Invité | 0 #367 |
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FantômeInvité
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Dingo, j'aimerais que tu arrêtes de m'envoyer des messages que tout le monde comprend via koreus.
Ca commence à me mettre mal à l'aise. grand fou
Contribution le : 02/10/2008 19:33
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Invité | 0 #368 |
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FantômeInvité
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Citation :
tu crois qu'ils ont remarqué? (je t'aime...)
Contribution le : 02/10/2008 19:53
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Invité | 0 #369 |
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FantômeInvité
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Pour le soldat :
Roland Lebrun "L'adieu du soldat" Viens t'asseoir près de moi petite amie Dis-moi sincèrement que tu m'aimes Et promets-moi que tu n'seras L'amie de personne que moi Aujourd'hui parents et amis Je viens faire un dernier adieu Je dois quitter mon beau pays Pour traverser les grands flots bleus Là les canons allemands grondent Et les fusils sèment la mort Et pour protéger notre monde Il faut aller risquer la mort Vous, oh ma mère chérie Pardonnez-moi tout ce que j'ai fait Mon père, mes frères, sœurs et amis Gardez le souvenir de moi J'ai vécu parmi vous ici Le plus beau séjour mes amis Et si Dieu me garde la vie Je reverrai mon beau pays Adieu ma chère petite amie Je pars pour un lointain séjour Adieu je ne reviendrai plus Au pays où j'ai connu l'amour
Contribution le : 06/10/2008 20:33
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Loic02 | 0 #370 |
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Je suis accro
Inscrit: 05/06/2005 15:32
Post(s): 1539
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Pareil, dédicace pour le soldat:
Boris Vian "Le déserteur" Monsieur le Président Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher Il faut que je vous dise Ma décision est prise Je m'en vais déserter Depuis que je suis né J'ai vu mourir mon père J'ai vu partir mes frères Et pleurer mes enfants Ma mère a tant souffert Elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j'étais prisonnier On m'a volé ma femme On m'a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes J'irai sur les chemins Je mendierai ma vie Sur les routes de France De Bretagne en Provence Et je dirai aux gens: Refusez d'obéir Refusez de la faire N'allez pas à la guerre Refusez de partir S'il faut donner son sang Allez donner le vôtre Vous êtes bon apôtre Monsieur le Président Si vous me poursuivez Prévenez vos gendarmes Que je n'aurai pas d'armes Et qu'ils pourront tirer
Contribution le : 06/10/2008 21:34
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AnGel8 | 0 #371 |
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J'aime glander ici
Inscrit: 06/06/2007 17:01
Post(s): 5934
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Dedicace à Boris Vian : Peut mieux faire !
Voyez la version de Renaud: Monsieur le président Je vous fais une bafouille Que vous lirez sûrement Si vous avez des couilles Je viens de recevoir Un coup d'fil de mes vieux Pour m'prévenir qu'les gemdarmes S'étaient pointés chez eux J'ose pas imaginer C'que leur a dit mon père Lui, les flics, les curés Et pis les militaires Les a vraiment dans l'nez P't-être encore plus que moi Dès qu'il peut en bouffer L'vieil anar' y s'gêne pas L'vieil anar' y s'gêne pas Alors y parait qu'on m'cherche Qu'la France a besoin d'moi C'est con, j'suis en Ardèche Y fait beau, tu crois pas J'suis là avec des potes Des écolos marrants On a une vieille bicoque On la retappe tranquillement On fait pousser des chèvres On fabrique des bijoux On peut pas dire qu'on s'crève L'travail, c'est pas pour nous On a des plantations Pas énormes, trois hectares D'une herbe qui rend moins con Non, c'est pas du ricard Non, c'est pas du ricard Monsieur le président Je suis un déserteur De ton armée de glands De ton troupeau d'branleurs Ils auront pas ma peau Toucheront pas à mes cheveux J'saluerai pas l'drapeau J'marcherai pas comme les bœufs J'irai pas en Allemagne Faire le con pendant douze mois Dans une caserne infame Avec des plus cons qu'moi J'aime pas recevoir des ordres J'aime pas me lever tôt J'aime pas étrangler le borgne Plus souvent qu'il ne faut Plus souvent qu'il ne faut Puis surtout c'qui m'déplait C'est que j'aime pas la guerre Et qui c'est qui la fait Ben c'est les militaires Ils sont nuls, ils sont moches Et pis ils sont teigneux Maintenant j'vais t'dire pourquoi J'veux jamais être comme eux Quand les Russes, les Ricains Feront péter la planete Moi, j'aurais l'air malin Avec ma bicyclette Mon pantalon trop court Mon fusil, mon calot Ma ration d'topinambour Et ma ligne Maginot Et ma ligne Maginot Alors me gonfle pas Ni moi, ni tous mes potes Je serai jamais soldat J'aime pas les bruits de bottes T'as plus qu'a pas t'en faire Et construire tranquilos Tes centrales nucléaire Tes sous-marins craignos Mais va pas t'imaginer Monsieur le président Que j'suis manipulé Par les rouges ou les blancs Je n'suis qu'un militant Du parti des oiseaux Des baleines, des enfants De la terre et de l'eau De la terre et de l'eau Monsieur le président Pour finir ma bafouille J'voulais t'dire simplement Ce soir on fait des nouilles A la ferme c'est l'panard Si tu veux, viens bouffer On fumera un pétard Et on pourra causer On fumera un pétard Et on pourra causer
Contribution le : 07/10/2008 21:49
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A god with man hands. Je m'appelle chop money eh eh |
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Invité | 0 #372 |
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FantômeInvité
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Bin y va aller loin not' militaire si vous commencez à lui foutre des idées de désertion dans la tête alors qu'il à pas commencé! ^^
Contribution le : 08/10/2008 14:31
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Invité | 0 #373 |
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FantômeInvité
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Dans la foulée... Et comme c'est pour la bonne cause.
Jacques Brel Au suivant Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne J'avais le rouge au front et le savon à la main Au suivant, au suivant J'avais juste vingt ans et nous étions cent vingt A être le suivant de celui qu'on suivait Au suivant, au suivant J'avais juste vingt ans et je me déniaisais Au bordel ambulant d'une armée en campagne Au suivant, au suivant Moi j'aurais bien aimé un peu plus de tendresse Ou alors un sourire ou bien avoir le temps Mais au suivant, au suivant Ce n'fut pas Waterloo mais ce n'fut pas Arcole Ce fut l'heure où l'on r'grette d'avoir manqué l'école Au suivant, au suivant Mais je jure que d'entendre cet adjudant d'mes fesses C'est des coups à vous faire des armées d'impuissants Au suivant, au suivant Je jure sur la tête de ma première vérole Que cette voix depuis je l'entends tout le temps Au suivant, au suivant Cette voix qui sentait l'ail et le mauvais alcool C'est la voix des nations et c'est la voix du sang Au suivant, au suivant Et depuis chaque femme à l'heure de succomber Entre mes bras trop maigres semble me murmurer : "Au suivant, au suivant" Tous les suivants du monde devraient s'donner la main Voilà ce que la nuit je crie dans mon délire Au suivant, au suivant Et quand je n'délire pas, j'en arrive à me dire Qu'il est plus humiliant d'être suivi que suivant Au suivant, au suivant Un jour je m'f'rai cul-de-jatte ou bonne sœur ou pendu Enfin un d'ces machins où je n's'rai jamais plus Le suivant, le suivant
Contribution le : 08/10/2008 15:02
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Daemonelame | 0 #374 |
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Je m'installe
Inscrit: 10/09/2007 22:36
Post(s): 456
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Trust - Antisocial
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale, Tu masques ton visage en lisant ton journal, Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro. Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas. Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle. Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles. Tu voudrais donner des yeux à la justice Impossible de violer cette femme pleine de vices. Antisocial, tu perds ton sang-froid. Repense à toutes ces années de service. Antisocial, bientôt les années de sévices, Enfin, le temps perdu qu'on ne rattrape plus. Ecraser les gens est devenu ton passe-temps. En les éclaboussant, tu deviens gênant. Dans ton désespoir, il reste un peu d'espoir Celui de voir les gens sans fard et moins bâtards. Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings, Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite Relève la gueule, je suis là, t'es pas seul Ceux qui hier t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient. Antisocial, tu perds ton sang-froid. Repense à toutes ces années de service. Antisocial, bientôt les années de sévices, Enfin, le temps perdu qu'on ne rattrape plus. Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale, Tu masques ton visage en lisant ton journal, Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro. Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas. Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle. Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles. Tu voudrais donner des yeux à la justice Impossible de violer cette femme pleine de vices. Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial...
Contribution le : 11/10/2008 19:41
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Invité | 0 #375 |
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FantômeInvité
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Sans peur,
Je regarde Ton ventre brûlant Et dans ton regard Je vois que la peur Ferait sale maintenant... J'avais tort, J'avais soif, J'étais comme toi un oiseau au sang froid... J'étais en trop Tout en haut Du grand chapiteau Si haut, si haut Que je jouais ma peau Le cœur ouvert dansant sans filet Sur une corde que tu me tendais Le cœur ouvert je tombais Le cœur ouvert je tombais... Maintenant, sans peur Je regarde bien Ton ventre brûlant Et dans ton regard Je vois que la peur Ferais sale maintenant Le cœur ouvert dansant sans filet Sur une corde que tu me tendais Le cœur ouvert je tombais Le cœur ouvert je tombais... Le cœur ouvert sur un banc La chemise arrachée, je chantais Pour que seule tu saches mon passé Tout seul je chantais, Je chantais... Sans peur Je regarde bien Ton ventre brûlant Et dans ton regard Je vois que la peur Ferait sale maintenant...
Contribution le : 12/10/2008 20:10
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Invité | 0 #376 |
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FantômeInvité
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MA Mère (daniel helin)
Ma mère, ma mère, pourquoi m'as tu pondu J'étais comme un prince dans ton ventre pansu J'ai eu ton cul comme dernière porte Et maintenant il faut que je m'en sorte Ma mère, ma mère, je n'ai pas demandé De me sentir coupable d'avoir une Lada Samara D'avoir le JT à 19h30 De voir des hommes devenir de la viande Ma mère, ma mère, je regarde le monde O tout ces moutons qui attendent qu'on les tonde Tu m'as dit d'être fier d'avoir des couilles J'aurais tant voulu être un petit lapin, une grenouille Ma mère, ma mère, ne me demande pas De repeupler la terre avec mes petits gars De recouvrir le globe avec des futurs tarés De ta famille, je crois que je suis le dernier Alors, alors, pardonne-moi donc De me réfugier dans la masturbation Ou dans la baise en capotes et pilules J'en suis fier, je ne tue que quand j'éjacule Juste vachement bien
Contribution le : 17/10/2008 21:13
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-itz- | 0 #377 |
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Je masterise !
Inscrit: 29/10/2006 19:57
Post(s): 2404
Karma: 83 |
Ultra vomit
Croute de pus: meuuup croute de pus prout de cul j'ai mangé des crottes de cul croute de pus prout de cul j'ai mangé des crottes de cul aaaaaah j'ai mangé des crottes de cul aaaaaah j'ai mangé des crottes de cul ! "Ouais bein en tout cas avec ça, on pourra plus nous comparer avec gronibar !" "Exact !" et Poil de cul: poil de cul ! poil du cul ! poil poil poil poil poil poil poil poil de cul poil poil poil poil poil poil poil poil de cul poil poil poil poil poil poil poil poil de cul poiiiiiiiiil de cuuuuuuuuuul poiiiiiiiiil de cuuuuuuuuuul POIL POIL POIL POIL POIL POIL poil poil poil poil poil poil POIL POIL POIL POIL POIL POIL poil poil poil poil poil poil POIL POIL POIL POIL POIL POIL poil poil poil poil poil poil de cuuuuul ! de cuuuuul ! de cuuuuul ! POIL POIL POIL POIL POIL POIL Avec en Prime un petit live :http://www.youtube.com/watch?v=1-0aqStcBoc
Contribution le : 05/11/2008 14:57
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Invité | 0 #378 |
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FantômeInvité
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She
May be the face I can't forget. A trace of pleasure or regret May be my treasure or the price I have to pay. She may be the song that summer sings. May be the chill that autumn brings. May be a hundred different things Within the measure of a day. She May be the beauty or the beast. May be the famine or the feast. May turn each day into a heaven or a hell. She may be the mirror of my dreams. A smile reflected in a stream She may not be what she may seem Inside her shell She who always seems so happy in a crowd. Whose eyes can be so private and so proud No one's allowed to see them when they cry. She may be the love that cannot hope to last May come to me from shadows of the past. That I'll remember till the day I die She May be the reason I survive The why and wherefore I'm alive The one I'll care for through the rough and ready years Me I'll take her laughter and her tears And make them all my souvenirs For where she goes I've got to be The meaning of my life is She, she, she
Contribution le : 20/11/2008 19:32
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Invité | 0 #379 |
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FantômeInvité
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[Compte supprimé]
Contribution le : 26/11/2008 13:32
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vanfredolina | 0 #380 |
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J'aime glander ici
Inscrit: 31/05/2005 23:43
Post(s): 5564
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Une chanson patriotique de 1915, avec en bonus l'intprétation de Desproges
Ma ptite mitrailleuse À la guerre On n'peut guère Trouver où placer son cœur Et j'avais du vague à l'âme De vivre ainsi sans p'tit' femme Quand l'aut' semaine J'eus la veine D'être nommé mitrailleur Ma mitrailleuse, ô bonheur Devint pour moi , l'âme soeur...» Refrain Quand ell' chante à sa manière Taratata, taratata, taratatère Ah que son refrain m'enchante C'est comme un z-oiseau qui chante Je l'appell' la Glorieuse Ma p'tit' Mimi, ma p'tit' Mimi, ma mitrailleuse Rosalie me fait les doux yeux Mais c'est ell' que j'aim' le mieux. Plein d'adresse Je la graisse Je l'astique et la polis De sa culasse jolie À sa p'tit' gueu-gueul' chérie Puis habile J'la défile Et tendrement je luis dis Jusqu'au bout, restons unis Pour le salut du pays. Quand ell' chante à sa manière Taratata, taratata, taratatère Ah que son refrain m'enchante C'est comme un z-oiseau qui chante Je l'appell' la Glorieuse Ma p'tit' Mimi, ma p'tit' Mimi, ma mitrailleuse Rosalie me fait les doux yeux Mais c'est ell' que j'aim' le mieux. Quand les Boches Nous approchent Nous commençons le concert Après un bon démarrage Nous précipitons le fauchage Comm' des mouches Je vous couche Tous les soldats du kaiser Le nez dans nos fils de fer Ou les quatre fers en l'air.» Quand ell' chante à sa manière Taratata, taratata, taratatère Ah que son refrain m'enchante C'est comme un z-oiseau qui chante Je l'appell' la Glorieuse Ma p'tit' Mimi, ma p'tit' Mimi, ma mitrailleuse Rosalie me fait les doux yeux Mais c'est ell' que j'aim' le mieux. Mais tout passe Et tout lasse Mêm' la guerre et l'un d'ces jours Ou bien l'un' de ces années Elle sera terminée Alors vite l'on se quitte Glorieuse ô mes amours Nous devrons à notre tour Nous séparer pour toujours.» Après un' salve dernière Taratata, taratata, taratatère En te voyant rendormie Je te dirai : "Chère amie Fais dodo ma Glorieuse Ma p'tit' Mimi, ma p'tit' Mimi, ma mitrailleuse Et tes pleurs mouilleront mes yeux En te faisant mes adieux.»
Contribution le : 26/11/2008 13:39
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nanougua | 0 #381 |
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Je masterise !
Inscrit: 10/12/2005 20:33
Post(s): 2855
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Now in vienna there's ten pretty women
There's a shoulder where death comes to cry There's a lobby with nine hundred windows There's a tree where the doves go to die There's a piece that was torn from the morning And it hangs in the gallery of frost Ay, ay, ay, ay Take this waltz, take this waltz Take this waltz with the clamp on its jaws Oh I want you, I want you, I want you On a chair with a dead magazine In the cave at the tip of the lily In some hallways where love's never been On a bed where the moon has been sweating In a cry filled with footsteps and sand Ay, ay, ay, ay Take this waltz, take this waltz Take its broken waist in your hand This waltz, this waltz, this waltz, this waltz With its very own breath of brandy and death Dragging its tail in the sea There's a concert hall in vienna Where your mouth had a thousand reviews There's a bar where the boys have stopped talking They've been sentenced to death by the blues Ah, but who is it climbs to your picture With a garland of freshly cut tears? Ay, ay, ay, ay Take this waltz, take this waltz Take this waltz it's been dying for years There's an attic where children are playing Where I've got to lie down with you soon In a dream of hungarian lanterns In the mist of some sweet afternoon And I'll see what you've chained to your sorrow All your sheep and your lilies of snow Ay, ay, ay, ay Take this waltz, take this waltz With its I'll never forget you, you know! This waltz, this waltz, this waltz, this waltz ... And I'll dance with you in vienna I'll be wearing a rivers disguise The hyacinth wild on my shoulder, My mouth on the dew of your thighs And I'll bury my soul in a scrapbook, With the photographs there, and the moss And I'll yield to the flood of your beauty My cheap violin and my cross And you'll carry me down on your dancing To the pools that you lift on your wrist Oh my love, oh my love Take this waltz, take this waltz It's yours now. it's all that there is.
Contribution le : 04/12/2008 16:24
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Invité | 0 #382 |
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FantômeInvité
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Spéciale dédicace rien qu'à moi et à tous les cyclistes du site comme bora.
Quand on partait de bon matin Quand on partait sur les chemins A bicyclette Nous étions quelques bons copains Y avait Fernand y avait Firmin Y avait Francis et Sébastien Et puis Paulette On était tous amoureux d'elle On se sentait pousser des ailes A bicyclette Sur les petits chemins de terre On a souvent vécu l'enfer Pour ne pas mettre pied à terre Devant Paulette Faut dire qu'elle y mettait du cœur C'était la fille du facteur A bicyclette Et depuis qu'elle avait huit ans Elle avait fait en le suivant Tous les chemins environnants A bicyclette Quand on approchait la rivière On déposait dans les fougères Nos bicyclettes Puis on se roulait dans les champs Faisant naître un bouquet changeant De sauterelles, de papillons Et de rainettes Quand le soleil à l'horizon Profilait sur tous les buissons Nos silhouettes On revenait fourbus contents Le cœur un peu vague pourtant De n'être pas seul un instant Avec Paulette Prendre furtivement sa main Oublier un peu les copains La bicyclette On se disait c'est pour demain J'oserai, j'oserai demain Quand on ira sur les chemins A bicyclette
Contribution le : 07/12/2008 21:27
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angetocard | 0 #383 |
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Je poste trop
Inscrit: 27/06/2006 14:20
Post(s): 20717
Karma: 89 |
Bee Gees - Staying alive
Contribution le : 14/12/2008 13:04
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joel18 | 0 #384 |
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Je masterise !
Inscrit: 23/04/2007 20:11
Post(s): 3510
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Tu es le genre de femme qui me plait
Et lorsque je t'ai rencontrée, tu te méfiais grave de moi Je me suis battu pour te mettre en confiance Pour qu'en ma présence tu te lâche J'ai sorti le grand jeu pour te faire kiffer Je voulais te plaire autant que tu m'plais Je voulais te faire rêver J'ai fais comme si j'étais le mec parfait pour te séduire Sans pitié j'ai mis toutes les armes de mon côté Tu as des formes si belles et si sauvages Face a elle faudrait mettre tous les hommes en cage Je crois que j'ai sorti toutes les phrases de mon lexique Et je perd la raison tant tu m'excites REFRAIN J'avoue que j'ai déconné alors que toi t'étais trop bien J'ai insisté je me suis incrusté dans ton quotidien J'ai tchatché comme le diable je te suivais comme un chien Je ne t'ai pas dis que dans ma vie j'avais déja quequ'un Ta beauté est si redoutable, tu es formidable Moi jsuis misérable, si faible et naze Je suis coupable maintenant je pète un cable Maintenant que je souffre à mon tour, je pèse le mal En ma faveur le temps a joué Mon travail a payé, la confiance s'est installée Mes efforts n'ont pas été vains Ton regard a changé, tu es mis à t'lâcher Tu as géré ta vie en fonction de la mienne Puis est venu le fameux jour ou tu m'as dit que tu m'aimes C'était le début des problèmes Car c'est à ce moment que nous les mecs ont péfli Tout le monde me connaît dans ton entourage Je t'appréciais, mais ailleurs j'étais déjà engagé J'ai mis un terme a notre histoire Mais j'ai gardé l'image de ces larmes dans tes yeux REFRAIN La roue a tourné, les gens ont parlé et ma femme m'a quitté Maintenant je suis seul Tu disais que tu m'aimais c'est le moment de le prouver Bébé recommençons sur de bonnes bases Ne me sort pas de grandes phrases Maintenant que je suis seul Je t'en suplie, mon bébé arrête tes phrases et viens Regarde-moi, ne me déteste pas, laisse-moi revenir, j'ai tellement mal, embrasse-moi et rapelle-toi(X2)
Contribution le : 14/12/2008 20:15
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joel18 | 0 #385 |
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Je masterise !
Inscrit: 23/04/2007 20:11
Post(s): 3510
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[Ali]
7/03, reunoi j'ai reçu ta lettre du 25/02 Dehors toujours la même merde, les stups et les ragots à rôder. Des gars d'confiance me disent connaître la poucave, Un ancien pote avec qui on aurait rappé Bref, on verra après. Mounir m'a appris Qu'tu partageais la cellule avec son frère, Passe-lui la paix. Trahi par la raison quand elle manquait à l'appel. Trompé par les juges qui de nos vies n'ont jamais rien compris. Trempé dans la prison pour les années qu'elle vous a pris. Berné par la folie et sa présence, Tout est écrit De la naissance et son cri Jusqu'au linceul et son silence. Frérot, Mes mots suffiront pas à scier tes barreaux, Mais à renforcer ta patience Faut en faire de l'acier. Touré A de bonnes nouvelles, y s'pourrait Que Mala quitte Nanterre à la fin du mois. Louange à Celui qui fait avancer. Faut penser A éviter L'mitard, Qu'on voit nos têtes à la prochaine visite, Comment Booba qu'on dise à plus tard. [Booba] 18 août 98, dans cette putain d'maison d'arrêt Ils m'disent que j'sors bientôt, à c'qui paraît J'suis pas Snoop j'rappe ils s'en foutent, tu sais c'qui m'ont dit ? Faut qu'j'travaille pour qu'la pute me donne la condi. Khami la sère-mi comme passer les fêtes au tard-mi, J'gamberge et sans mon zoula, impossible de dormir. Écoute Ali, ça va bientôt s'arranger enfin j'crois J'tourne avec deux, trois gars du 9. 3 Chez nos ennemis y a plus de monde y m'envoient pas de mandat Pourquoi j'écris des textes de ouf y s'demandent ? Au fait, paraît qu'l'industrie du disque a saignée Et qu'les négros arrêtent pas d'signer J'ai vu les autres au parloir, paraît qu'ça papote bien sûr, Toujours les mêmes putes ça sent la douille, ma couille. Maintenant j'me tiens à carreau, parc'qu'au mitard ça sent la civière Et j'rêve de baiser l'infirmière, Négro ! J'suis tombé si bas, qu'pour en parler faudrait qu'j'me fasse mal au dos Putain quelle rime de bâtard ! Bref, quand j'sors ramène-moi une p'tite pute, bête sans but, J'la ferai crier du bout d'ma longue bite Quand on va kick ça va être tragique Panique à la clinique, magique, c'est du 11'43 ma zique Sinon dans ma cellule, j'fais des pompes, j'écris des textes, j'taffe Et sur les murs j'ai des photos de tasses Et le maton m'guette, porte-clefs à perpétuité Si, si, leurs mamans sont des prostituées Maintenant j'sais j'peux compter sur qui Merci d'ton aide, j'vais survivre c'est pas l'bled ou la Turquie. La taule c'est la pression, nourrit l'instinct d'révolution Donc nique sa mère la réinsertion Y savent pas si j'aurais dû naître, Qu'ils aillent s'faire baiser, Moi j'veux devenir c'que j'aurais dû être. Encore des semaines en solo, baise la FM seul Tous comme des hyènes en chien d'chiennes Derrière des chaînes. C'est cheum qu'on en arrive là ; Pour qu'j'oublie viens samedi qu'on reparle de cette vie-là Dis bien aux dirigeants, et à leurs mômes Qu'on a les mains chromées, yeux verts dollars gun pour pas qu'les flics chôment Clique Technique de barbare, sse-lai J'harcèle la juge, bientôt j'arrache les barbelés On a du boulot J'suis en manque de boul et d'goulot Hé tonton ! J'te f'rais goûter les pâtes au thon On veut le roro Seulement si Dieu veut on l'aura Pour l'instant j'déchire mes draps pour faire des yoyos. Salut les man l'ami, Paix à ton âme, la vie Continue envoie d'la fraîche que j'cantine.
Contribution le : 02/02/2009 19:29
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Undead | 0 #386 |
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Je poste trop
Inscrit: 05/10/2007 21:54
Post(s): 12889
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Hey amigos . . .
Adelante amigos . . . Vamos vamos mi amor Me gusta mucho tu sabor No no no no tu corazón Mucho mucho tu limón Dame de tu fruta Vamos mi amor . . . Te quiero puta! Te quiero puta! Ay que rico Ay que rico un dos tres Sí te deseo otra vez Pero no no no tu corazón Más más más de tu limón Querido Dame de tu fruta Dame de tu fruta Vamos mi amor . . . Te quiero puta! Te quiero puta! Ay que rico Entre tus piernas voy a llorar Feliz y triste voy a estar Feliz y triste voy a estar Más más más por favor Más más más sí sí señor Más más más por favor Más más más sí sí señor No me tengas miedo No te voy a comer Más más más por favor Más más más sí sí señor Sí sí señor Te quiero puta! Te quiero puta! Dámelo dámelo Te quiero puta! Un peu de poésie et d'amour dans ce monde de brute bordel
Contribution le : 02/02/2009 20:23
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