Féminisme, tout reste à faire (doc arte)

@alvein a écrit:
Qu'est-ce qu'elles veulent de plus dans la loi? ah eeuhheuh mon salaire, heeuhh trop bas quoi heuh.... j'ai l'impression qu'on me mansplain dans le magasin électroménager.. heeuh... on m'a dit que architecte c'était un métier d'homme, hmmm...
Je suis sûr que si tu interrogeais 100 féministes sur ce qu'elles veulent, elles viendraient toutes avec des problèmes et souhaits personnels qui se contradisent les uns et les autres.

Afin de lutter contre les violences sexistes et sexuelles » dans l’enseignement supérieur, nous relançons aujourd’hui notre campagne de prévention et de sensibilisation aux violences étudiantes #NeRestePasSeule. Il n’est plus possible d’ignorer ces violences auxquelles sont confrontées les étudiantes de notre pays, elles constituent une discrimination intolérable, qui influe directement sur les vies et les carrières de ces jeunes femmes.

L’autonomie professionnelle des femmes, une des clés de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la liberté des femmes
Parce que l’autonomie professionnelle est au cœur de l’indépendance des femmes, les CIDFF ont développé des services emploi qui accompagnent les femmes dans le cadre d’un projet professionnel, de questions autour de l’emploi, de l’insertion professionnelle ou sur leurs compétences.

Éduquer à l'égalité : un enjeu majeur
Construire une société qui favorise l’égalité entre filles et garçons et permette de prévenir les comportements sexistes et violents. Permettre aux jeunes d'accéder à une orientation scolaire et professionnelle diversifiée. Promouvoir l’histoire des droits des femmes et lutter contre les discriminations sexistes.

Pour une parentalité responsable et partagée
Les CIDFF travaillent à la promotion de l’égalité des rôles parentaux au sein des familles, notamment par des actions encourageant les pères à s’impliquer davantage auprès de leurs enfants. Certains CIDFF proposent des permanences de médiation familiale et ou de consultations de conseil conjugal et familial.

Masculinisme (idéologie) wiki.

...
dans un autre contexte, il est l'idéologie de la domination masculine sur les femmes. Le masculinisme dans ce dernier sens s'oppose au féminisme, considère que la notion de patriarcat n'existe pas et que les femmes ont gagné au détriment des hommes, suivant un discours antiféministe réactionnaire
...

-Pourquoi tes rentrée si tôt ?
-Max n'aime pas quand je suis au bar. Il m'a envoyé une 20taine de messages pour rentrer

@alvein a écrit:

- en scrollant à la fin, j'ai pu lire
Citation :

-Pourquoi tes rentrée si tôt ?
-Max n'aime pas quand je suis au bar. Il m'a envoyé une 20taine de messages pour rentrer

Eh beh... C'est ça les ennuis sexistes qui préocuppent d'aujourd'hui... Ou comment revendiquer le droit d'aller fréquenter des endroits craignosses et faire passer son copain pour un lourdeau.

Et après on vient me dire que je fais des fixations sur les caricatures.

@Davidbachu a écrit:
Je classe la théorie du sexisme systémique dans la même catégorie que celle du Grand Remplacement : un concept qui repose sur une impresssion visuelle, un ressenti, "c'est factuel, c'est évident", mais avec des éléments factuels de preuve qui ne suivent pas.

Le problème du patriarcat, au sens des néoféministes ("système social d'oppression des femmes par les hommes").

C'est un peu comme la théorie du grand remplacement :

- c'est basé sur un préjugé => les hommes / les étrangers ont des intentions de domination sur les femmes / les occidentaux.
- c'est renforcé par le biais de confirmation => on a entendu tel homme / tel imam tenir tel propos.
- on n'arrive pas à faire de démonstration convaincante à base de statistiques ou  faits irréfutables.
- au final on creuse un fossé d'animosité-suspicion entre les sexes/peuples, par le renforcement des préjugés négatifs chez ceux qui y croient.

@Davidbachu a écrit:
Dans l'absolu, je suis prêt à reconnaître toute théorie du moment que l'on la soutient par des faits concrets. Or, je classe la théorie du sexisme systémique dans la même catégorie que celle du Grand Remplacement : un concept qui repose sur une impresssion visuelle, un ressenti, "c'est factuel, c'est évident", mais avec des éléments factuels de preuve qui ne suivent pas.