Onirisme

@Noems : c'était pas un labyrinthe mais très mal agencé ouais ! ^^

@Jeremyone : c'est pas toujours que je fais un lien entre les rêves et le réel. Et le raisonnement n'est pas "j'ai rêvé de truc donc ça veut dire chose" c'est plus dans le sens "il s'est passé un truc donc j'ai rêvé de choses". Et c'est rare que je me souvienne de mes rêves en ce moment.
C'est bien de noter tes rêves, parfois tu n'auras rien à écrire ou une paire de mots mais c'est pas grave. C'est comme si tu t’entraînais au saut en longueur, tu ne saute pas plus loin chaque jour, il y a des jours qui sont moins productifs que d'autre. Malgré ça tu progresses !

Je ne l'ai pas fait transparaître à l'écrit, mais la fin tourne au cauchemar (c'est pour ça que je m'en souviens d'ailleurs) c'est traumatisant de se dire qu'on est rentré chez toi...

J'ai rêvé qu'une fille vraiment mignonne et très sympa était amoureuse de moi. On commençait à se faire des câlins et pouf, je me suis réveillé, seul, tristement seul. Pfff, c'est nul, les rêves ! :evil:

Citation :
:-o il m'est arrivé quasi la même chose.

Ces temps-ci j'arrête pas de rêver, 4 rêves en 3 nuits:-o

D'abord le coup de la fille mignonne qui est amoureuse de moi et moi je fais genre que j'hésite mais en fait pas du tout
D'ailleurs c'était bizarre, parce que dans ce rêve je me suis demandé si j'étais pas en train de rêver quoi:-o, et je me souviens m'être dit "ah bah si je me demande ça c'est que je rêve pas" pfff...

Puis un autre rêve avec une autre meuf hyper bien avec qui je parle pour la première fois et on s'entend plutôt bien.

Puis de nouveau avec la première fille et un escalier en colimaçon sans fin, celui j'l'ai pas trop compris xD

Et finalement un rêve ou je me réveille et je vois que je suis en retard mais en fait non, ce n'était qu'un cauchemar , je me suis réveillé à l'heure ce matin

Pfou, ça me rappelle un vieeuuuux rève que j'ai fait avec une belle brune.

En regardant dans mon cahier, je m'aperçois que :
-c'était en 2007 (j'ai la date exacte)
-c'est le premier rêve que j'ai noté

L'avantage du cahier c'est que tant que je pourrais lire ce que j'ai écrit, je n'oublierai pas le rêve

Merci Grandasse de m'avoir stalké et m'avoir ramener jusqu'ici

Je prendrai le temps de lire un peu ce topic quand je pourrai (je suis plutôt débordé en ce moment). En tout cas, je savais pas qu'un tel topic existait !

Bon personnellement, je rêve depuis toujours. Je n'ai en revanche pas fait de cauchemar depuis très longtemps, ou presque.

Je dis "ou presque", je vais vous expliquer.

Il y a deux ans, j'ai fais un rêve qui m'a vraiment foutu perplexe.

J'étais dans mon lycée (ou du moins il y avait des éléments clés pour que j'identifie le lieu comme étant mon lycée) sauf que toutes les fenêtres étaient scellée à coup de planche de bois, il n'y avait plus d'électricité et surtout, des cadavres jonchaient le sol et il y avait du sang sur à peu prêt toutes les surfaces.

Je marchais avec un quelqu'un, que je n'ai jamais pu indentifier, paisiblement au milieu des cadavres et du sang, et on papotait. Je me souviens lui avoir dit en rigolant, en pointant un cadavre du doigt "ah tiens, c'est Julien", un pote de lycée que j'avais clairement reconnu dans mon rêve. Et ça a continué pendant un bout de temps. On flânait dans le lycée apocalyptique en racontant quelques anecdotes au fur et à mesure que j'identifiais les cadavres.

Et je me suis réveillé naturellement, sans que ce soit brusque. Sauf qu'en me réveillant, j'étais pas sûr de ce qui venait se passer. C'était un rêve ? Un cauchemar ? Pourquoi j'étais si tranquille au milieu de tout ce massacre ?


Sur un autre registre, il y a un rêve que je faisais très souvent, mais très très souvent, quand j'étais petit (autour de 8/10 ans).

J'étais avec mon ami d'enfance, on allait en direction de la place où on avait l'habitude de jouer à cet âge. À côté de cette place, IRL, il y avait un saule-pleureur. Un arbre magnifique très connu du quartier, qui était assez symbolique.

Sauf que dans mon rêve, ce saule-pleureur était géant et son feuillage recouvrait toute la place, et le béton était recouvert d'une sorte de vigne, comme si la nature avait repris ses droits sur ce quartier.

Avec mon ami, nous marchions vers le saule-pleureur dans une légère brume. Et au fur et à mesure où on s'approchait, on distinguait la silhouette d'une sorte de nymphe, une silhouette féminine de dos, avec de longs cheveux mêlés de fleurs et de vigne. Elle était clairement en phase avec cette nature, cette verdure.

On s'approche de plus en plus, et quand enfin, on est sur le point de la toucher pour qu'elle se retourne, je me réveille.

Ce qui était le plus frustrant, c'est que j'arrivais à me réveiller à différents moments, mais sans jamais arriver à la faire se retourner et voir son visage.

Le plus étrange sur ce rêve c'est qu'ils se sont arrêtés au début des années 2000, quand des vents historiques ont déraciner l'arbre (les saule-pleureur ont de très petites racines).

J'aurai vraiment aimé savoir qui était cette femme.

Enfin, je dois vous partager ce que j'essaye de vivre depuis trois semaines. Je me suis enfin décidé à commencer à tenir un carnet, puisque j'avais entendu que ça favorisait la réalisation des rêves lucides. Sans être vraiment sûr que j'y arriverai un jour.

Et ce vendredi 8 mars, j'ai enfin, pour la première fois, réussi.

On était chez de la famille par alliance, on parlait. Et à ce moment là, je me met à réaliser que cela n'était pas possible. Aussi vrai cela semblait-être, je ne pouvais pas, en ce moment précis, être chez eux. Et je me souviens l'avoir dit à voix haute et IRL aussi. J'utilise un sleep recorder, et j'ai très clairement dit "attend, c'est pas possible, c'est pas possible. [...] What the fuuuuu" (oui j'ai pas prononcé le 'ck'). Et là, j'ai clairement compris que je rêvais. Je me suis foutu des baffes, sans rien sentir, et tout le monde autour de moi s'est figé.

Je regarde alors le sol, et je contrôlais vraiment ce que je faisais. Et j'ai voulu essayer de voler... J'ai réussi. J'ai décollé sans trop galérer, et je me suis mis à voler au dessus d'une ville qui ne ressemblait à rien à celle où j'étais supposé être. Mais le plus drôle, c'est que j'avais pas de mal à me diriger gauche/droite mais j'en chiais comme un rat mort pour gérer mon altitude et j'ai manqué à deux fois de me payer un HLM en pleine poire.

Mon réveil m'a ensuite arraché du sommeil et j'avais une sensation d'accomplissement comme jamais. Jamais un rêve ne m'avait été aussi clair et joussif. Jamais avant je n'avais pu contrôler ce que je faisais dans mon rêve.

Et depuis ce jour, j'ai l'impression de clairement rêver tous les soirs. Je n'arrive pas tous les soirs à le contrôler, mais je m'en souviens beaucoup plus clairement. Du coup, ça aide pour tenir un carnet propre.





Merci à ceux qui auront lu.

Haha, c'est claaaaaasse, bien joué ! Et bien raconté

Citation :De rien! \o/

Trop d'la chance, de jamais faire de cauchemars!

Je vois que je ne suis pas le seul à faire des rêves bizarres, voir glauques ^^

Bien que cauchemardant très peu, il m'arrive d'en avoir de temps en temps. Le dernier en date m'a bien secoué mine de rien...

L'action se passe dans un monde en pleine révolution industrielle. La ville où je me trouve n'est qu'usines de briques rouges, noircies par les panaches de fumées que crachent des dizaines et des dizaines de cheminées. Le reste du décors est flou, mais le gris est la couleur dominante. Ciel, rues, façades et citoyens sont gris.

Je cours dans une ruelle jonchées de détritus, bousculant des ouvriers en salopettes grises. Je fuis quelque chose ou quelqu'un, je ne sais trop, mais ce dont je suis sur, c'est qu'il me faut mettre le plus de distance possible entre Ça et moi.

Au détours d'une long couloir, j'entre dans une immense salle des machines. Le style intérieurs rappelle les cathédrales gothiques, ou les vaisseaux de Warhammer 40K. d'imposantes chaudières à charbons sont alignées sur des kilomètres, avec des hommes par dizaines pour y enfourner des pelletés de charbons dans une cadence infernale. Ici, le rouge s'impose comme couleur dominante, les flammes s'échappant des chaudières illuminent la salle, s'élevant en colonne vers un plafond invisible.

Soudain, ma course s'interrompt lorsque je percute un ouvrier. Déséquilibré, je m'écroule entre un wagon de charbon et une chaudière à la gueule grande ouverte. La chaleur est suffocante, le grondement du brasier assourdissant. Alors que je cherche à me relever sans me brûler, une ombre imposante s'approche.

Je vois enfin ce que je cherche à fuir depuis le début de mon rêve! Une armure de chevalier, immense, haute comme deux hommes. Et noire comme la nuit, même les flammes industrielles ne parviennent à s'y refléter. Le casque en forme de seau renversé arbore une fente en T ne permet pas de voir ce qui se cache sous cette montagne d'acier. Des séries de pointes recouvrent ses bras, ses épaules et ses jambes, rendant même la carapace mortelle. Une masse d'arme imposante pend à sa ceinture. Il semble marcher d'un pas tranquille, mais ses jambes démesurées lui font parcourir plusieurs mètres à chaque pas. Les ouvriers imperturbables continuent leurs labeurs, même lorsque leurs compagnons se font écraser par les chausses de métal ou empaler, au passage du monstre.

Une peur panique m'envahi à cette vision et je recule à quatre pattes, cherchant à contourner la chaudière. Et alors que l'espace entre le mur et la machine se rétrécit de plus en plus, le sol se dérobe soudains sous mes pieds. Un haut-le-cœur me prend, alors qu'un courant d'air froid me gifle. Puis je m'écrase lourdement sur un sol sec et dur.

Reprenant mes esprits, je cherche en vain une lueur au dessus de moi. Mais il n'y a que des ténèbres et toute trace du point de départ de ma chute semble avoir disparu. Mon regard accroche les piliers qui soutiennent le plafond. Des colonnes métalliques par centaines, pointillées de milliers de rivets, qui se perdent dans ce ciel d'encre.

C'est en regardant la base des colonnes que je me rend compte de la nature du sol. Un charnier. Des milliers, des millions de squelettes humains, d'os et de crânes ricanant qui tous semblent me fixer de leurs orbites vides…

Et un réveil en sursaut et sueur, un!

Niveau signification, ça semble assez limpide, mais l'implication émotionnelle sur le moment était assez forte pour que j'enregistre chaque détail aussi précisément!

Doh ! C'est bien écrit:o !!

Merci pour le partage Denej, j'aime bien ton histoire avec l'arbre.

Citation :
Citation :
C'est ton cahier qui t'aide à te souvenir du rêve. Tu peux très bien faire un rêve lucide sans cahier, mais si tu ne t'en souviens pas... :lol:

Citation :
Toi, vu la musique paisible et seraine que tu écoutes, ça m'étonne à peine

@castor : c'est vrai que c'est super bien raconté, et puis tu as un univers bien particulier qui s'est construit !

Citation :

En fait, j'en ai énormément fait quand j'étais petit et depuis toujours, j'ai un sommeil très perturbé. Il me faut au moins une heure entière avant de m'endormir, je parle beaucoup en dormant et je me réveille au moins une fois par nuit, sans raison apparente.

Citation :

C'est un rêve qui m'a longtemps marqué et qui me marque toujours. Je l'ai tellement vécu souvent qu'il est gravé à jamais dans ma mémoire, et je peux encore très distinctement décrire cette femme de dos alors que j'avais pas plus de 10 ans quand j'ai arrêté de le faire.

Citation :

Oui, mais je pense que je me suis mal exprimé. Ce que je voulais dire c'est que j'ai clairement vu une différence flagrante dans mes souvenirs des détails avant et après le 8 mars. Ce qui permet, depuis le 8 mars, d'avoir des descriptions plus détaillées de mes rêves. C'est certains, le fait d'avoir tenu ce cahier m'aidait avant ça, mais ce premier rêve lucide a déclenché quelque chose, c'est certains.

Citation :

Ah ouais... Bien écrit en tout cas. Mais tu vois, moi ce genre de "rêve" j'en fais de temps en temps, un peu comme celui que j'ai décris. Mais ils ne m'ont plus réveillé en sursaut, il ne me font pas peurs, je suis même terriblement paisible quand je les vis. Est-ce lié au fait que justement je faisais énormément de cauchemars étant petits et que je me suis un peu blindé contre ?

Niveau signification des rêves par contre je ne m'y connais pas du tout.


Fun fact : J'ai appris l'existence du concept même de rêve lucide grâce au bonus sur le Blu-ray d'Inception, qui décrit sur quelles pratiques s'est basé Nolan pour son script. Et même si ça fait bien longtemps que j'avais visionné ce micro-reportage qu'ils ont fait, j'ai eu envie de m'y mettre d'un coup.

Citation :
Mon fun fact, c'est d'avoir reçu, le mois dernier, le hors-série no 98 de Science&vie Junior qui parle des rêves (et du sommeil). Il y a même un dossier sur les rêves lucides

Citation :

Bon, en ce qui me concerne en tout cas, les "cauchemars" correspondent presque toujours à mon état d'esprit du moment.

Pour celui là en l’occurrence, j'étais dans une période où le boulot me flinguait sérieusement (quoi de mieux qu'une cité-usine pour représenter l’oppression du travail?) et je cherchais désespérément une activité pour me libérer de ce poids (la fuite dans l'usine) mais je traînais trop de soucis pour vraiment réussir à me poser (l'armure poursuivante et qui bousille tout sur son passage). La "chute" finale étant l’intégration d'une de mes plus grande peur enfantine ravivée par une rupture récente (mourir seul, abandonné et oublié de tous)

Mais aujourd'hui, ça va mieux

Il-y-a quelques années j'ai fait un rêve relativement glauque en noir et blanc. Ça m'avait impressionné car c'était comme un film de mafia, d'ailleurs j'ai commencé à en écrire un scénario.

Je suis assis sur une chaise en bois au milieu d'une chambre relativement luxueuse mais un peu crade, au premier étage d'un vieux pavillon. Derrière moi un grand lit à baldaquin, et devant moi une fenêtre à stores vénitiens qui laisse entrer des rayons de lumière révélés par l'air poussiéreux; sur ma gauche une porte fermée donnant sur un grand hall d'entrée avec un escalier en bois massif (je n'avais pas encore vu le hall mais je savais à quoi il ressemblait, comme si j'y avais déjà été). Je sais dès le départ que je suis un jeune gangster qui viens de débarquer dans le monde du crime (en y repensant je crois bien que ça coincidait avec un de mes premiers stages, lol). Je porte une chemise avec un gilet sans manche par-dessus et bien entendu un chapeau de mafieux (oh yeah). L'air est lourd et je me sens sale, je crois que je transpire un peu.

Soudain j'entends un moteur; je me lève en trombe, me jette sur la fenêtre et écartes les lames du store. Je vois alors débarouler une vieille bagnole criblée d'impacts fumants s'arrêter devant la maison dans un crissement de pneu sec. deux types en sortent (je les connais, ce sont des collègues). Ils portent eux aussi des chapeaux mais ont de longs manteaux noirs. Ils ouvrent la porte arrière droite de la bagnole et sortent le cadavre d'un troisième type que je connais aussi en tant que gangster (j'ai oublié son nom mais appelons-le Jacky). Ils le traînent jusqu'à la maison.

À ce moment y'a une ellipse. Je me retrouve alors dans cette même chambre mais avec la porte ouverte, les deux types dans son encadrement et le cadavre qui heurte le sol après avoir été balancé par l'un d'eux. Jacky a les yeux grand ouverts. L'un des types m'explique qu' "ils" l'ont tué et qu'il faut le descendre à la salle des macchabées; il précise que comme ça il tiendra compagnie à "un reste d'interrogatoire de ce matin".

Nouvelle ellipse et je me retrouve dans le hall d'entrée de la baraque, en haut de l'escalier avec Jacky dans les bras. La "salle des macchabées" est au rez-de-chaussée. Jacky étant très lourd je cale son buste contre la rambarde de l'escalier pour alléger la charge en le faisant glisser en même temps que je descends. Je commence à descendre doucement une, deux, trois marches puis je ripe sur la quatrième. Je me cogne le cul parterre et le cadavre dévale l'escalier dans un vacarme assourdissant. Après deux secondes de silence, je me relève et descends l'escalier; le cadavre est en vrac au pied de celui-ci et a le tibia droit pété en deux. Je le reprends péniblement et me dirige vers la salle des macchabées.

J'ouvre la porte et allume un petit plafonnier minable. La pièce est très sombre, aucune fenêtre et au fond des chaises avec sur l'une d'entre elles le "reste d'interrogatoire" à savoir un cadavre attaché et mutilé. Je traîne Jacky vers une chaise, l'assois dessus, éteins la lumière puis sors de la salle. Jacky gît sur la chaise dans la pénombre, les yeux rivés au plafond et le tibia à angle droit. Alors une voix off explique que Jacky n'est pas mort, qu'il est juste profondément paralysé et qu'il mourra dans la nuit de douleur.

Et pof je me réveille.

Question...

Ces temps-ci j'ai l'impression de faire des rêves que je ne faisais pas avant. Par "ces temps-ci" j'inclue des rêves d'avant mon carnet et mon premier rêve lucide.

Je parle des rêves qui se suivent. Ça vous arrive d'en faire ?

La nuit dernière j'ai littéralement vécu la suite d'un rêve que j'avais fait il y a environ deux mois. Et ce n'est pas la première fois que j'ai des rêves, des histoires, des déroulements qui se suivent sur deux nuits pas forcément suivies.

La celui d'hier soir était particulièrement "marrant" puisque j'ai réussi à rentrer dedans, et à le contrôler avec mes souvenirs du premier "épisode".

"Épisode" est le mot juste puisque le tout se passe dans un monde cartoonesque avec Homer Simpson. Dans mon plus vieux rêve, je le voyais dans la centrale en train de manipuler de l'uranium ou autre truc qui irradie et il crée une sorte de monstre marin, un requin avec des pics sur le dos et des nageoires aussi grande que les ailes d'un avion par rapport à son corps.

En y pensant, ça ressemblait beaucoup à un requin avion (si une telle chose existait).

Et Homer pas soucieux alors que tout le monde était en panique devant la créature, décide de lui faire peur en lui jetant sa chaussure. Et là, la créature attrape la chaussure au vol et vient la ramener à Homer, tel un chien et une balle. Et je me réveillais ensuite.

Dans la suite que j'ai rêvé hier soir, je retrouve Homer dans une sorte de piscine public couverte, et allez savoir pourquoi, la créature est dans le bassin. Tout le monde panique, Homer se demande ce qu'il peut faire. C'est alors que j'interviens. Je passe de spectateur à acteur et je viens lui prendre sa chaussure du pied, et je la jette à la créature. Et pas manqué, je me retrouve à jouer avec comme un chien qui rapporte. Je me réveille peu de temps après à cause de mon réveil.

Ptain faut que je tienne un carnet moi aussi. J'adore les rêves, c'est comme partir pour vivre une nouvelle aventure chaque nuit, mais j'en fais jamais. (Peut être parce que je dors rarement plus de 3h30 par nuit ? Vous dormez combien de temps environ vous ?)

Je pense que moins tu dors, plus tu as un sommeil récupérateur (et moins de paradoxal).
Je dors 6h par nuit mais comme je suis KO à chaque fois je me souviens rarement de mes rêves. Par contre le week-end, quand je dors un peu plus tard sur le matin c'est mieux

Sachant qu'actuellement j'ai cours que l'aprem, je dors environ 10h par nuit sans interruption.

Et PPF, c'est nuit j'ai rêvé que je faisait du skate, mais ultrafacilement, ça me semblais trop simple, alors que normalement je me vautre au bout de 2 mètres.