[Topic unique] Géopolitique internationale (diplomatie, conflits armés, terrorisme, Moyen-Orient...)

Citation :
il est disponible en venant de google, avec la même adresse .

click sur le premier lien depuis google, et l'article est dispo
https://www.google.com/search?q=Erdo%C4%9Fan+blocks+Nato+accession+talks+with+Sweden+and+Finland edit : ben non plus du tout ...
L'article en anglais est dispo sous la traduction.

je colle ici la traduction (par google) de l'article:
La Turquie a bloqué la décision initiale de l'Otan de traiter les demandes d'adhésion de la Finlande et de la Suède à l'alliance militaire, jetant le doute sur les espoirs d'une adhésion rapide des deux pays nordiques.

Les ambassadeurs de l'OTAN se sont rencontrés mercredi dans le but d'ouvrir les pourparlers d'adhésion le jour même où la Finlande et la Suède ont soumis leurs candidatures, mais l'opposition d'Ankara a interrompu tout vote, selon une personne ayant une connaissance directe du dossier.

Cette décision fait douter que l'OTAN sera en mesure d'approuver la première étape des candidatures de la Finlande et de la Suède dans un délai d'une ou deux semaines, comme l'a indiqué le secrétaire général Jens Stoltenberg. Cela ouvre également la voie à plusieurs jours de diplomatie intense entre les États-Unis, la Turquie, la Finlande et la Suède sur la question.

Un responsable turc a confirmé qu'Ankara avait freiné le processus, mais a insisté sur le fait que la Turquie n'excluait pas la perspective d'une adhésion de la Suède et de la Finlande.

"Nous ne disons pas qu'ils ne peuvent pas être membres de l'OTAN", a déclaré le responsable. "Juste que nous devons être sur la même longueur d'onde, sur la même page, à propos de la menace à laquelle nous sommes confrontés."

Le responsable a ajouté : « Nous voulons parvenir à un accord . . . Plus tôt nous parviendrons à un accord, plus tôt les discussions sur l'adhésion pourront commencer.

Les 30 membres actuels de l'OTAN doivent ratifier les demandes de la Finlande et de la Suède, mais ce processus ne commence que lorsque l'alliance de défense publie un protocole d'adhésion et invite officiellement les deux pays à se joindre.

L'Otan a refusé de commenter, sauf pour répéter les remarques de Stoltenberg selon lesquelles "l'intérêt de sécurité de tous les alliés doit être pris en compte [et] nous sommes déterminés à résoudre tous les problèmes et à parvenir à une conclusion rapide".

S'exprimant au parlement mercredi, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a attaqué les alliés occidentaux pour ne pas avoir respecté la "sensibilité" d'Ankara sur le terrorisme et a accusé les derniers candidats à l'OTAN de refuser d'extrader 30 personnes accusées d'accusations liées au terrorisme dans son pays.

« Nous avons demandé 30 terroristes. Ils ont dit: "nous ne leur donnons pas", a-t-il déclaré dans un discours au parlement. "Vous ne livrerez pas les terroristes mais vous voulez rejoindre l'Otan. Nous ne pouvons pas dire oui à une organisation de sécurité dépourvue de sécurité.

Erdoğan, qui a le pouvoir d'opposer son veto à l'adhésion des pays nordiques à l'OTAN, a déclaré que les membres de l'OTAN devraient « comprendre, respecter et soutenir » les sensibilités de la Turquie à l'égard de ces groupes, mais a ajouté : « Aucun de nos alliés n'a montré le respect auquel nous nous attendions. notre sensibilité.

La décision capitale d'Helsinki et de Stockholm de poursuivre l'adhésion à l'alliance intervient après que l'invasion de l'Ukraine par Vladimir Poutine, un membre non membre de l'OTAN qui partage une frontière avec la Russie, a bouleversé des décennies de réflexion sur la sécurité.

Mais l'opposition d'Erdoğan à leur admission a jeté une ombre sur ce que les dirigeants de l'OTAN ont cherché à présenter comme un moment historique pour l'alliance.

"C'est une bonne journée à un moment critique pour notre sécurité", a déclaré Stoltenberg mercredi alors que les ambassadeurs finlandais et suédois remettaient leurs demandes lors d'une cérémonie au siège de l'OTAN à Bruxelles.

Stoltenberg a promis que l'OTAN était « déterminée à résoudre tous les problèmes et à parvenir à des conclusions rapides », ajoutant : « Tous les alliés s'accordent sur l'importance de l'élargissement de l'OTAN. Nous sommes tous d'accord sur le fait que nous devons être solidaires, et nous sommes tous d'accord sur le fait qu'il s'agit d'un moment historique que nous devons tous saisir.

Le président finlandais Sauli Niinistö et la première ministre suédoise Magdalena Andersson rendront visite jeudi au président américain Joe Biden pour tenter de gagner son soutien pour une ratification rapide et tenter de vaincre l'opposition turque. Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlüt Çavuşoğlu, rencontrera mercredi à New York le secrétaire d'État américain Antony Blinken.

Niinistö a déclaré: "Si nous avons un processus rapide là-bas, cela aide l'ensemble du processus et du calendrier."

La Turquie, membre de l'OTAN depuis 1952, est lésée par ce qu'elle considère comme l'incapacité de la Suède à réprimer les membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), une milice qui mène une lutte armée contre l'État turc depuis les années 1980. Il a également accusé Stockholm d'héberger des membres exilés du mouvement Gulen, une secte islamique secrète qu'Ankara accuse d'une violente tentative de coup d'État qui a secoué la Turquie en 2016.

Le journal pro-gouvernemental turc Sabah a dressé mercredi une liste des 10 demandes d'Ankara aux pays nordiques. Ils comprenaient une demande de limitation des contacts et du financement du PKK et de sa filiale en Syrie, ainsi qu'une répression des médias basés à Stockholm liés à Gulen.

La Finlande et la Suède ont hâte d'obtenir des garanties de sécurité, le Royaume-Uni, la Norvège, le Danemark et l'Islande acceptant de leur venir en aide s'ils étaient attaqués avant de devenir membres de l'OTAN et d'être soumis à son engagement de défense collective.

Niinistö a déclaré lors d'une visite d'État en Suède mardi que les pays avaient été encouragés par la légère réaction de Poutine et de son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à leurs candidatures à l'OTAN, les deux responsables russes semblant suggérer que Moscou tolérerait que la Finlande et la Suède rejoignent l'alliance.

"Peut-être que la Russie ne veut pas dire à son peuple que nous avons de nouveaux problèmes", a déclaré Niinistö.

L'adhésion de la Finlande et de la Suède à l'alliance ferait plus que doubler les frontières de l'Otan avec la Russie, mais lui permettrait de défendre plus facilement les trois États baltes, son point le plus vulnérable.

Les pays baltes ont accueilli favorablement les demandes d'adhésion, mais ont souligné que l'OTAN devait accepter d'accroître leur propre sécurité lors d'un sommet à Madrid en juin.



en anglais :


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Turkey has blocked Nato’s initial decision to process requests by Finland and Sweden to join the military alliance, throwing into doubt the hopes for a quick accession of the two Nordic countries.

Nato ambassadors met on Wednesday with the aim of opening accession talks on the same day that Finland and Sweden submitted their applications but Ankara’s opposition stopped any vote, according to a person with direct knowledge of the matter.

The move raises doubt that Nato will be able to approve the first stage of Finland’s and Sweden’s applications within one or two weeks, as secretary-general Jens Stoltenberg indicated. It also sets the stage for several days of intense diplomacy between the US, Turkey, Finland and Sweden over the issue.

A Turkish official confirmed that Ankara had put the brakes on the process, but insisted that Turkey was not ruling out the prospect of Sweden and Finland joining.

“We’re not saying they can’t be Nato members,” the official said. “Just that we need to be on the same wavelength, the same page, about the threat that we’re facing.”

The official added: “We want to reach an agreement . . . The sooner we can reach an agreement, the sooner the membership discussions can start.”

All 30 existing members of Nato have to ratify Finland’s and Sweden’s applications but that process only starts once the defence alliance issues an accession protocol and formally invites the two countries to join.

Nato declined to comment, other than to repeat Stoltenberg’s remarks that “the security interest of all allies have to be taken into account [and] we are determined to work through all issues and reach a rapid conclusion”.

Speaking in parliament on Wednesday, Turkish president Recep Tayyip Erdoğan attacked western allies for failing to respect Ankara’s “sensitivity” on terrorism and accused the latest Nato applicants of refusing to extradite 30 people accused of terrorism-related charges in his country.

“We asked for 30 terrorists. They said: ‘we are not giving them’,” he said in a speech to parliament. “You won’t hand over terrorists but you want to join Nato. We cannot say yes to a security organisation that is devoid of security.”

Erdoğan, who has the power to veto the Nordic countries’ admission to Nato, said that Nato members should “understand, respect and support” Turkey’s sensitivities about these groups, but added: “None of our allies has shown the respect that we expected to our sensitivity.”

The momentous decision by Helsinki and Stockholm to pursue membership of the alliance comes after Vladimir Putin’s invasion of Ukraine, a non-Nato member that shares a border with Russia, upturned decades of security thinking.

But Erdoğan’s opposition to their admission cast a shadow over what Nato leaders sought to cast as a historic moment for the alliance.

“This is a good day at a critical moment for our security,” Stoltenberg said on Wednesday as the Finnish and Swedish ambassadors handed in their requests at a ceremony at Nato’s headquarters in Brussels.

Stoltenberg pledged that Nato was “determined to work through all issues and reach rapid conclusions”, adding: “All allies agree on the importance of Nato enlargement. We all agree that we must stand together, and we all agree that this is a historic moment that we all must seize.”

Finland’s president Sauli Niinistö and Sweden’s prime minister Magdalena Andersson will visit US president Joe Biden on Thursday in an attempt to win his backing for rapid ratification and attempt to overcome the Turkish opposition. Turkey’s foreign minister, Mevlüt Çavuşoğlu, will meet US secretary of state Antony Blinken in New York on Wednesday.

Niinistö said: “If we have a quick process there, it helps the whole process and timetable.”

Turkey, a Nato member since 1952, is aggrieved by what it sees as Sweden’s failure to crack down on members of the Kurdistan Workers’ party (PKK), a militia that has waged an armed struggle against the Turkish state since the 1980s. It has also accused Stockholm of harbouring exiled members of the Gulen movement, a secretive Islamic sect that Ankara blames for a violent coup attempt that rocked Turkey in 2016.


Turkey’s pro-government newspaper Sabah on Wednesday set out a list of what it said were Ankara’s 10 demands of the Nordic countries. They included a demand to limit contacts with and financing of PKK and its affiliate in Syria, as well as a clampdown on Stockholm-based media linked to Gulen.

Finland and Sweden have been eager to gain security assurances, with the UK, Norway, Denmark and Iceland agreeing to come to their aid if they were attacked before becoming members of Nato and being subject to its collective defence pledge.

Niinistö said during a state visit to Sweden on Tuesday that the countries had been encouraged by the mild reaction by Putin and his foreign minister Sergei Lavrov to their Nato applications, with both Russian officials appearing to suggest Moscow would tolerate Finland and Sweden joining the alliance.

“Maybe Russia doesn’t want to tell its people that we have new problems,” said Niinistö.

Finnish and Swedish membership of the alliance would more than double Nato’s borders with Russia, but would make it easier for it to defend the three Baltic states, its most vulnerable point.

The Baltic countries have welcomed the membership requests, but stressed that Nato needed to agree to increase their own security at a Madrid summit in June.

Et dire que la Turquie est toujours candidate pour adhérer à l'UE... Heureusement, pour l'instant, on a réussi à échapper à ce cataclysme!

L'armée russe dit avoir "entièrement libéré" l'usine Azovstal de Marioupol.

Le Kremlin en a profité pour montrer les symboles nazis arborés par certains membres du régiment Azov, obligés de se dénuder devant les caméras du ministère de la Défense. (dans l'article)

Je n'ai pas plus d'info sur ce qui va être décidé pour les prisonniers.

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Après des entretiens téléphoniques entre le Président turc, Erdogan, et ses homologues finlandais et suédois, la Turquie semble plus conciliante envers une adhésion de la Finlande à l'OTAN mais serait toujours hostile pour la Suède.

@Wiliwilliam Le lien sur le Kremlin et les symbole ne semble pas être le bon
OK et merci de suivre le sujet de près comme tu le fais

@Kilroy1 dans le thread déroulant en bas tu vas au post daté du 21/05/2022 04:26

The Occupant/Окупант. Війна і мир у телефоні російського солдата (ENG Subs)

pour voir en STFR , utilisé la traduction google  ( dents cranté > sous titre > anglais puis  dent cranté > sous titre >traduire automatiquement  > en Français )

Comment un chef de char russe de 24 ans vit-il la guerre en Ukraine? Un journal ukrainien a réalisé un reportage sur la base d’images que le jeune lieutenant russe Yuri Shalaev a lui-même réalisées avec son smartphone. Le documentaire donne un aperçu rare de l’armée russe.

Le documentaire “The Occupant” montre des images uniques de la vie militaire russe, notamment de la guerre dans l’est de l’Ukraine. Le char du lieutenant Yuri Shalaev est neutralisé par les Ukrainiens. Shalaev doit alors se cacher dans un village pour échapper à l’ennemi qui finira par l’arrêter.

Les images de son téléphone - dont la récupération violent des règles de la Convention de Genève qui interdit l’utilisation d’images de prisonniers de guerre à des fins de propagande - ont atterri dans les mains du journal ukrainien Ukrayinska Pravda qui les a éditées et mises en ligne. La vidéo de 24 minutes a été visionnée plus de deux millions de fois, y compris en Russie.

Selon un journaliste du journal ukrainien, ce documentaire ne visait pas à rendre les “occupants” plus humains, ni à discréditer l’armée russe. “L’histoire a pris forme à travers les vidéos et montre un visage différent de l’armée russe, l’armée de Poutine”, ont expliqué les réalisateurs. “Nous l’avons montré tel qu’elle est.”

Nous voyons le monde à travers les yeux de Yuri Shalaev qui, en tant que très jeune commandant d’une unité de chars, sert pour la première fois à Chali, en Tchétchénie. Son récit commence en mai 2021, dix mois avant le début de la “mission militaire spéciale” en Ukraine. Nous découvrons un jeune homme qui a une fille, sort avec sa femme et ses amis et a tendance à boire beaucoup. Il surprend sa fille Masha avec un nouveau vélo, est complètement ivre avec son oncle, s’amuse avec des amis sur un hors-bord et chante des chansons dans la voiture.

Shalaev est ce que l’on appelle un cadet du Kremlin, il a étudié dans la meilleure académie militaire de Moscou et fait partie d’une unité d’élite alors déployée en Tchétchénie, la république autonome du sud de la Fédération de Russie.

Le jeune officier montre immédiatement des images spéciales du Caucase. Par exemple, il enregistre une conversation avec un Tchétchène âgé qui lui fait comprendre que la présence russe en Tchétchénie est indésirable. “Laissez-nous tranquilles, laissez-nous tranquilles”, dit l’homme en expliquant que les Tchétchènes ont une mentalité différente de celle des Russes et qu’ils veulent être un peuple indépendant. “Allez vous occuper de vos grands-mères, elles meurent de faim. Tu ne viens ici que parce que tu as un double salaire”, dit l’homme. Shalaev réagit avec surprise. “C’est la première fois que j’entends ça”, dit-il à son téléphone.

Puis, le 3 mars 2022, le jeune lieutenant est déployé en Ukraine dans le cadre de l’invasion à grande échelle de la Russie. “C’est sérieux, ceux qui n’y vont pas seront virés. Ne dites à personne que je pars”, rapporte-t-il au front intérieur.
C'est chacun pour soi

Les images de guerre qu’il montre confirment les observations précédentes des analystes militaires occidentaux: l’armée russe est mal organisée, se bat avec un équipement de mauvaise qualité et a une mentalité déplorable.

Selon un commentateur américain dans une réaction au documentaire, lorsque la colonne de chars est bombardée près de la ville de Donetsk, Shalaev et ses compagnons ne semblent pas s’occuper de leurs collègues blessés. C’est chacun pour soi dans la campagne du Donbass, où il n’y a pas de villageois en liesse attendant d’accueillir les Russes en libérateurs.

Shalaev se retrouve alors dans une situation de combat critique. C’est la panique à bord de son char. “Nous sommes attaqués depuis trois heures. Ils nous baisent”, décrit-il. Son canon refuse le service. Il continue à filmer des fragments, même lorsque son char a explosé et qu’il doit se cacher dans un village. Début avril, le jeune Russe est finalement capturé.

Les images ont été sélectionnées par le journaliste ukrainien Mykhailo Tkach qui, dans une interview accordée à un journal ukrainien, a déclaré avoir été surpris par la docilité et la naïveté des soldats russes. “On a l’impression que ces gens ne pensent pas, n’analysent pas. En d’autres termes, ils croient vraiment qu’il y a des fascistes et des laboratoires secrets partout en Ukraine. Ils ne remettent absolument pas en doute ce qu’on leur a présenté comme étant la ‘menace que constitue l’Otan’ et ils justifient leurs actions en disant que ‘les ordres sont les ordres’”.

Il était intéressant d’entendre les “occupants” se plaindre de l’échec de l’opération et du mauvais état de l’armée russe, a déclaré le journaliste ukrainien. “Il est complètement absurde de réaliser que beaucoup d’entre eux sont devenus des envahisseurs et des criminels de guerre parce qu’ils ont des crédits hypothécaires sur le dos. En d’autres termes, ils vont au devant de leur mort pour se payer une maison pour la vie.”

source

Le président russe Vladimir Poutine a signé un décret permettant aux résidents des régions ukrainiennes de Zaporizhzhya et de Kherson de demander la citoyenneté russe dans le cadre d'une procédure simplifiée. (source russe)
La même démarche avait été faite en République populaire de Lougansk (LPR) et (République populaire de Donetsk) DPR.
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Mardi 24 mai, Petro Andryushchenko, conseiller du maire de la ville, a déclaré qu’environ 200 corps auraient été retrouvés sous les décombres d’un édifice à Marioupol. Des cadavres qui n’auraient toujours pas été déplacés.
Aucune affirmation possible sur l'origine de ce massacre, mais les deux partis commencent déjà à s'accuser mutuellement: crime de guerre/mise en scène, Azov/Wagner ...etc

https://twitter.com/L_ThinkTank/status/1529507596318609408
l'article en question de CNN

ça c'est selon CNN.
Pour l'instant l’enquête est toujours en cours


Mort de Shireen Abu Akleh : où en est l'enquête ? • RFI

Ramzan Kadyrov, chef de la république tchétchène et premier ministre tchétchène, à la tête du partie Russie unie "L'Ukraine est déjà un sujet clos. Maintenant c'est la Pologne qui m'intéresse. Si on nous donne l'ordre, nous montrerons de quoi nous sommes capables en 6 secondes. Vous ferez mieux de reprendre vos armes et vos mercenaires !"

Le chef-adjoint de l'OTAN, Mircea Geoana, a déclaré que "l'OTAN a le droit de déployer ses forces en Europe orientale" et qu'avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, l'alliance n'est "plus tenue par ses anciens engagements envers Moscou".
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Un dirigeant annonce que l'Ossétie du Sud, une région séparatiste située en Géorgie, a décidé d'abandonner le référendum concernant l'adhésion à la Russie.
Alan Gagloev a invoqué "l'incertitude liée aux conséquences légales" d'une telle consultation, qui avait été décidée par son prédécesseur, Anatoli Bibilov, et qui devait se tenir le 17 juillet.
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La principale banque russe, Sberbank, a été exclue du réseau Swift.
Pour rappel, le rôle du réseau Swift est de servir de réseau par lequel les messages permettant d'initier les paiements internationaux sont échangés entre les banques.

En parallèle, l’Union européenne va réduire ses importations de pétrole russe de plus de 90% d’ici la fin de l’année (2/3 dans l'immédiat d'après le tweet de Charles Michel) en vertu des sanctions appliquées suite à l’invasion de l’Ukraine. Les 27 pays de l'UE ont réussi à se mettre d'accord sur un 6ème "package" de sanctions.
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Dans une interview pour TF1, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a tenté une comparaison avec la situation franco-belge (entre autre) pour justifier "l’opération militaire spéciale" de la Russie en Ukraine.
"Pour l’Occident, c’est semblable à ce qui est arrivé à la langue russe, à l’éducation russe, aux médias russes, qui ont été interdits par la loi. [...] Par exemple, comment la France réagirait-elle si la Belgique interdisait la langue française ? [...] Ou que ferait l’Angleterre si l’Irlande interdisait l’anglais ? En Europe, on ne peut pas imaginer cela. Mais quand il s’agit du russe, personne en Europe ne s’en soucie."

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Un ministre de la RPD a indiqué que les soldats d'Azov, qui se sont rendus après le siège d'Azovstal, seront jugés et risquent la peine de mort car "Azov est une organisation terroriste et de tels crimes sont passibles de la peine capitale".
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Point terrain.
Les forces russes ont continué à capturer progressivement des zones de Severodonetsk mais n'ont pas encore entièrement encerclé la ville... Les forces russes se sont concentrées sur le regroupement près d'Izyum pour renouveler les offensives vers Sloviansk et Barvinkove et n'ont mené que des attaques mineures, infructueuses. (source ISW: Institute for the Study of War)

Néanmoins, les russes avancent.
Péniblement mais ils avancent.
La question est de savoir à quel prix et surtout si ce coût en vaut la chandelle et s'il est reproductible à l'infini.
Parce que devoir envahir toute la zone de la Nouvelle-Russie (Donbass jusqu'à la Transnistrie) et ensuite l'occuper. ça va juste être très (trop?) compliqué.

À propos du journaliste de BFM tué par un obus lors d'un déplacement à bord d'un convoi humanitaire, réaction d'un officier des forces pro-russes :

"Nous n'excluons pas qu'il ait livré des armes et des munitions aux positions des forces armées. C'est pourquoi un sort si triste l'attendait. Je ne le qualifierais pas de journaliste puisque toutes ses activités étaient, probablement, d'un autre type. Il peut être qualifié de mercenaire étranger. On peut déclarer avec certitude qu'il était complice des forces d'extrême-droite ukrainiennes puisque nous avons observé quelle aide fournissaient ces volontaires. Ils livrent des munitions permettant de tuer des civils."

Encore un nazi génocidaire !

C'est fou ce niveau d'aveuglement darwinesque...

@Kilroy1

C'est une fuite en avant.
Ils ont besoin de ça pour garder la face, face à leur population.

3 mois de conflit en Ukraine en moins de 2 mn

Russia vs Ukraine - Battle map of 3 months of war in less than 2 minutes.

https://twitter.com/L_ThinkTank/status/1540323851699191808

article Franceinfo

c'était pour donner des nouvelles, peut être qu'il y en aura d'autres à ce sujet

Citation :

Voilà qui est fait...

https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/aux-etats-unis-le-droit-a-l-ivg-n-est-plus-garanti-treize-etats-l-interdisent-immediatement-11836152-f22c-11ec-a95f-884fbec18e50

13 États ont déjà interdit l'avortement avec effet immédiat, et apparemment au moins 13 autres suivront.

Ce qui veut dire que l'avortement ne sera bientôt plus un droit pour les femmes dans plus de la moitié des États américains.

Alors oui, elles pourront avorter dans un état qui tolère l'avortement, mais merde quand même !

Le sujet n'est plus trop "on fire" ici et ne m'y  intéressant que de très loin, je suis quand même surpris de ne pas avoir vu de posts d'indignation quant à la propagande mensongère révélée et avouée de Mme Lyudmila Denisova.

Sinon la justice nous autorise à dire que bhl a reçu 9 millions € de la part du Qatar pour faire la promotion de la guerre en Libye.

Citation :
Serais-tu en train de sous entendre que M. BHL est vénal?

@vivaberthaga ah bon!

@Milot Keuwa? Je ne me risquerais pas à de tels sous entendus, moi vulgaire populace face à cette substance purement métaphysique complètement détachée de nos basses préoccupations matérielles!!!