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Ledjo
 0  #441
Je masterise !
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J'ai deux écrans donc ouais je pourrais lire ce que tu dis pendant que le jeu est lancé!

Contribution le : 09/09/2013 15:13
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Dakitess
 0  #442
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Vu qu'il faudra que j'écrive, tu verras de toutes façon à l'écran... A moins qu'on ne puisse choisir d'afficher qu'une fenêtre active, celle du jeu ? Ce serait classe 😮 Mon Skype ne viendrait pas t'emmerder ^^

Tu me dis quand as une dispo ? Ce soir peut être ?

Contribution le : 09/09/2013 15:21
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Ledjo
 0  #443
Je masterise !
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Ce soir je suis en répé

Contribution le : 09/09/2013 17:51
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Dakitess
 0  #444
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Ca marche, tu me diras ^^ (je suis libre maintenant, si jamais :p)

Contribution le : 09/09/2013 18:24
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Dakitess
 0  #445
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Vous avez 10-15 minutes ? Ce dernier trajet (probablement) envoie plutôt du lourd ^^ J'espère du moins...

Il s'agit de compléter la base au sol sur Duna, naturellement, et j'avais pour cela prévu un dernier trajet avec tout le nécessaire. Or mon Portique à décidé une seconde fois de disparaître sans raison, et malgré la réduction drastique de mon Middle Carrier, l'ensemble orbital dépassait les capacités de mon PC. Je pensais abandonner, mais j'avais dans le même temps non espoir que les procos du bahut sache tenir la cadence pour cela, ce qui globalement été le cas, ouf ! Nous revoici donc, suite au docking des 3 parties du gros bloc habitation modulaire.

Dans un premier temps, la DC à choisit d'utiliser la moitié du Middle Carrier, comme précédemment, et une propulsion triple pour une rapidité de voyage accrue. Naturellement, malgré ces concessions sur l'efficacité, le retour reste tout à fait possible à vide, il ne sera pas dit que la DC ne renouvelle pas son matériel. Ensuite, deux dérivations ont été mises en place afin d'accueillir désormais 3 colonnes par docking large... De quoi emporter aisément 100 tonnes de matériel utile, si bien réparti. Deux boosters de sortie ont été adjoints, tout deux basés sur une propulsion Aerospike et contenant tout juste de quoi s'extraire jusqu'à Mun, laquelle permet une catapulte gravitationnelle avantageuse, comme il en est désormais l'usage.

Dernier Trajet : Habitation + Grappes Kerbalienne


Premier envoi (x2) : Habitation - lateral

Les deux premiers envois sont constitué chacun d'un module d'habitation latéral, déjà présenté dans nos colonnes, et qui peut contenir nous le rappelons, jusqu'à 12 kerbals à lui seul, tout en jouissant d'un confort d'atterrissage autonome et d'une alimentation électrique pérenne.



Comme précedemment, aucun kerbal n'est admis pendant la phase de décollage et d'atterrissage au sein de ces modules, même si les deux précédentes sont parvenus à bon port sans la moindre accroche. Les systèmes de survit y manquent cruellement à l'appelle, tout autant que les renforcement sécuritaire nécessaire en cas d'impact. Pour le moment au sol, seul 7 kerbonautes sont présents, une équipe bien trop réduite pour les travaux de recherches sur place. Le bloc habitation permet d'accueillir, une fois finalisé, jusqu'à 56 kerbonautes à raison de 4 par unité, mais nous garantissons à nos vaillant aventurier un vaste espace de confort et d'intimité. Les plans prévoient de fusionner 2 des 4 ailes latérales du bloc habitation, pour ainsi fournir 2 logement spacieux, capable d'abriter 8 kerbonautes chacun. Cela permet d'entretenir et de favoriser le contact social, déterminant pour le moral. les deux autres ailes ainsi que la colonne centrale restent scindées en 3 unités chacune, accueillant 1 recrue à la fois. Les tours sont organisés, pour alterner communautarisme et intimité.

Les deux ailes sont dockées sur les deux emplacement spécifiquement aménagés pour ce trajet.

Second envoi : Grappe Kerbalienne

C'est pourquoi il a été décidé d'envoyer 16 nouvelles recrues pour fouler le sol Dunien. Au total, nous disposeront ainsi sur cette colonie de 23 kerbonautes, de quoi maintenir une communauté digne de ce nom, capable d'entraide, d'initiative et vecteur d'espoir pour l'avenir (c'est beau, snif'). Dans l'état, une place vacante reste libre, sous la serre d'ensoleillement au sommet du bloc.





Par mesure de sécurité, le décollage et l'atterrisage se fait donc via des nacelles à usage unique, contenant chacune 1 kerbonaute. L'acheminement au sol est garanti via propulseur de désorbitation puis les parachutes prennent le relais. Pendant le trajet, l'équipage est placé dans les modules d'habitation, à raison de 8 par aile. Un confort relatif, néanmoins loin au devant des standards habituels !

Cette colonne nommée "Grappe" vient se placer au centre des deux ailes d'habitation.

Nous sommes désormais parés à quitter l'orbite de Kerbin, pour ce dernier voyage vers Duna !







Comme d'hab, on passe frôler Mun pour acquérir suffisamment de vitesse sans dépenser davantage qu'une injection de 750 m/s. Les Booster de sortie fonctionnent à merveille, et une fois l'injection terminée, le fuel restant est transvasé au sein des réservoirs alimentant les triplettes de nucléaires, afin de ne pas emmener de débris en orbite Kerbolienne.



On sépare simultanément les deux ailes d'habitations...



... Que l'on docke soigneusement entre elles pour disposer d'un ensemble unique, à désorbiter en une seule fois. Le gain est à la fois en terme de temps mais également de précisions, puisque toute les manoeuvres seront effectuées pour les deux à la fois, aboutissant à une séparation au sol de quelques dizaines de mètre tout au plus.



Peu avant l'ouverture des parachutes, les propulseurs sont largués et la colonne est soigneusement scindée en son milieu.





Les deux ailes atterrissent en douceur à mi-chemin entre la zone des premiers atterrissages et le bloc habitation en construction (séparé faut de framerate, vous vous souvenez ? :s), largement à portée du Portique, bien évidemment. Le rover-drone se charge d'évaluer l'état du matériel, et renvoi ses informations au poste de pilotage depuis lequel le Portique sera contrôlé.







Enfin le bloc peut être finalisé, sans la moindre embûche. L'un des ingénieurs en place aurait formulé "Faut avouer que ça a de la gueule, ma chambre sera juste deux fois plus grandes que mon T9 actuel sur Kerbin, la DC fait les choses bien quand même". Certifié sans remaniement ni censure 😵







Place alors au déploiement des 16 capsules d'atterrissages. A quelques 20000m d’altitude, le mécanisme est déclenché et les charges explosives associées au séptratrons se chargent d'écarter la structure de la colonne, tout en rendant indépendante chacune des capsules. Il parait que ça secoue pas mal, mais la configuration avait été longuement élaborée et testée dans l'atmosphère de Kerbin, à vide bien entendu. Aucun dégât à déplorer, et les capsules forment l'arrivée une ligne compacte, précisément conforme à nos attentes.

Voilà pour ce soir ^^ La flemme de les faire sortir tous un par un et poser devant le bloc Habs, même si j'y viendrait pour avoir un put*** de fond d'écran xD

Contribution le : 10/09/2013 23:02

Edité par Dakitess sur 16/9/2013 15:50:09
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Dakitess
 0  #446
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Ca vous aura pas passionné, cette fin de mission 😵

Contribution le : 16/09/2013 15:48
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Dakitess
 0  #447
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Mouarf vous abandonnez KSP ? :s

Petit challenge de la fusée Munaire la plus légère, permettant d'amener 1 kerbal dans son pod noir, doté de pieds d'atterrissage, et bien évidemment capable du retour. Les moteurs atmosphériques sont interdits.

Je suis tombé à 33.71 tonnes !

Minimun 3 :



Naturellement, on retrouve des configurations déjà vues... Aerospike oblige ^^ Mais le moins possible. Un premier Booster central associé aux deux parallèles permet d'atteindre 100 m/s assez rapidement, puis découplage. La montée en vitesse se fait progressive, pour n'atteindre 200 m/s qu'aux abords des 9500. Cela a pour conséquence un profil de vitesse intéressant, au regard des frottements atmosphériques, souvent source d'une importante perte 😉

Deux réservoirs sans propulseurs sont découplés, l'enfin prend très rapidement de la vitesse. Nous aboutissons au système disposant d'un réservoir central et d'un petit propulseur très efficace pour les petits gabarits dans le vide, avec deux mince réservoirs latéraux à découpler. L'ajout de masse des séparateurs en vaut la chandelle 🙂



Injection en ligne droite vers Mun (partir quand Mun est en vue, juste au dessus du VAB, lors du lancement ! ^^) puis freinage rétrograde sur place, avant découplage pour obtenir la version finale du Lander, capable de revenir à Kerbin.





Réalisez l'éjection la plus efficace qui soit, en ligne droite ou par vitesse orbitale selon votre lieu d'atterrissage. Et priez pour que le dé à coudre de fuel ne vienne pas à vous manquer juste avant l'atmosphère ! 😃

A noter qu'une version de 29 tonnes a failli voir le jour mais qu'il me manque invariablement une dizaine de mètre seconde... C'est à dire qu'il m'a fallu ajouter plus de 4 tonnes pour parvenir à quelque chose de très limite ! Va falloir être ingénieux pour les gagner, mais je vous fais confiance pour ça... ^^ Toujours est il que dans mes quelques essais, ajouter un petit rien pour parvenir à mes fins déséquilibrait toute les phases de l'ascension. Si bien qu'un "petit quelque chose" n'a mené à rien, et que j'ai du passer à plus de 33 tonnes. Mais je suis confiant dans la faisabilité d'un lanceur de 30t.

En revanche, pilotage très rigoureux requis, c'est à la goutte près 🙂 Petit repère : si vous n'avez pas le dernier réservoir globalement plein à l'arrivée sur Mun, pas la peine d'essayer:p Il vous faut donc pouvoir annuler toute vitesse de chute munaire avec l'avant dernier étage, et ne laisser qu'un burn final court à l'ensemble capsule de retour.

Contribution le : 27/09/2013 17:56
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chatdoox
 0  #448
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Très bon design, bravo !
ça m'intéresse ce challenge, je vais ptetre m'y mettre ce W-E (et te battre of course 😉 😃 ).

Contribution le : 27/09/2013 18:28
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Dakitess
 0  #449
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Naturellement 😉

Contribution le : 27/09/2013 18:33
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chatdoox
 0  #450
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Je viens de poser/faire revenir avec mechjeb un bestiau de 25.98 t avec de la marge en terme de delta V.

Je le piloterais manuellement (sans mechjeb ni aucun autre mod) demain (après une bonne nuit de sommeil) pour que tu n'aies aucune excuse pour justifier mon écrasante victoire ! 😃

Voici un screen, si ça peut te donner de bonnes idées :



Ah et aussi, pas très malin de faire marcher ton LV-909 dans l'atmosphère, c'est une perte de delta V, il est bien moins efficace que les aérospike dedans.

Contribution le : 27/09/2013 23:49
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Dakitess
 0  #451
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Wow je pensais pas que ça serait possible ou plutôt que l'asperge à l'extrême aurait un intérêt oO C'est pourtant ce que j'utilise pour mon projet de décollage de puis Eve (mais chuuut :p).

Bien joué ! Ca ne me serait pas venu à l'esprit de paralléliser à ce point, mais c'est KSP et son aérodynamisme foireux xD

Concernant le 900, yep en effet j'avais pour objectif de le faire démarrer qu'à 15000m, mais il me manquait le peu de puissance au décollage entraînant un temps d'ascension dans es basses couches beaucoup trop long, et rendant préférable la mise à feu directe (test à l'appui). Et l fait d'ajouter un peu de puissance pour ajuster tout cela rendait l'ensemble immédiatement déséquilibré : trop de poids, vitesse excessive en basse atmo, etc etc, comme bien souvent quand on fait de la retouche.

Pourquoi ne pas publier ton exploit sur le fofo ? 🙂

http://forum.kerbalspaceprogram.fr/viewtopic.php?f=13&t=1797&p=18376#p18376

Contribution le : 28/09/2013 11:25
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chatdoox
 0  #452
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Patience, je peaufine le truc.

Je viens de faire une version plus légère (23,23 t) avec plus de delta V. Mechjeb fait son boulot pendant que j'écris, j'éditerais dans un moment. 🙂

EDIT : Erreur de manip, le truc s'est écrasé sur la mün ... Mais ça a l'air de fonctionner, je vais tenter manuellement !

EDIT 2 : Et voila ! J'ai réussi a me poser sur la Mün et a revenir avec une fusée stock uniquement de 23,23 t ! Manuellement bien sûr, sans mechjeb. 🙂

Voici la bestiole :



Le décollage est pas une partie de plaisir, il faut faire attention aux fueltanks en même temps que la direction (avec ce nouveau SAS totalement inutile) :



Bill a réussi ! 🙂



Petite erreur de calcul, j'ai atterris a 36 km a l'est du KSC ! Avantage : Mon porte-avions va enfin pouvoir être utile !




Le voyage n'a pas été de tout repos pour Bill, il a été obligé de rester sur le pont (par manque de place) et on a dut retourner le chercher a plusieurs reprises après qu'il fut tombé du bateau. 😃 Heureusement, il s'en sort sain et sauf !



Voici le .craft si tu veux l'améliorer : http://www.mediafire.com/download/u78nj4q5ctdlfjb/Chatdooxian_light_munar_vessel.craft

Concernant le forum, tu veux bien copier coller ça ou mettre un lien vers ici ? J'ai un peu la flemme de me faire un compte uniquement pour ça, et puis j'ai un peu peur d'y retourner après ce qu'il s'est passé la dernière fois ... enfin tu vois ce que je veux dire ! 😃

EDIT 3 : Tiens pis au passage je fais de la pub pour Rareden qui a fait des nouveaux artworks magnifiques : http://forum.kerbalspaceprogram.com/threads/25231-kerbin-art
Et pour Nassault qui a fait de nouvelles vidéos magnifiques aussi : http://www.youtube.com/user/Nassault630/videos

Contribution le : 28/09/2013 21:53
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Dakitess
 0  #453
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C'est posté ! 🙂 Que s'était il passé la dernière fois, tu t'étais inscris ?! Je me rappelle de 87 avec qui ça avait été tendu, mais je me souviens pas que tu avais également tenté ?

En tout cas, bien joué ! Tu as vu, tu te retrouves également à utiliser les 900 dès le décollage ^^ Certes ils ont une ISP pas top au départ, mais ils permettent d'apporter un peu de puissance supplémentaire tout en étant très efficace après la première minute, et sans devoir repenser la configuration.

Sinon, ça passe ton retour depuis Mun avec ce propulseur ? Il a une ISP un peu moins favorable qu'une paire de Rockomax latéraux non ? Peut être est il moins lourd.

Je vais me pencher sur la question d'une éventuelle optimisation, mais ça sera de l'ordre de la tonne et gère plus, je pense ^^

Contribution le : 29/09/2013 15:10
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chatdoox
 0  #454
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En fait je parles de la fois où le forum renvoyait vers un site porno ! 😃

Et pour le propulseur, mechjeb me dit qu'avec cette configuration, on a BEAUCOUP plus de delta V qu'avec deux rockomax latéraux, donc je lui fais confiance ! 🙂

Contribution le : 29/09/2013 17:35
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Dakitess
 0  #455
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Ouais c'est carrément le cas, je les avais pas encore utilisé, mais ils sont très très bien oO A priori, entre 1000 et 1100 m/s de DeltaV juste pour cette tête finale, de quoi atterrir sereinement avec, repartir, et avoir un petit burn sur Kerbin pour ne pas casser les pieds à 8 m/s de touchdown:p

Sinon, tu en as dégoutté plus d'un sur le fofo 😵 Je n'arrive même pas à l'optimiser plus que ça... Arf gg ^^

Faudrait que j'essaie avec un utilitaire, parce que dans le cas présent il me faut me rappeler des quelques consignes d'efficacité, les mettre en pratique et voir ou j'arrive et à quelle vitesse, c'est trop long !

Contribution le : 29/09/2013 17:51
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Dakitess
 0  #456
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Hop, suite à la colonisation de Duna, nous nous retrouvons pour un nouveau départ, avec les mêmes règles, en direction d'Eve.

L'approche sera tout de même légèrement différente dans la mesure ou... J'en ai ma claque des trajets interplanétaires xD

Du coup, cette fois nous nous proposons d'installer une base plutôt aboutie et monobloc sur le sol d'Eve. Elle sera assemblée en orbite de Kerbin, morceau après morceau, subira quelques modifications visant à consolider l'ensemble... Comme d'hab'. Un pousseur véhiculera la base vers Eve, sans retour programmé, ni débris. La base, par ailleurs est tout à fait utilisable en tant que station orbitale, principalement dédiée à l'hébergement de Kerbonautes Scientifiques.

Toujours est il que l'objectif, c'est une base sur Eve. Je l'ai voulu originale, esthétique (selon mes standards... De merde ? xD), et fonctionnelle comme toujours, capable d'accueillir pas mal de monde.

Vu que j'ai passé la journée à jouer, il n'y aura peut être qu'un seul article ^^ C'est parti !



Le premier envoi représente le centre de la future base. Un pod monté sur une module d'habitation, équipé d'une très large batterie, et de 4 port docking standards pour la mise en place de la future structure. Au sommet, une petite tour détachable accueille plusieurs parachutes, qui permettra de ralentir la future base par le centre sans la défigurer ou obstruer des accès. Elle sera éjectée via découpleur et sépratrons, une fois l'ensemble au sol.







Le second est chargé d'amener les 4 bras structurels sur lesquels seront montés les modules d'habitations. L'agencement à permis de les envoyer en un seul lancé, et nous retrouvons au centre un dispositif de manoeuvre équipé en RCS. C'est ce dernier, disposant d'un ordinateur de bord, qui va permettre d'accrocher les bras, un par un, en évitant ainsi l'implémentation de dispositifs RCS encombrant sur chacun d'eux. Pendant le montage, le bloc complet se dock par le port large, pour éviter toute dérive.





Il s'agit ensuite d'une série de 4 lancés, contenant chacun 2 modules d'habitations. La configuration "empilée" va permettre de docker successivement les deux modules en évitant, une nouvelle fois, d'associer des équipements RCS tout à fait dispensable pendant tout le reste du programme. Les translations sont donc assurées par le dernier étage du lanceur, avant découplage final. Les modules concernés se placent sur les ports latéraux de la fourche de chacun de bras, pou un total de 8.





Très similaire, la suite est constituée d'une série de 2 lancés, chacun constitué de 2 modules. Ces derniers sont composés d'un pod associé à une habitation, et sont voués à finaliser les fourches de la future base, en se connectant cette fois dans le prolongement. Même principe pour le docking, qui s'effectue avec le dernier étage. Le complexe dispose donc de 4 ailes habitables, très confortable, pour 1 à 2 kerbonautes. Le confort y est ainsi meilleur que jamais, et devrait permettre l'installation d'un large équipement scientifique dans des conditions presque Kerbienne.

---------- Petite ellipse pour directement aboutir à la base fonctionnelle, acheminée en One-Launch -------------









En sus des plans précédents, 4 propulseurs aerospike ont été ajoutés avec 4 des plus petits réservoirs, juste de quoi assurer un burn final pour abaisser la vitesse résiduelle. A priori, les tests Kerbien confirment que l'atmosphère d'Eve sera assez dense pour que les parachutes soient suffisant. Mais en vue de développer un équipement standard, nous préférons préparer une configuration à même d'atterrir sur Dune et Laythe. Un container supplémentaire (Réservoir orange plein... pour faire bonne mesure) a été acheminé pour les équipements du type échelles, parachutes, lampes, renforts structurels... Que nos ingénieurs ont savamment posés en EVA, en l'espace d'une petite semaine.



Un dernier lancé (il en aura fallut un paquet... -_-), afin d'acheminer le pousseur basé sur 4 propulseurs nucléaires, disposés en parallèle pour laisser libre un port docking large pour l'ajout éventuel de matériel ou pour l'addition d'un second bloc pousseur. Une fois tout cela finalisé, le complexe est prêt à partir.





Petit détour par la Mun pour bénéficier d'une aide gravitationnelle et rediriger le vecteur de sortie en rétrograde Kerbolien. Après injection de sortie, de transfert et de corrections, le pousseur termine à 7 Litres de fuel, et l'ordinateur de bord préfère un atterrissage direct sans passer par une orbite. (La flemme, l'aerofreinage aurait de toute façon suffit à boucler l'orbite mais pffff...)





La première simulation nous amène à une chute dans l'un des lacs d'Eve, l'occasion d'utiliser les propulseurs pour réduire la vitesse à 1 m/s. La configuration semble s'y prêter à merveille, puisque aucune pièce ne se détache, et la stabilité de l'ensemble est sans égal. Mieux, les salons de chacune des ailes se trouvent exactement plongés sous la surface, offrant une vue imprenable sur les fonds extra-terrestre, et apportant une ambiance doucereuse aux habitations.





Initialement prévu pour le sol, c'est sur la poussière violette que la base trouve sa position définitive. Les propulseurs n'ont pas été requis, avec une vitesse finale de 5.5 m/s que les pieds savent encaisser. Mais pour davantage de sécurité et de confort, leur usage est préconisé...

A terme, le complexe est bien installé, et l'ordinateur effectue les tests de déploiement des panneaux solaires tout autant que les nombreuses échelles. A ce sujet, la plateforme prévoit un déplacement intégral entre tous les modules, aussi bien à l'intérieur que vià les échelles. L'accès depuis le sol se fait à partir des échelles de chaque aile surplombant les baies vitrées, rétractables naturellement, ainsi qu'une échelle centrale.

La mission prévoit dorénavant l'envoi de 5 kerbonautes qui prendront leur quartier dans chacune des ailes, ainsi qu'au centre, pour un espace de vie inégalé. Par la suite, une deuxième équipe de 5 pourra être acheminée, la place le permettant largement.

Ayéééé 😃

Contribution le : 29/09/2013 21:33
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chatdoox
 0  #457
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J'aime beaucoup beaucoup le design, qui n'est pas 'à plat' ! 🙂
Mais maintenant ce qui serait intéressant c'est de te voir les faire revenir ! 😃
Revenir d'Eve, ça c'est un challenge !

EDIT : Je me suis déjà fait battre ! 21,87t ! Et j'ai été renommé au passage ! 😃

Contribution le : 29/09/2013 22:37
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Dakitess
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Chaatbox 😵

Ha ce Granolat, un bon concepteur de Launcher, y'a pas à dire.

Concernant un retour depuis Eve, j'y suis justement presque héhé 😉

Mais ça n'est globalement faisable que pour un seul gusse.

Contribution le : 29/09/2013 22:57
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Dakitess
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Avec l'ampleur des projets actuels et leur pluralité, il manquait un maillon à l'ensemble, un croiseur simplement destiné à gérer la logistique des différentes missions en cours, LA plateforme relais, concentrant une bonne tranche d'intelligence Kerbalienne dans ses vastes quartier. Car si ce maillon ne doit pas être particulièrement fonctionnel ou polyvalent, il doit au moins pouvoir rejoindre n'importe quel astre, rapidement, avec une large équipe de scientifique, coordinateur et ingénieurs, chargés de répondre en temps réel à toutes les problématique ayant lieu dans le système Kerbolien.

Je vous présente donc le DC-Coordination !



Lancement du premier coup, Youpiii ! A force, on a les gabarits en tête, tout autant que les configurations avantageuses... Le temps d'affecter les touches raccourcis (ben oui, je pensais pas réussir du premier coup !) et d'ajouter un peu d'équipements, et le deuxième lancement loge le DC-Coordination en orbite circulaire à 150km d'altitude. Par contre, faut complètement suivre une courbe type logarithme, la puissance est très limite, la montée très progressive et douce. Il mériterait peut être un peu plus de puissance, mais ça marche ainsi et le lanceur est franchement pas gros vu ce qui est envoyé. Et ça permet de lancer du monde directement dedans, c'est safe niveau accélérations 😃



Le pilotage est assuré dans une nacelle dédiée à l'avant, vision panoramique. De l'autre côté, la partie propulsion se décline en différentes solutions. Tout d'abord, en poussée directe, 2 blocs Poodle + Aerospikes (x4) assurent une propulsion efficace et puissante, pour des temps d'injections très réduits au regard de la taille de l'engin. C'est une couronnes au niveau du centre de gravité qui va supporter quelques réservoirs supplémentaires mais surtout la propulsion nucléaire (x10), tout indiquée pour les voyages interplanétaire, lorsque le temps ne compte pas. Cette combinaison permet de couvrir toutes les utilisations et ravira les moins patients. On notera en dernier lieu la présence du dock large au centre, désormais signature de la Dakitess Corporation pour toutes les créations qui peuvent l'accueillir, toujours en vue d'une standardisation et d'une interopérabilité de tout ses appareils. Il servira notamment à attacher des réservoirs supplémentaires pour les voyages les plus exigeants, si nécessaire.



Ci dessus, le DC-C injectant vers Mun à la seule puissance de ses Aerospikes, laissant une fine traînée bleutée dans son sillage.



Les images suivantes permettront de mieux les localiser sur l'ensemble, mais sachez que l'appareil embarque une nacelle 3 places dotée de parachutes, capables de se poser sur une planète atmosphérique et d'en repartir. Une navette permettant la connexion avec le sol d'une bonne partie des astres, en somme. Il dispose également de deux petits modules de descente adaptés à la plupart des lunes du système, toujours capable de remonter. Cela permet l'apport de matériel à une équipe en difficulté, ou plus simplement la récupération de données et ressources à analyser.

Se trouvent également de nombreux autres port de docking pour élargir les possibilités, de toutes les tailles différentes, et majoritairement situés dans le sens de l'accélération au dessus des nucléaires. Les petits notamments( x4), pourront tout à faire convenir à l'ajout de sondes ioniques bien utiles ! (Pas ajoutées directement, pauvre Framerate ^^)





Le DC-C dispose d'un jeu de larges panneaux photovoltaïque, pour subvenir aux besoins en électricité les plus exigeant. Des échelles sont disponibles à chaque sortie de navette / module, afin d'embarquer directement dans l'un des nombreux modules d'habitation, et ne pas risquer d'EVA inutile.



L'éclairage sommaire laisse la part belle au ciel, et ne sert que d'appoint au docking des modules externes.

Contribution le : 02/10/2013 01:32
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Dakitess
 0  #460
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Décidément, le topic tombe en désuétude ;'(

http://www.youtube.com/watch?v=Fa6c2ONzBMY

Quelques images de la 0.22, en espérant que cela vous attire de nouveau.

Contribution le : 13/10/2013 11:54
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