh non ça risque de nous mettre en danger!!!
- Qu'importe, mon ami! Il faut vous soulager
et me dire, confident, quel est votre secret.

Mon âme soulagée vous mettrait en péril
si je vous avouais mon terrible danger
Il vous faudrait alors commander mon exil
et je devrais de suite vous abandonner.

Et cela ne ferait que me faire pleurer
car je tiens a vous plus qu'a notre amitié.
Mais l'amitié parfois le dispute à l'amour
Ce sera mon tourment jusqu'à mon dernier jour.

-"si ce vilain secret concerne votre moitié
confiez-vous à moi, nous pourrons en parler
mais dites-le tout bas, vous connaissez les murs
ils entendent parfois jusqu'au moindre murmure"

Vous avez en effet deviné mon tourment..
"-vous etes gay mais vous n'osez l'avouer?"
Ainsi, je ne sais plus à quel saint me vouer
Dans la souffrance je me noie absurdement.

Ma douleur envahit mon cœur comme mon âme,
De son flot, un long torrent d'amères rancoeurs,
Me rappelle continuellement mon drame
et désormais ma vie n'a plus grande valeur.

En vain, un trop profond désespoir m'envahit,
et c'est avec regret que je suis obligé
De plonger dans ce gouffre, ce fossé sans vie
et mon cher ami je vous supplie de m'aider.

Cependant, j'aperçois cette lueur d'espoir,
et vos yeux désormais brillent à travers le noir.
Je saisis très fermement cette main tendue,
en ésperant à nouveau n'être pas décu.

Enfin, je me sens revenir à la lumière,

(docteurweb, on fait comme ça, on écrit un paragraphe séparément et ensuite on le rattache au reste pour que ce soit pas trop lourd?)

desole coco lol

JadeReload -> dsl mais j'avais déjà commencé un nouveau paragraphe, tu peux éditer stp? Merci

edit : y avait vraiment pas de mal, dsl di je t'ai paru agressif ms c'est pas mon genre

Je suis mon cher ami, très heureux de vous voir
car pour nous la vie n'est que terreur dans le noir
et votre presence est notre ultime espoir
de revoir le jour quand est parti le brouillard.

Ce brouillard qui nous ronge et nous glace le sang
s'accroche à nos folies et quand le soir descend
met en nous cette part de terrible désespoir
desespoir qui nous envahit dans ce noir.

Mais l'ombre ne me fera courber l'échine
Même, ô si je ne suis pas empereur de Chine
Et vous etes celui en qui j'ai confiance
Ceci dit, cher ami, en toute déférence

J'aimerais vous avouer en toute humilité
cet aveu se nourrit d'un peu d'éternité
qu'il va vous falloir vous armer de courage
Pour accepter ceci, et garder votre rage.

Le secret que je vais ainsi vous réveler
Oh non ça risque de nous mettre en danger!!!
- Qu'importe, mon ami! Il faut vous soulager
et me dire, confident, quel est votre secret.

Mon âme soulagée vous mettrait en péril
si je vous avouais mon terrible danger
Il vous faudrait alors commander mon exil
et je devrais de suite vous abandonner.

Et cela ne ferait que me faire pleurer
car je tiens a vous plus qu'a notre amitié.
Mais l'amitié parfois le dispute à l'amour
Ce sera mon tourment jusqu'à mon dernier jour.

-"si ce vilain secret concerne votre moitié
confiez-vous à moi, nous pourrons en parler
mais dites-le tout bas, vous connaissez les murs
ils entendent parfois jusqu'au moindre murmure"

Vous avez en effet deviné mon tourment..
"-vous etes gay mais vous n'osez l'avouer?"
Ainsi, je ne sais plus à quel saint me vouer
Dans la souffrance je me noie absurdement.

Ma douleur envahit mon cœur comme mon âme,
De son flot, un long torrent d'amères rancoeurs,
Me rappelle continuellement mon drame
et désormais ma vie n'a plus grande valeur.

En vain, un trop profond désespoir m'envahit,
et c'est avec regret que je suis obligé
De plonger dans ce gouffre, ce fossé sans vie
et mon cher ami je vous supplie de m'aider.

Cependant, j'aperçois cette lueur d'espoir,
et vos yeux désormais brillent à travers le noir.
Je saisis très fermement cette main tendue,
en ésperant à nouveau n'être pas décu.

Enfin, je me sens revenir à la lumière,
c'était un secret que je n'pouvais plus taire.

attention je dettere un topic

suite du poème

car en moi je sentait (re)monter la colere

Et poindre en moi, violent, cet appel de la chair.

ça c'est à cause de la chanson de Pikill ; j'vais écouter Dorothée histoire de me calmer

Ayant le feu dans le short, mais victime d'herpés

Pénétrant votre coeur, a defaut de vos fesses.


amis de la poésie bonsoir!!!